Aller au contenu

dom85

Membres
  • Compteur de contenus

    23521
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par dom85

  1. C'est resté ouvert une journée avant la strat du pont et les vapeurs de la mousse polyuréthane peuvent toujours s'évacuer par le nable qui n'est encore mis en place Les bidons contenaient de l'huile végétale à l'origine, je suppose que le plastique résiste à peu près à tout. Ces bidons servent surtout en seconde vie, de stockage essence et gas oil ici. Le bois ne craint plus rien derrière ses couches de résine et de peinture
  2. Mon bateau actuel est dans l'eau depuis 5 ans et n'a jamais pris une goutte par le nable vissé Chaque fois que je le sors, environ 4/5 fois l'an, j'ouvre le nable, il en sort un à 2 litres, des fois rien, je pense de la condensation car l'entre deux coques est ouverte dans la console qui est stratifiée au plancher, ou peut etre quelques gouttes lors de la navigation par le trou des connections électriques du sondeur , car une fois terminé la navigation, la console est recouverte d'une housse en bache plastifiée J'avais fait une trappe étanche au départ,sur l'arrière du pont, je l'ai stratifiée et fermée à jamais c'est par là que de l'eau entrait..... Les deux petits coffres, l'eau ne pourra y pénétrée que par l'ouverture qui recevra ce genre de panneau étanche: Et vu que c'est tout de même 50cm au dessus du pont, si jamais ça fuyait, il ne devrait y avoir que quelques gouttes. De toute façon je le verrais bien vu que le coupe circuit sera dans le coffre à batterie. En dessous de ces coffres c'est l'entre pont et les passages d'eau ont bien étés pratiqués, la moindre goutte se retrouvera au niveau du nable, j'ai bien vérifié ce point. Au niveau de toutes les varangues un trou de 30mm a été percé , un tube pvc encastré et stratifié ensuite, tiens regarde là, on voit bien: ensuite, après la stratification complète de l'entre coque, deux couches de peinture epoxyque ont été mises au rouleau, afin de parfaire l'étanchéité de la résine, que tu peux voir ici: Normalement, tout à été blindé pour éviter que le CP marine ne soit atteint par l'eau, et qu'elle puisse s'évacuer Tout cet entre pont a été rempli par 24 bidons de 25L plus une bonne centaine de bouteilles de 1.5l et de la mousse polyuréthane a été mise par petite touche pour ça se tienne ensemble et ne balade pas pour éviter un bruit de fond dans les cahots Allez y, j'aime bien les idées, des fois qu'on ait oublié un point de construction
  3. Regarde sur LBC, mais vérifie avant d'acheter qu'il fonctionne et qu'il n'y a pas de buée sur la vitre interne
  4. Oui pour 3 bateaux, il fait 9m sur 9m interne
  5. Non j'ai bien parlé de session pour Marseille et j'en ai déjà parlé aussi: si tu n'arrivais pas à 6h sur le post de la sablière , elle était déjà occupée. Donc une session, c'est pour moi du moins, le temps passé en mer, pas spécialement dans l'eau. Et il faut savoir que le meilleur moment de chasse, c'est la tombée de la nuit sur ces posts. Donc on rentrait au port de la pointe rouge vers 6 heures également. Tous les zozo arrivaient en même temps pour la douche au club à 20m des bateaux et bien sur comparaison/discussion de la journée pour chacun, mais attention, personne n’exhibait son poisson.
  6. Mon record est de 14 heures comme session dont 12 heures dans l'eau, début aout en Vendée. Je n'ai pas eu besoin d'uriner dedans Idem on commence il fait nuit et on rentre, il fait nuit. Ce fut d'ailleurs ma plus belle pêche et seul sur le bateau en plus. Je m'en souviens comme si c'était hier Quand on aime on compte pas
  7. Sur les miennes il est juste marqué, Mifsub imersion, peu de déclives dessus Elles ont dans les quinze ans d'age, un bon cru dirait GP Tiens pour te donner une idée de leur rigidité, je les ai gardé en secours et elles me servent lorsqu'une palme casse. Et bien malgré la partie qui manque mangée par un rat, je ne sens pas de différence entre la droite et la gauche
  8. l'acier ressort de chez RA est l'un des meilleurs de la planète mais leur induction est un peu légère. Il faudrait la passer à un bichromatage pour le bien, mais ça coute aussi cher ou pas loin qu'une flèche. Faut te dire que la flèche ainsi que les sandows c'est du consommable. Après tu peux prendre de l'inox mais tu devras l'affuter régulièrement car la pointe va morfler et la flèche se tordre en cas de sollicitations.
