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dom85

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Tout ce qui a été posté par dom85

  1. Vite changeons de sujet avant que je ne sois exclu du forum pour crime de lèse majesté. Les vieilles J’entends sous ce vocable, toutes les espèces de vieilles dans les labridés car les vieilles en appellation espagnole, ce sont d’autres poissons. Un recensement avait été fait il y a quelques temps et il en était ressorti que les plus grosses sont bien les rouges, pouvant atteindre plus de 4kg les autres ayant du mal à dépasser les deux kilos, pourtant elles sont de la même espèce/famille. Elle est d’abord femelle puis peut devenir mâle selon les circonstances. S’il vous plait, ne tirez pas les moins d’un kilo en atlantique, il lui faut un minimum de 6 ans pour commencer à se reproduire. Elle est suffisamment abondante pour s’en tenir à cette maille, vu qu’il n’y a pas tant de chair/filet, que ça sur une vieille. C’est le poisson typique du débutant, tout simplement par ce que c’est le plus abondant et qu’il n’est pas particulièrement farouche . Elles se nourrissent aussi de petites moules et de petits crustacés, donc on les trouve à proximité des moulières, mais pour les grosses bertas (bergylta) il faut des laminaires, ça lui est indispensable, donc moulières et laminaires pour les grosses. C’est un poisson facile, on peut la faire avec toutes les techniques et même sans technique du tout. Vu la pression de chasse, elle peut commencer à se trouver méfiante sur certains secteurs. J’ai pourtant souvenir de compétitions à Belle ile ou encore au phare de Gatteville où la quantité sortie approchait la tonne, les 4/5 premiers en attrapaient entre 30 et 40 avec une maille limite basse à 1kg…... Après renseignement, un mois après une telle compétition, les vieilles avaient repris possession des lieus. Même après plusieurs années de compétitions de suite : vieille d’or, championnat de France sur le même site, elles reviennent inéluctablement Capturer 4 ou 5 vieilles est à la portée de n’importe qui, mais en faire 30 à 40 c’est autre chose, de toute façon, les compétitions en France sont à l’arrêt, celles sur le principe de la CMAS. Lorsque vous serez bien aguerri, vous ignorerez les vielles, sauf une envie pressante de poisson à la tahitienne ou pour sauver d’une brocouille. La chair plutôt mollassonne n’est pas des meilleures. Un mulet noir est nettement un cran au dessus et un lieu jaune frit, sans comparaison. Elle donne de la consistance dans une bouillabaisse. La profondeur va aller de 2 à 18m pour sa capture, elle se tient volontiers devant les grandes failles à la base des moulières. Étrangement, elle peut déserter certain secteur alors qu’elle pullule un peu plus loin. Le fusil : un 75 est largement suffisant, un 90 ira aussi si vous chassez avec, mais vu que l’on tire bien près vous risquez d’abimer vos flèches. Sa chair ne tient pas terrible mais la peau est bien dure, ce qui fait que la flèche tient bien le poisson, inutile de tirer dans le ventre pour me prouver le contraire ! Il n’y a pas d’anecdotes avec les vieilles….. Latin : labrus bergylta Autres noms communs français Vieille, vieille commune (général), Roucaou noir, rouquié, lucrèce, lasagne (Provence), Groarc'h (Finistère), Demoiselle, corlazo (Groix, Lorient), Vras (Cancale), Vrac (Granville), Crahotte, moulard (St Brieuc), Nade (Vendée, Noirmoutier), Matiote (Arcachon), Mutchurdina, tenka, durdoa, aihena (Pays Basque) Noms communs internationaux Ballan wrasse (GB), Gefleckter lippfisch (G), Geflekte lipvis (NL), Berggylt (Dan, N), Berggylta (S), Viherhuulikala (Fin), Vaquete, maragota (E), Margota, budiao (P), Laszi (I), Chilou papagallos (G), Kniazik (Pol) Synonymes du nom scientifique actuel Crenilabrus multidentatus Labrus variabilis Labrus reticulus Labrus maculatus Labrus afer Labrus donovani Labrus nubilus Labrus comber
  2. Bon alors je sens que je ne vais pas me faire que des amis: Je n'apprécie pas trop la chair de la daurade royale, trop sèche à mon gout. Aie, aie, pas sur la tête, pas sur la tête!
