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kai987

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Tout ce qui a été posté par kai987

  1. Regarde celles des gorilles??. Enfin . je crois que les ? sont les animaux avec lesquels on a le plus récent ancêtre commun. Mais tu changes de sujet. J'ai jamais dit qu'il nous fallait pas ceci ou cela
  2. Tu as raison. Et je ne veux pas pourrir le joli post. Si tu veux on peut en parler en mp je suis assez accès sur le sujet. Maintenant juste un truc œufs plein air ça veut pas dire grd chose parce que pour n avoir que les poules il a bien fallu broyé des millions de poussins mâles. Donc ces poules fussent t elles de plein air sont issus de la souffrance. Pour les chevaux on peut en parler en mp. Maintenant Autre chose l homme est chasseur cueilleur et sa chasseur est plus une capture par opportunisme. Il a plus les enzymes digestives de singe que de léopard. Notre consommation de protéines animales n est pas nécessaire. Ensuite il faut penser que la plupart de notre agriculture ne sert pas à nous nourrir mais à nourrir les animaux d élevage !! Et c'est vrai on est bien trop nombreux mais avant de parler de planning familial mondial il faudrait repartir de façon mondiale les richesses l eau les compétences et la technologie. Sujet intéressant et omniprésent mais qu est ce qu on fait ? On ouvre un poste ?
  3. L antispeciste (que je me revendique d être) ne dit pas laissez vous mourir de faim. Il dit au contraire que si vous devez tuer la dernière vache de la planète pour nourrir votre enfant faites le ! On ne condamne pas à mort tous les peuples qui ne subsistent que par la chasse ou la pêche. Pas du tout c'est une mauvaise interprétation. L acte de prédation est à l'état naturel. Mais je ne crois pas être un connard parceque je ne mange que ce que je chasse ou pêche. Et surtout j emmerde personne avec ça. Je ne vois pas pourquoi ce qui se passe dans l' assiette d une végétarienne dérange qq un et lui vaut cette insulte (bon elle en particulier c en était une si j'ai bien compris notre ami). À moins que ce soit la dissonance cognitive( je n'fais pas de mal à mon chien aux dauphins aux baleines aux tortues mais je participe à un génocide dans d atroces souffrances des canards vaches etc...) que créé l acte de manger de la viande ou du poisson d élevage ou des œufs du lait et du fromage, qui dérange certain ou qui les rend agressif. Normal on est ce que l'on mange alors à force de manger de la peur du stress et de la souffrance je comprends qu on déboulonne. Je sais que je vais pas faire l unanimité mais j'ai juste un peu d'avance. Pour ceux qui ont besoin de preuves c'est facile de s informer. Après antispeciste ne veut pas dire vegan. Je dirais même qu il y a opposition. Et c'est la contradiction de certains vegan qui fait que leur message nprend pas.
  4. kai987

    Jack Pass

    Très émouvant
  5. kai987

    Jack Pass

    Merci. Je me permets de mettre le lien de Mayotte la première. L hommage de ses proches. https://www.facebook.com/watch/live/?v=3280317088682200&ref=watch_permalink
  6. C'est pour cela que je te dis sors lui ta caudale
  7. Ou lui sortir ta caudale ?et lui dire" tiens celle là aussi elle est maillée" franchement y en a qui cherchent la merde
  8. Végétarienne ? T aurais du lui dder ce qu elle mange exactement ! Et regarder ses pompes et sa ceinture pour voir si elles n étaient en cuir. T es gentil qd même. T aurais pu la noyer.
  9. T es mignon mon poussin. Continue t es la risée du forum gr*sse t*che. En fait tu Fake.. ???????????????????????????????
  10. Ben j comprends pas mon gentil message où je lui parle de sa mémé à été supprimé. C'est quoi ce truc ?!
  11. kai987

    Jack Pass

    Il me semble que Jack utilisait toujours la forme poisson du baron mais il faudrait dder à son coéquipier. Lorsqu'il est venu en 2009 c est cette forme là qu il avait en tous cas
  12. kai987

    L'essentiel !