  9. Le talon est identique sur les flèches européennes, je veux dire par là qu'il va sur toutes les arbalètes normalement, même si la forme n'est pas exactement pareille Si tu veux une costaude pour résister aux tirs dans les rochers , tu prends une Rob Allen de 6.6 ou 6.75mm, mais ce sera 140 ou 150. Il faudra juste bien la rincer et lui huiler le talon et la pointe de temps à autre si tu ne veux pas qu'elle rouille
  10. J'avais un secteur dans le sud Vendée où il y en avait presque systématiquement des bancs qui passaient, fond de sable/vase et de toutes petites marches environ 50cm qui sortaient du sable. Uniquement à marée montante, un peu comme les maigres, d'ailleurs c'était pas très loin de mes coins à maigres sauf qu'il n'y avait que ces bars mouchetés parfois en grand nombre. C'est vrai que la majorité de ceux que je tirais, faisaient autour du kilo, sinon j'évitais de les tirer car si la marche était creusée il pouvait y avoir un gros bar. C'était pas loin du Pertuis Breton, sur de fonds de 16 à 18m dans l'eau sale du Pertuis. Fallait avoir le courage de descendre pour ne découvrir le fond que 1m avant de le toucher avec des courants forts à cet endroit. On le faisait à tour de role Titou et moi, l'un dans le bateau à suivre les banches au sondeur, l'autre plongeant près du bateau Mais on en voit jamais dans les comptes rendus, c'est pourquoi je me posais la question
  11. J'ai encore une vieille paire de carbone imersion, c'est pas du tout tendre, ce serait plutot dans le hard, ce sont les toutes premières Mifsub imersion, donc attention à la date de fabrication
  12. Tu deviens dogmatique, Sub. J'ai pas dit vieux c...
  13. Alors c'est dans le milieu pro qu'on parle de filet maillant, en opposition au filet trémail ou les filets de barrage des sennes ou des pélagiques. Maigrat sera nettement plus pointu que moi sur ce sujet Il s'agit de ceci en photo, ça coute 3 francs 6 sous et les poissons, crustaces et autres s'emmêlent dedans très facilement
  14. Tu avais une bonne visibilité ce jour là. Toujours efficace le MATC à trou et dans le courant
  15. J'ai construit un hangard à bateau avec deux collègues: C'est à 100m des corps morts, il est prévu que je le sorte régulièrement de l'eau afin qu'il ne soit pas endommagé par les bateaux de pêche en bois qui viennent s'accrocher sans vergogne contre ta coque. Du coup je viderais de temps à autre l'entre pont, là il y a un nable en bronze vissé. Pour le sortir facilement je construit cette semaine une remorque double essieu, c'est la troisième que je réalise ici à Mada, les autres je les vends avec les coques, celle là je la soigne pour un maximum de facilité à monter le bateau dessus; le plus près du sol possible vu la masse. Ca ne parait pas mais 10cm ça fait beaucoup pour la facilité à monter le bateau sur la remorque. Ainsi j'ai trouvé des essieux de 405 sur lesquels j'ai pu mettre des jantes de 13 pouces au lieu de 14
  16. Non l'écran est assez grand, regarde le. le seul problème c'est la puissance, 150w du coup passé 20m tu risques de perdre le fond, c'est bien précisé: petit fond, c'est plutot typé étang J'ai eu une bonne dizaine de lowrance, ils ont tous pris l'eau au bout de 1.5 à 2 ans,je pense qu'ils ne supportent pas le soleil qui leur tape dessus, d'autant plus sur un kayak. Il faut prendre un sondeur avec IP68 pour être tranquille Les humminbird ont un défaut, le fil d'alimentation est fragile, j'en suis au quatrième fil en 5 ans alors que cela ne m'est arrivé qu'une seule fois avec les lowrance
  17. Maigrat, c'est pour ça qu'il est photo(en 1983) à mes pieds ce sont des bars de 5kg, que j'ai coupé...Et je n'étais pas seul, un jeune chasseur m'accompagnait Peut être un hybride? Tu ne m'as pas dit, il y en encore en ce moment du moucheté?