  3. la coque en cours de ponçage du mastic la marche pour monter à bord(pour les vieux) Elle est au dessus du niveau de l'eau de 5cm(si l'architecte ne s'est pas planté)
  4. T'as pas bien tout lu, le sommet était à Abidjan, mais les sous venaient de l'UE, qui a du encore une fois se faire rouler dans sciure
  5. Eric n'est pas en Vendée mais en Charentes maritimes et si c'est sur le spot du large, on ne peut réellement dire dans quel département il se trouve . Ce coin est un peu à part, doux euphémisme.....et pour tout dire durant les sept ou huit années où j'y suis allé, je n'ai vu ni moi ni mes acolytes, une seule daurade, ce fut plus tard ou plus tot leur venue reconnue sur ce spot
  6. La daurade Royale Je serais assez succinct à son sujet pour le simple fait que c’était un poisson quasi absent de Vendée, ce qui n’est plus le cas maintenant, les chasseurs en font régulièrement quelques spécimens. Et donc j’ai du tirer plus de maigres que de daurades. Je rappelle, AU pour daurade royale, AU étant le symbole de l’or, et O pour les autres dorades, dénominations commerciales. La seule fois où j’en ai sorti 3 de suite, c’est au lever du jour sur le sable dans un coin à maigres, dans la pénombre du soleil levant, je n’aurai pas dû car les maigres sont très souvent accompagnés des daurades, ou l’inverse, allez savoir. Bref ce n’est pas ma spécialité, mais j’ai tout de même quelques notions et quelques prises à mon actif. Elle est nettement plus présente en Bretagne et Maigrat qui sévit dans le 17 et le 33 nous dit que son stock est en forte régression dans son secteur. Elle est bien sûr présente partout en Méditerranée, suffit de regarder les ceintures de Sub Snipper pour s’en convaincre. Je ne sais si quelqu’un en a fait une à la coulée, ça ne doit pas être courant vu sa couardise, elle est faisable à l’agachon avec un très bon post et exécuté dans les règles de l’art, c’est même la meilleure méthode. Aussi craintive et difficile dehors que facile et même idiote à trou. Plusieurs auteurs racontent avoir vidé une pierre en les prenant à la main, c’est dire si une fois entrée, il n’y a guère de difficultés, elle ne bouge plus, terrifiée. La première que j’ai faite, c’était presque une indienne : à l’agachon dans 7/8m d’eau, j’en vois une grosse passer derrière une roche de quelques mètres de long devant moi. Je me suis précipité au bout de la roche et au moment où je me posais pour refaire l’agachon elle a pointé son nez, une jolie bête de 3.5kg. Elle ne se croise pas en pleine eau, mais on peut aussi la rencontrer sur le sable, des petites, toujours près du fond. Sa nourriture de base, ce sont les coquillages moules, balanes, patelles, les crustacés crabes et crevettes. C’est donc dans ce biotope que vous la trouverez le plus aisément. Elle peut atteindre de belles dimensions, le fishbase parle de 17.2kg pour 70cm….La plus grosse que j’ai vu en photo c’était de l’ordre de 10kg. Elle est enregistrée en record du monde en CSM à 6.9kg, vous avez tout le loisir de le faire tomber. Etant un poisson protandre(mâle d’abord, puis femelle) toutes les grosses au dessus du kilo seront donc des femelles. Que les âmes sensibles se contentent des mâles et laissent les belles auratas aux autres sanguinaires ! Nous avons une daurade royale ou un denti, difficile à dire, sous les tropiques. Le premier à en avoir sorti une fut Eric Vincent(de josgun) il y a trois ans, puis on en fait régulièrement sur une digue. La tache sur le front est argentée au lieu d'être couleur or, sous la barre noire. C'est pas très net sur cette photo, j'en ferais d'autres la prochaine prise
  7. Demande à Mam, il est du secteur des Sables et Adooore la pédagogie.
  8. Ah oui l'oubli du bouchon! Ca m'est arrivé une fois, évidemment. Au moment de repartir après la mise à l'eau, j'ai regardé dans le rétro et vu le bateau au corps mort qui penchait d'un coté, ça a fait tilt de suite, mais il a fallu deux heures pour ressortir le bateau, le vider et le remettre à l'eau AVEC le bouchon cette fois
