A la poêle pour les filets, les tranches et les
poissons moyens. dans du beurre, de l'huile. Simplement enrobés
de farine ou de panure.
Au grill pour tous les poissons. Avec de l'huile d'olive
et des aromates de qualité. Entaillez les poissons épais
et chauffez les braises (grill) à l'avance.
Au four en rôti pour les poissons
et les morceaux de grande taille. En papillotes pour les filets
et les petits poissons. En gratin ou soufflé pour accomoder
les restes.
Au court-bouillon pour tous les poissons entiers ou en
morceaux. C'est la préparation la plus légère
sur le plan diététique et la plus rapide lorsque
le temps ou les ingrédients vous manquent.
A la vapeur pour tous les poisson à chair délicate.
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Sur le plan diététique, le poisson est plein de
qualités. Il est riche en protéines; c'est donc
un aliment bâtisseur au même titre que la viande.
C'est une bonne source de phosphore, de souffre et de magnésium.
Il contient également du cuivre, de l'iode et du fer surtout
s'il a une chair colorée, des vitamines B (B12), de la
vitamine A et D (s'il s'agit d'un poisson gras).
Il est facile à digérer à condition d'utiliser
peu de matière grasse. Les poisson gras (thon, saumon...)
contiennent plus de 10% de lipides, les demi-gras (congre, murène,
maquereau, bonite...) entre 4 et 10% et les maigres (lieu, sar,
rouget, bar...) moins de 4%. Mais les poisson gras ne contiennent
pas plus de lipides que les viandes maigres (boeuf, mouton).
Un grand nombre de coquillages, à cause de la finesse
de leur goût, sont souvent consommés crus, dans leur
eau, à même la coquille (praires, clams, palourdes,
huîtres). Les crustacés (crabes, crevettes, homards,
langoustes, tourteaux, araignées...) se cuisent toujours
à l'eau bouillante salée ou au court-bouillon.
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