    Belle vidéo que j'ai apprécié Moins le point de vue. La csm ne peut plus être un loisir avec comme" cerise sur le gâteau" le poisson . Je le vois plus comme un moyen de se nourrir auquel on joint l art de la chasse et de sélectionner.
  13. kai987

    Jack Pass

    Pour ceux qui ne viendrait que sur la rubrique Outremer: un hommage de "savanne" Le Grand Jack s’en est allé Un grand sage de Mayotte, une légende, tire sa révérence, avec la discrétion, la dignité et l’honneur réservés aux personnes de valeur, laissant orphelins des milliers de jeunes mahorais, des amis admiratifs et une famille aimante. Dans l’île aux parfums c’est un nouveau séisme ! J’ai eu le privilège de parler avec Jack régulièrement ces dernières semaines. En me penchant sur la vie magnifique de cet homme peu commun, à laquelle le cruel destin n’a pas fait beaucoup de concessions, je ne puis faire l’économie de quelques lignes d’hommage à cet ami si cher…… Lorsque nous sommes arrivés à Mayotte en 1988, alors que la barge nous emmenait de Petite Terre à Grande Terre, un « expatrié » nous abordait et demandait si nous arrivions pour la première fois sur l’île. « Etes vous plongeurs, chasseurs sous marins ? » Nous souhaitons découvrir les deux activités, répondions nous. « Alors, il vous faudra rencontrer Jack Passe, c’est la référence ici, c’est une sommité, un monstre de capacités physiques, qu’aucun mauvais temps n’effraie. Il attrape des poissons énormes, tire des requins de 3m et de 200kg. Il descend à plus de 40m de profondeur. » L’homme ne tarissait pas de superlatifs qui relevaient de l’incroyable ! Il nous tardait de rencontrer cet aventurier des profondeurs avec impatience. Mamoudzou était la petite bourgade chef-lieu de Mayotte, dans laquelle le fameux Jack était Professeur d’EPS au Lycée. Il était aussi copropriétaire d’un restaurant nommé Karibu (Bienvenue) avec un autre enseignant Gérard Souche. C’est au Karibu que nous fîmes sa connaissance ! Nous découvrîmes un homme convivial, souriant et versé à l’art de la conversation. « Vous chassez ? Vous jouez au volley ball ? » Rapidement le sujet de la chasse sous marine était abordé, et rapidement j’essayais de comprendre si Jack était l’homme de la description ci dessus… En fait Jack était un conteur passionnant, qui en dépit de ses origines marseillaises, était peu enclin aux exagérations, coutumières aux chasseurs de toutes sortes, surtout lorsqu’ils n’excellent pas dans cet exercice. Il relativisa vite les dires de notre premier contact sur la barge : « Des requins de trois mètres et de 200kg, je n’en ai jamais tiré ! On en voit rarement ! Les personnes qui vous ont conté ces fadaises n’ont dû jamais mettre une palme dans l’eau. J’ai tiré un requin une fois pour me défendre. Il pesait trente cinq kilos et n’excédait pas un mètre cinquante et déjà je m’en suis vu » L’homme était modeste ! Je le constatais par la suite. Seuls les autres, ses partenaires réguliers ou d’un jour vantaient ses qualités physiques hors normes et son mariage réussi avec le milieu subaquatique et l’apnée. Lorsque quelqu’un lui demandait : C’était profond ? Jack répondait : Oui il y avait de l’eau ! (Traduction c’était profond) D’autres fois il disait, j’ai bloqué le fil de ma bouée (40m). Jamais il ne se vantait avec des chiffres comme bon nombre d’adeptes de cette pratique ! Un jour un chasseur sous marin disait : « Je l’ai tiré à 20-25m » Et Jack de rajouter, avec son succulent accent méridional, 20 et 25m ce n’est pas la même chose, car quand on est à 20 il reste 5m pour aller à 25. Mais Jack était convivial et il emmenait volontiers confirmés comme novices, dans ses aventures de chasse, mais tout un chacun devait savoir que ce pouvait être, pour peu que l’on ne soit pas amariné, un contrat avec la souffrance. Jack ne rentrait jamais avant la fin du jour et sa pitié était limitée