  9. Je rappelle qu'il est interdit de pêcher avec des explosifs
  10. Aux lires de ce post, tu sembles bien isolé, mais les défauts ont peut être été rectifiés
  11. Il y a même un intrus dans le lot!
  12. C'était en 2017, la route est toujours dans le même état, mais certains se sont beaucoup enrichis remarque, il y a pire, la RN5 où j'ai habité pendant 5 ans, j'ai fini par abandonné et me réfugier à Tamatave. Ca donne ça à la saison des pluies
  13. Bienvenue à toi C'est plutôt l'inverse, tu peux obtenir tout la théorie que tu veux sur le forum, internet, les bouquins, il te manquera toujours la pratique , l'expérience indispensable Tu as beaucoup de chance d'avoir Ouzio qui se propose de t'aider, c'est un très bon chasseur qui pourra te dévoiler plein d'astuces
  14. Il y traine souvent un requin, mais surtout de jeunes con gres
  15. Rien de changer aujourd'hui, 20 ans après toujours la même phrase
  16. J'ai chassé un peu à la largable aux Baléares: eau très claire Je mettais 2kg de plus sur ma ceinture et passé 20m je larguais puisqu'il y avait 20m de fil. Et bien j'étais juste neutre avec zero plomb sur moi Mais quelle sensation agréable pour remonter, du velour
  17. Ayant quitté la France depuis dix ans, je n'ai pas suivi leur évolution. Et sa limite haute, c'est où maintenant, Normandie?
  18. Les sars Lorsque je lisais les livres sur la chasse sous marine il y a quarante ans, écrits donc une dizaine d’années auparavant, les auteurs parlaient du sar comme poisson typique de la méditerranée avec quelques spécimens présents en pays basque. Ils sont maintenant partout présents sur la façade atlantique et commence à envahir le nord Bretagne à notre plus grand plaisir. Tous les sars n’y sont pas encore, on commence seulement à faire quelques tambours en Vendée et pas encore de museau à pointu à ma connaissance, mais ça viendra. Et c’est tant mieux, d’abord par ce que le sar est un poisson extrêmement agréable à chasser et qu’en plus c’est un des meilleurs à manger, de mon point de vue. Lorsqu’ils sont arrivés en Vendée, il n’y a eu que les veirades pendant quelques années, pas tirables les plus gros ne dépassant pas les 500gr, puis d’un seul coup les sars communs sont arrivés et chaque année de plus en plus nombreux et de plus en plus gros. Le sar est surtout présent près des moulières dont il se nourrit. On le fait de différentes façons, mais la meilleure, c’est incontestablement l’agachon. L’agachon en bas des moulières au début des laminaires à marée descendante et en haut à marée haute jusque dans la mousse des falaises/rochers. Vous pouvez le surprendre à l’indienne, mais vous n’en ferez qu’un seul, le troupeau s’évanouissant de suite, il faudra recommencer. Si vous voulez en faire quelques uns, la technique consiste d’abord à repérer un troupeau en train de se nourrir. On fait immédiatement demi tour sans tirer, on repart en arrière d’une dizaine de mètres, on se prépare bien en surface et on descend pour trouver un post d’agachon positionné juste avant leur gagnage(lieu de nourrissage). On agachone sans les voir au détour d’une roche, c’est eux qui viendront vous voir, souvent un par un ou seulement quelques uns à la fois. Vous tirez le premier qui se présente, et dès le poisson fléché, on attrape le fil pour le ramener à soi et on fait de nouveau demi tour au fond pour ne ressortir à nouveau que 10 mètres plus loin. Vous achevez tranquillement votre poisson et vous recommencez. Bien exécuté c’est d’une redoutable efficacité, regardez cette pêche inoubliable sur une petite murette de phare à