  18. Pas de couillon dans mon entourage immédiat Plus prosaïquement, ce doit tout simplement être une enclume avec zero maniabilité
  19. On a pissé dedans bien longtemps.... Je me rappelle d'une session de 12 heures en hiver à Marseille, où après 3 douches avec shampoing, je puais toujours
  20. Pour ce cas très typique, tu as ce merveilleux engin: C'est de l'humour, hein ce fusil est une hérésie
  21. Vraiment des images extraordinaires de beauté
  22. Merveilleux engin de levage malgache:
  23. Les techniques de chasse selon les poissons Le poisson le plus couru, au propre comme au figuré est surement le bar en France. Cela tombe bien c’est ma spécialité. J’ai même réussi a en faire 2 de 5kg et un de 2.5kg avec mon équipier lors d’une compétition où près de 140 chasseurs étaient passés avant nous. Autrement, mon record fut de 55kg pour 12 bars, donc au moins 8 de 5 kg Je souhaite aux jeunes pêcheurs de pouvoir en prendre encore pendant de nombreuses années, mais d’un il y a les quotas pour limiter le nombre de prises et même sans les quotas il faut bien admettre que la ressource a très fortement régressée et elle est même en grave danger. Ne vous en faites pas, ce n’est en aucun cas les chasseurs responsables de cet état des stocks; Les anciens(dans les années 70) me disaient, tu ne connaitras jamais ce qu’on a pu voir, des dizaines de bars dans 20/30cm d’eau à marée montante et que des gros de 5 à 7kg….. La pêche se faisait à la machette dans les coursives, les vendéens disaient pêcher au sabre…. J’ai déjà connu une bonne époque, où rencontrer des milliers de bars à peu près n’importe où à la cote en partant du bord était possible. Maintenant quand on a vu 3 ou 4 bars ou loups ensembles on dit j’ai vu une compagne ! Le gros déclin du bar a commencé avec l'invention des filets maillants, des milliers de kilomètres sont maintenant placés partout le long des cotes françaises et ce qui a achevé le reste, ce sont les bateaux pélagiques qui ont trouvé les frayères depuis les années 2000 et massacrent à qui mieux mieux les poissons se reproduisant, sans aucune vergogne et sous l’indifférence complète de Bruxelles plus prompt à écouter les lobbys des pêcheurs que les scientifiques pourtant alarmistes. Bref je ne suis guère optimiste sur le sujet, doux euphémisme. Bon venons en à la façon de capturer ce joli poisson. Évitez de tirer des sardines c’est mal vu et aussi les femelles pleines da taille moyennes pour les méditerranéens, vu qu’en Atlantique on ne peut chasser à cette période. La meilleure méthode, c’est incontestable, c’est l’agachon. Dans 2m ou à 18m de fond, ça fonctionne toujours….s’ils sont là ! On peut le faire partout, en haut des roches, en bas, sur le sable en limite des roches, dans les laminaires. Il est très curieux et viendra si vous vous y prenez correctement (voir la méthode de chasse sur l’agachon) La coulée peut aussi être efficace si vous les voyez de la surface, il n’est pas trop peureux et se laissera suffisamment approcher. Dans les grandes mattes du large, je recommande de ne surtout pas plonger en dessous de quelques mètres, ils viendront d’eux même tranquillement vous voir, alors qu’ils seront nerveux au début. Les quotas vous limitant, recherchez la belle pièce dans le lot, toujours un peu plus bas, il faudra attendre et se couler vers elle doucement au milieu de la matte. A vous de faire valoir vos capacités pour les faire monter. L’indienne donne aussi de bons résultats mais prouve simplement que vous n’êtes pas doué pour l’agachon. L’indienne ne devrait servir qu’à chercher/trouver le bon endroit. C'est bien sûr une généralité, certains endroits bien spécifiques seront exploitables au mieux à l'indienne, j'en ai déjà parler. La pêche du bar à trou, c’est la facilité. Mais si une pierre est pleine à craquer de plusieurs dizaines d’individus, ne tirez que de l’extérieur comme déjà dit. Vous conserverez cette pierre intacte ainsi. Si c’est juste un abri temporaire, cette pierre ne sera occupée que par un ou deux individus, toujours dans le recoin le plus noir, vous pouvez y aller. Tirez toujours dans la tête les poissons, ce n’est pas difficile et n’offre que des avantages, d’un vous n’effrayerez pas les autres et la chair restera intacte. Saignez les en les piquant dans le crane avec votre couteau par les ouïes ou alors faites un ikejémé, c’est expliqué dans les recettes de cuisine . La qualité de la chaire n’en sera que meilleure. Alors à quel moment de la marée faut il chercher le bar ? Et bien ça dépend. Non