pour ceux qui étaient sujets au mal de mer ! Il était un véritable professionnel de la chasse sous marine ! Il avait installé dans sa maison un atelier dédié à sa passion. Il consacrait des heures à élaborer des fusils adaptés et performants et des techniques de chasse personnelles (tous les spécialistes ont entendu parlé du « baron », ce leurre métallique conçu pour attirer les poissons pélagiques). Il y avait donc un avant, un pendant qui durait une journée de 8h au cours de laquelle les prises venaient garnir la glacière de glace pilée, et un après, pour tout nettoyer, conditionner les poissons. Jack prenait aussi du temps pour écrire des anecdotes savoureuses et consigner dans un carnet personnel des informations relatives à la journée vécue (les amères, le vent, la saison, la profondeur explorée, sa typologie, les espèces croisées, les moments propices…) le tout pour parfaire son savoir déjà bien vaste. Jack remontait des pièces immenses des fonds sous marins. Personnellement je l’ai vu tirer et remonter une carangue de 37kg, un barracuda de 22kg, des mérous de 20kg, des « casses marmite », des thons, des thazards et bien d’autres. Cet ascète de la chasse sous marine pour qui le Dimanche était consacré à sa passion en compagnie de son ami, partenaire, et compagnon d’aventures Pierre Baubet. Avec lui ils relevèrent les plus grands défis et capturèrent espadon voilier, marlin, daurade coriphène. A son actif Jack inscrit un record du monde de thon dents de chien de 83kg ! Un autre duo de grands chasseurs, adeptes des fusils à moulinet, les rejoignit dans cette passion, Alain Gautier et Denis Lamola (aujourd’hui parmi les anges de la mer). Ces quatre truculents personnages élevèrent les limites du possible dans l’activité. D’ailleurs j’eus le privilège de réaliser avec Jack, le film Apnéamayotte qui sur fond de discours didactique sur l’activité mettait en scène ces quatre phénomènes. A l’infini, je pourrais juxtaposer les anecdotes qu’il racontait si délicieusement, mais Jack n’était pas qu’un grand chasseur sous marin. Il était un homme, un mari et un papa ! A notre arrivée, en 1988, Jack et sa douce Edmée, venaient d’avoir un fils, Jonathan. Cette belle Mahoraise, Edmée son aimée, comme il se plaisait à dire, avait su séduire ce grand aventurier et concrétiser leur union par ce bel enfant. L’aventurier se découvrait papa aimant et responsable. J’ai encore en mémoire ses passages quotidiens sur la route de Kavani, derrière la poussette de Jonathan ! Je revois encore sur la terrasse de Jack et Edmée le couffin de ce bébé fait d’une carapace de tortue suspendue par quatre cordelettes. Jonathan s’y reposait paisiblement ! Jo reçut une belle éducation de ses parents et Jack lui inculqua subtilement ses passions. Le jeune garçon découvrit le monde de l’apnée, de la chasse, et des pratiques sportives. Jo s’épanouissait merveilleusement dans cette île généreuse jusqu’à ce qu’un destin cruel ne l’enlève dans sa dix septième année à sa famille, et ne prive Mayotte de sa gentillesse atavique, de ses talents sportifs, de sa fougue communicative. Edmée et Jack s’unirent dans cette peine incommensurable, et l’église de Mamoudzou ne fut assez grande pour accueillir la foule d’amis, toutes confessions confondues, venus accompagner Jo pour ce grand voyage. Je me rappelle du propos de Jack si imagé et si désespéré : « Quand on perd un enfant, on perd le fil conducteur de sa vie » C’était si bien exprimé. Jack, Edmée et ses deux premiers fils Fabien et Terence, trouvèrent la force de reprendre cette route difficile encombrée de souvenirs de joie envolés. Jack était un homme éclectique qui s’intéressait à tout, exception faite des médisances. Il lisait, dessinait, caricaturait, peignait. Ceux qui l’ont bien connu à Mayotte doivent se souvenir des fresques murales de sa première maison. Des femmes sensuelles