marée montante, avec au moins 3 doubles dans le lot, il y avait plusieurs milliers de sars au gagnage ce jour là et les tirs dans 1m d’eau….que des jolis de 1.6 à 1.8kg , les plus petits étant les doublés On peut faire de très gros sars à la période de reproduction, mai/juin , ils sont généralement à tourner au dessus d’une pierre dans les laminaires, souvent des mastard de 2kg et plus mais peu nombreux. Dans ce cas c’est agachon, ils ne se mettent pas à trou. Mon plus gros sar le fut à Brest lors d’une compétition : 2.340kg à trou(c’était hors période de reproduction), record qui tiendra 10 ans. Il y a bien plus gros maintenant,le record en compétition dans les 2.8kg il me semble et Maigrat nous a signalé 1 sar de 3.5kg en tant que professionnel. En effet il se prend fort bien à trou, et ainsi principalement en méditerranée, mais nettement moins gros. J’ai tout de même sorti en bordure des calanques un sar de 1.850kg, Titou était assez ébahi de cette pièce, j’ai mis 20 minutes pour le tirer dans une rague impossible, c’est d’ailleurs Titou qui l’avait repéré mais n’y arrivait pas avec son 90 et comme j’étais au 75…. Le 75 est l’arme parfaite à trou, même le 60. En atlantique il affectionne les pierres bien profondes, le plus noir possible, il peut y en avoir 30 ou 40 de belles tailles dans une même pierre, mais attention, si vous ne les tuez pas net dans la tête, les oiseaux s’envoleront de suite. On peut mettre un fusil devant chaque entrée pour leur faire peur et qu’ils restent bien planqués. Ils se tiennent bien avec les bars à trou, que des jolis à trou pas de tout petits, pareil pour les bars d'ailleurs, du moins en atlantique. Le tambour vit principalement en couple, les rares que j’ai pu tirer l’étaient ainsi. Il devient bien plus gros que le sar commun. Eric Vincent en a sorti un de 5.4kg! Le museau pointu, je ne connais pas, donc je n’en parlerais pas, si quelqu’un veut intervenir à son sujet, il sera le bienvenu. Le sar à tête noire ou veirade peut atteindre et dépasser le kilo, mais c’est assez rare . Eric en avait fait un bâtardé de sar commun bien gros il y a quelques années, ou du moins les deux taches noires n’étaient pas nettes, tranchées de mémoire. Il est assez peu chassé vu sa petite taille, sauf par les débutants ou que justement il atteint cette jolie taille Les autres variétés n’offrent pas d’intérêt, trop rares ou trop petits. Il n'est pas classé espèce en danger, pour l'instant, il est même plutot abondant Ma recette préférée du sar : On l’écaille, lui bourre le ventre avec des feuilles de fenouil, un oignon en tranche en dessous et un bon morceau de beurre au dessus, salé et poivré à l’intérieur. Le tout en papillotte au four, papier sulfurisé, 15 à 25mn selon la grosseur à four moyen. J’ai tendance à mettre cette recette à divers poissons, bars et balistes également Noms Autres noms communs français Sargue (de Rondelet), sar commun Noms communs internationaux White seabream (GB), Saraco, sarago maggiore, sargo rigato (I), Sargo, asparall (E), Sarg (Catalan), Bindenbrasse, Geißbrasse (D), Zilveren zeebrasem (NL), Sargo-legítimo-do-Mediterrâneo (P) Synonymes du nom scientifique actuel Sparus sargus Linnaeus, 1758 Diplodus sargus sargus (Linnaeus, 1758) Sparus cinctus Walbaum, 1792 Sparus varatulus Rafinesque, 1810 Sargus rondeletii Valenciennes, 18300 Diplodus rondeletii Valenciennes in Cuvier & Valenciennes, 1830 Sargus vetula Valenciennes, 1830
  19. +1 Mieux et moins cher qu'un aquarium. Je les trouve endormi ces poissons, ils font la sieste? Ce sont des restes d'épave à gauche?