je ne suis pas normand. La marée montante est plus favorable en atlantique, les bars venant près du bord pour débusquer les petits crustacés de toutes sortes et les petits poissons. Ils arrivent ou du moins arrivaient par vague de plusieurs milliers ensembles. Je dirais mi marée pour la chasse dans les laminaires ou bordure. Et marée descendante pour les pierres d’où ils sortent avec la montante. Si vous trouvez des bars à trou à la montante dans quelques mètres d’eau, c’est une pierre de passage, un peu comme les trous des mérous, il y a ceux de repos et ceux de chasse.Je connaissais même une pierre qui était à sec à marée basse et bien pourvue à marée haute uniquement. En méditerranée, ce seront les courants qui influenceront le comportement des loups, qui bien sur peuvent aussi être engendrés par la marée. Un vent nouveau peut amener les loups et un vent établi au contraire les faire fuir, généralités bien sûr. La température aussi influence le comportement de nos amis labrax. Ils sont plus indolents avec l’eau froide ….mais nous aussi. Lors d’un stage de formation pour chasseurs sous marin en Bretagne, organisé par Talarmin, nous étions 50 moniteurs pour 150 élèves. On me confie 3 confirmés qui veulent apprendre les techniques pour le bar. Il y a mauvais temps, mer agitée, visi de 2 à 3m devant l'oeil, je choisis tout de même de partir(en bateau) aux tas de pois. Titou lui part faire du plat dans la baie sur le sable tellement c’est remué. On chassera 4 heures à se faire secouer dans les tas de pois, pour terminer par faire la falaise, dans la mousse. Un bar suicidaire de 3kg se jettera sur ma flèche, ce sera le seul et unique pris de toute la journée sur 200 chasseurs, les 3 élèves m’ont vénéré ce jour là. La chasse dans la mousse peut aussi être une bonne méthode à marée montante. Un record que nous avons établi aux Sables d’Olonne, et qui a peu de chance d’être battu un jour, fut de 5 bars pour plus de 40kg, Titou et moi , sur une pierre qui est en permanence dans de l’eau noire et le bas à 18m. Faits rapportés dans le « grand livre de la CSM » Il y en aurait une seconde identique, m’ont raconté des plongeurs bouteilles dans le sud Vendée, pareille dans de l’eau toujours noire à cet endroit, je ne l’ai jamais trouvé. Donc les espoirs sont permis ! Pour vous donnez une indication, à la bonne époque faire 5 à 6 bars était une pêche normale, à dix une jolie pêche et une superbe pêche avec 15/17 poissons, souvent des gros. Ce serait bien mal vu maintenant, mais nous étions peu nombreux il y a trente à quarante ans à avoir les capacités et le poisson abondait, la notion de préserver la nature n’existait pas, le fait que ça pouvait s’amenuiser nous semblait totalement improbable. C’était pourtant la fin de la morue en terre d’Islande, ça aurait du nous alerter ? Cousteau en était encore à tirer sur les cachalots à la balle dum-dum. Il n’est devenu écolo que plus tard. Je ne cherche pas à minimiser mes responsabilités, j’explique simplement l’état d’esprit dans le quel nous évoluions. En conséquence, je ne passerai pas de photos de ces pêches fabuleuses d’antan, certains détracteurs de notre sport pourraient les utiliser contre nous. Tenez des cahiers à jours de chacune de vos sorties, même les brocouilles. Au bout de dix ans déjà vous aurez une bonne perception de vos coins selon les conditions et au bout de quinze à vingt ans , vous pourrez établir un protocole de chasse avec tous les renseignements accumulés. La fiche signalétique : Noms Dicentrarchus labrax Autres noms communs français "Bar commun" pour l'océan Atlantique, "Loup" pour la Méditerranée Lubin (Nantes), Loubine (Vendée), Brigne (Arcachon), Llobarro (Catalogne), Lloubarrou (Roussillon), Loubassou (Nice) Noms communs internationaux Bass (GB), Spigola (I), Lubina (E), Meerbarsch (D), Robalo-legitimo (P), Zeebars (NL) Synonymes du nom scientifique actuel Morone labrax (Linnaeus, 1758) La bar moucheté est un peu l’ersatz du bar commun. Sa chaire plus molle est nettement moins recherchée, je n’en ai jamais vu à trou. Il vit en banc et nettement plus petit que son confrère, d’où son manque d’intérêt. J’en vois quasi jamais dans les CR actuels de nos amis forumeurs, aurait il disparu ? Mon plus gros est un 3.5kg, pièce rarissime, surement un record du monde. J’ai même cru qu’il s’agissait d’une truite lors de son tir, là les points noirs sur la photo ne sont plus visibles, mais c’est bien un bar moucheté. Je me souviens encore de l’endroit où je l’ai attrapé.
×
×
  • Créer...