et pulpeuses, inspirées de bandes dessinées, ornaient de couleurs vives ses pans de murs ! A n’en point douter il avait une main. Tous les spectateurs de la course de pneus gardent sans doute en mémoire ces tee-shirts colorés dont il avait composé le logo. Tout événement insolite était prétexte à une savoureuse caricature. Ainsi suite à une attaque de requin tigre, désireux de croquer un thazard sur la flèche de Denis Lamola (ce dernier avec le secours d’un deuxième fusil en avait dissuadé le monstre de trois mètres), Jack avait conçu un tee-shirt avec un logo désopilant résumant la scène, assorti de la déclaration : « Touche pas à mon thazard ». L’aventurier s’était essayé ces dernières années aux huiles, et avait présenté quelques unes de ses productions au Festival de l’image sous marine de Marseille. Il avait une jolie plume, et je garde précieusement ses lettres manuscrites (il détestait le clavier) qui étaient des chroniques bien imagées de la vie à Mayotte, de la chasse sous marine sur fond de philosophie personnelle ! Bref un régal ! Jack était professeur d’éducation physique, et autant que sa chère et tendre avait mis au monde d’enfants de Mayotte, il avait formé des générations de jeunes et, ses cours leur avaient servi de tremplin pour de nombreuses pratiques sportives civiles, dont la fameuse course de pneus. Cette course, basée sur une pratique endémique, est un événement aujourd’hui incontournable, fortement médiatisé. Jack en était le père, le concepteur et l’animateur. Mais tant était nombreux ses amis, il ne manquait pas de main d’œuvre pour l’événement. Son beau frère, frère d’Edmée, Jean Claude Novou, personnage truculent, coordonnait la gestion des flux de ces centaines de gosses. Poussant des pneus aux formats divers à l’aide de deux bâtons guidant, des gosses de tous âges, des filles, des garçons, des Mzungus, catégorisés, parcouraient dans une ambiance festive les rues de Mamoudzou. Et les jeunes filles ne laissaient point leur part du gâteau ! Jack en profitait aussi pour donner une dimension sociale à cette course en offrant à tous les « finishers » un tee-shirt, une boisson diététique, et pour les adolescents une boîte de préservatifs. Au moment où les pratiques sportives optionnelles se diversifiaient au baccalauréat, Jack releva la gageure, avec force de pugnacité, pour faire inscrire cette activité dans la liste officielle des choix offerts aux élèves. Mais Jack organisa aussi des régates de planches à voiles, des triathlons… et j’en oublie certainement. Il n’était pas qu’un talentueux chasseur sous marin, il était à ses heures perdues, un grand sportif terrestre. J’ai d’ailleurs eu le privilège de participer avec lui au Mahoraid (un super quadrathlon) avec Jean Louis Morin et Nazariou Ali. Tous quatre nous avons parcouru cette île magnifique en pirogue à balanciers, en courant, en VTT, et pour finir en course de pneus ! Ce qui était plaisant chez Jack était son humanisme. Il avait à cœur de participer au développement de Mayotte et à la protection de ses écosystèmes et d’ailleurs il siégeait dans bon nombre de comités et associations décisionnelles. Sa sagesse et ses idées ont beaucoup apporté à la préservation du lagon, comme l’interdiction de chasser dans celui ci. Il était un personnage modeste, mais par la force des choses, public. Un jour un instituteur mahorais me confiait : « Ce type est incroyable, nos enfants savent dire Jack Passe avant de savoir parler » Jack était aussi un épicurien, un fin gourmet qui ne crachait pas sur le bon vin, autant que ses quêtes cynégétiques le lui concédaient. Qui a mangé à sa table n’a pas manqué de déguster les succulentes salades de « chou coco au crabe » suivies d’un délicieux mérou croute de sel. Pour cela il recevait l’aide précieuse de son complice fidèle, et employé de maison de la première heure Mwalimu ! Mais