  20. dom85

    Fabrication de palmes carbone

    Le truc que j'avais trouvé c'est de mettre 2m de tuyau et la pompe en hauteur, n'étant pas pro, j'utilisais un moteur de frigo, ça coute zero à la déchetterie, autrement il y a des vases à trop plein pour le sous vide Je suis étonné de la façon dont tu fais les déclives. Je pensais , peut être à tord que c'était des couches de carbone de plus en plus courtes pour y arriver, mais sur toute la largeur de la voilure, j'aurais tendance à croire que ça va voiler , plier la voilure en fort appuis sur l'eau les coupes de biais Perso pour terminer la cuisson du carbone, je faisais ça de façon empirique, en amateur pas en professionnel comme toi, Zorste, je mettais les pièces à"cuire" 1m au dessus d'un insert le soir de façon à ce que ça monte à 80° pendant plusieurs heures, c'était pas à 10° près bien évidement( les vapeurs sont aspirées dans la cheminée) Ensuite j'ai réalisé un four(étuve) pour faire ça dans l'atelier, toujours de façon empirique: caisson laine de verre, thermomètre 300°, pompe à vide avec moteur frigo et lampe infra-rouge, une installation à 50€.... Les soirées d'hiver sont longues en Vendée, faut bien s'occuper Et j'arrivais à sortir çà: capot de gauche d'origine et capot de droite en carbone
  21. Ah si il va y en avoir avec les chutes d'UPN, plus pour renforcer le timon que pour la réglementation dont tout le monde se fout ici, je roule même sans plaque ni feu à l'heure actuelle. Du moment que tu allumes les warnings, tout le monde est content Il est certain que pour la France, il vaut mieux rester sous les 500kg fatidiques et du coup vous pouvez descendre à 80 ou 70 dans les dimensions de fer UPN pour la cadre de la remorque. Quand on voit comment sont réalisées les remorques du commerce parfois avec de la coulisse de 2mm, on se demande comment elles ne plient pas? Et en plus ils vendent çà une fortune. En métropole, j'en avais réalisée une avec un essieu de caravane, il est nettement plus large que celui des petites voitures J'ai regardé le tarif pour une remorque comme la mienne, ça dépasse les 4 000€!!!!!!!!
  22. Il faut qu'il y ait suffisamment de flèche afin de pouvoir ouvrir le panneau arrière du 4 x 4 sans qu'il vienne buter sur la potence du treuil. C'était le cas de ma première remorque, et c'est vraiment chiant comme détail, devoir dételer pour prendre un outil dans la benne! Ah j'oubliais un détail qui a son importance: pas de roue jockey mais une jante de scooter à la place sous le treuil, c'est 100 fois plus pratique. Essayez de faire rouler une remorque sur la sable avec une roue jockey, vous allez de suite comprendre
  23. Pour vous donnez un ordre de prix de revient, les matériaux peuvent être moins chers en France, surtout l'acier . 4 Barres de fer U de 100 plus 4m de fer U de 70 : 470€ 3,5m tube 120 X 5(timon) 80€ 4 tiges filetées de 18 et 30 rondelles: 15€ 2 essieux de 405 complet, occasion avec jantes et pneus : 460€ 8 rouleaux diabolos de 25cm x 10cm et 8 rouleaux de 100 X 40mm: 110€ le treuil: 65€ le manchon: 22€ un paquet de baguettes de soudure de 3.2mm air liquide: 28€ 5kg peinture anti rouille et divers rouleaux, pinceaux, nettoyant: 50€ TOTAL: 1300€
  24. le plan de ma remorque actuelle donc pour un bateau de 6.50m: le plan de la future remorque, donc pour un bateau de 7.30m. Quelques petites modif: la largeur du premier cadre dépend de la largeur de vos rouleaux diabolos plus l'épaisseur de ferU de 70 plus environ 1cm de jeu La largeur du second cadre dépend uniquement des points de fixations de vos essieux les petites pattes des diabolos faites dans le fer U de 70x5, c'est surement là où l'on passe le plus de temps, surtout avec une simple perceuse pour faire le trou de 18, avec évidement un avant trou de 5 puis de 12mm Le perçage doit arriver au raz du cadre en ferU de 100 afin que l'axe affleure le cadre, celui de la photo sera le dernier vers l'avant, un poil plus haut pour suivre la courbure de la carène En place ça donne ça: Le tas de rouleaux: Il est bien évident qu'en France, chez un ferrailleur vous trouverez des barres inox pour les axes de rouleaux, mais ceux de mes précedentes remorques n'ont jamais rouillés au point de non retour avec un diamètre suffisament élévé et un coup de peinture En bon bourrin je ne rince pas la remorque, tout simplement par ce que jusqu'à présent pas d'eau sur la place de stationnement..... Par contre je verifie bien que les roulements soient noyés dans la graisse au moins une fois tous les deux ans.................................... Dans le hangard à bateau, il y aura l'eau bientot!
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