ce coquin de Jack pour son plaisir personnel goûtait les débats d’idée, fussent ils explosifs. Il n’était pas rare qu’il convie à sa table pour cela des chasseurs et des intégristes de l’écologie, des marxistes et des néocolonialistes, des travailleurs privés et des caricatures de la fonction publique expatriées, et bien d’autres oppositions tonitruantes. Cela faisait, je peux en témoigner, des repas animés ! Et Jack buvait du petit lait ! Avec son humour chronique il savait souffler sur les braises de ces débats ! J’ai quitté Mayotte en 1994 après de belles années. J’ai partagé du bon temps avec celui qui est devenu un véritable ami, celui sur qui l’on peut compter et dont on sent rapidement le noyau dur, celui avec lequel on partage des passions. Nous sommes restés bien sûr en contact, alors même que ma famille et moi nous éloignions vers d’autres ailleurs, des îles, dont la dernière fut Tahiti dans la magnifique Polynésie Française. Nous sommes restés régulièrement en contact. Il m’envoyait ses récits, les comptes rendus de ses actions, ses photos, ses préparations du Festival de l’Image sous marine de Mayotte, qu’il avait créé, et su faire vivre en lui donnant une dimension internationale, de plus en plus médiatisée. Mais je sentais que cette boulimie d’activités chronophages servait aussi à panser la perte de son fil conducteur Jonathan. En 2009, Edmée et Jack décidèrent de venir me rejoindre à Tahiti via la Nouvelle Calédonie (rejointe par le vol inaugural et éphémère d’Air Austral). J’ai préparé au mieux leur séjour, cherché pour Jack les grands chasseurs sous marins du lieu pour l’accompagner. Ils ne se firent pas prier, connaissant la renommée et les exploits du Monsieur, par les articles des revues spécialisées dont Apnéa Magazine. Il fut accueilli à bras ouverts par des chasseurs locaux, Claude Aubry, ------------------- à Tahiti et à Fakarava (Tuamotu) par M-------------- --------------- et le fameux « G » (recordman du monde de Marlin bleu en pleine eau). D’ailleurs le pacte d’amitié entre Jack et ce dernier devait se signer de manière insolite. En effet Jack remarqua sur le bras de « G » un tatouage dont le dessin lui était familier. « G » expliqua que son tatouage correspondait à une photo d’un chasseur sous marin avec un thon dans les bras, trouvée dans Apnéa, et qu’il l’avait transformée en tatouage. C’était une photo de Jack avec un thon dents de chien ! Inutile de dire que le tapis rouge lui fut déroulé ! Edmée et Jack passèrent des jours heureux dans la pension de proximité. Nous eûmes des discussions poignantes sur la destinée et l’immense affection et générosité que tous deux portèrent à mon fils Lukas me troublèrent. Edmée me dit de manière pragmatique, nous n’avons plus personne à gâter, alors laisse nous faire ! J’étais en tout cas heureux que cette tranche de vie en Polynésie leur ait donné un grand bonheur. Lorsque la maladie s’en est prise à Edmée, je me suis dit que le destin était bien injuste pour cette généreuse femme qui avait tant fait pour les autres, pour cet homme aimant, alors même qu’ils avaient déjà payé, un lourd tribut à celui ci ! Nous nous sommes croisés à Paris où Edmée était venue pour des soins. Jack était d’une proximité touchante et menait ce combat de tous les instants avec Edmée. Nous avons tous espéré une belle guérison, mais sans doute était il écrit qu’elle devait s’en aller, si jeune, trop jeune… Et toi mon ami, mon frère tu as essayé de surmonter l’adversité du mieux que tu as pu. Quand d’autres auraient baissé les bras, toi, quoique meurtri au plus profond, tu as relevé la tête et repris ta marche dans cette vie cruelle à laquelle il fallait chercher à redonner saveur. Et tu avais presque réussi… Quand cette satanée maladie sournoise est venue frapper à ta porte ! Tes souffrances tellement excessives pour un seul homme lui avaient naturellement donné asile. C’est d’ailleurs ce que tu m’as confié car tu étais homme de raison et ne cédait pas à l’angélisme ! Nous avons beaucoup échangé au cours de ce combat titanesque et inégal que tu as mené. Tu t’es battu comme un lion jusqu’au bout ! Pendant ton traitement, tu as continué ton activité physique et tu as même repris à Mayotte ton activité favorite. Un jour au téléphone tu m’as dit : « Je suis en bonne voie, je redescends à 20 et remonte sur le bateau tout seul. Ma force revient » C’était sans compter avec la sévérité du mal et l’obstination de cette redoutable maladie… Tu lui as faussé compagnie, en tirant ta révérence dignement et paisiblement, avec ta chère sœur, si proche et si aimante, et le soutien sans faille de ton beau frère, la compagnie de ton fils spirituel Julien dans tes ultimes instants. Il y a fort à penser qu’il saura par sa plume et son admiration pour toi, perpétuer ta légende. Va mon ami, mon cher Jack, retrouver la douceur des tiens, retrouver les lagons turquoises, et l’odeur des Ylang Ylang. Va boire un coup avec Alain et Denis et vous vous raconterez les dernières des grands fonds ! Tu as eu une belle vie qui t’a permis de jouir de tes passions. Tu es parti trop tôt ! Mais le choix ne t’a pas été donné. Ma peine est grande, et dès que je le pourrais je me délecterai à nouveau de tes écrits et passerai du temps avec toi… comme avant ! Ta légende se perpétuera dans ce joli coin de l’Océan Indien ! A toi Jack… Philippe
  14. Un grand monsieur de la chasse sous marine et un grand monsieur tout d'abord s en est allé ce matin. . Bien qu'il ne fut pas un amateur de la littérature de forum, à ceux qui l ont connu laissez pour sa famille et ses amis un hommage sur cette page. Je ferai suivre quelques unes de vos lignes.
  15. Oui c'est vrai. Mea culpi... Et toi tea culpo mon p tit lapin. Non mais les gars c est du 3 e degrés faut pas se vexer. Ou alors faut pas poster sur un forum public. Avec des poissons. " Se faire prendre en photo avec un poisson oh oh oh je venais de prendre mon père en flagrant délit d humanité" M Pagnol
  16. T as entendu ma voix ??? Qui te force à lire. Si t es trop fragile ne lis pas ????????
  17. toi t'es un gros lèche cul. et faible en plus. T'es mignon mon petit c'est la maitresse qui va être contente
  18. Y en a qui savent pas lire ou alors qui lisent pas qui consomment des images , c'est la new génération. C'est pas les prises qui nous choquent . On s'en fou tu as très bien le droit de tirer tes rouquiers. OU est le problème? C'est même plus instructif de commencer comme ça qu'au large à attendre sur une seule technique : l'agachon. Mais bon t'es pas le seul. Mais précise nous : les racaous c'est pour la soupe? fin pour moi
  19. Au fait... Le rouquier c'est pour la soupe ?
  20. Encore heureux qu ils finissent pas à la poubelle... Sinon pourquoi tu pêche ? C'est pas la taille du poisson qui compte ( un rouget fera jamais 3 kg) et puis il faut commencer par tirer la soupe du bord si tu veux comprendre tout le reste du fonctionnement de la chaîne. C'est votre comportement relis ma remarque plus haut et celles des autres aussi. Enfant gâté.
  21. Et sinon tu m as pas dit .. les racaou c'est pour la soupe ?
  22. Ah....... Bonne nouvelle ? Merci
  23. Non mais j'deconnais.... Les gars c est quoi le truc là. Qu est-ce que vous faites tt le temps avec la tête hors de l eau. Bon je parle pas des prises d autres l ont fait avant moi mais vous faites quoi à taper la discute là les mecs. Faites un apéro si c'est pour faire ça mais ne vous filmez surtout pas c est laid ☹️. Après je dis pas il faut bien débuter. Y a plus de clubs en France ?
  24. Je viens de remarquer en la rangeant que le bouton reset en bas à droite ne fonctionne plus. Est-ce que qq un sait si ça se répare ? Merci
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