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dom85

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Tout ce qui a été posté par dom85

  1. Cela me rappelle, il y a presque 30 ans, mon ami Roger tire un napoléon d'au moins 50kg dans la tête avec son 120 double sandows et flèche de 7mm en inox à 1.50m devant la pointe. Résultat, le napo n'a pas bougé, la flèche a été pliée sevèrement sous l'impact, sans qu'elle pénètre le crane . J'étais juste au dessus de lui, 20m plus haut, j'ai bien rigolé lorsqu'il est remonté dépité
  2. Une flèche qui se tortille doit perdre presque la moitié de sa puissance, il est impératif de l'en empecher. D'un, elle perd de la puissance car celle ci est absorbée par la force qui crée l'ondulation, deux elle en perd encore plus par la trainée augmentée par son augmentation très forte du Cx Eric, la physique des trainées engendrée dans un milieu visqueux est beaucoup plus compliquée que la formule Ce=1/2 de MV2, c'est bien plus complexe, sinon il serait impossible à l'espadon voilier d'atteindre la vitesse de 120km/h soit 33m/s, peut etre plus rapide que ta flèche Tiens je te renvois à cette étude,:https://www.encyclopedie-environnement.org/physique/trainee-corps-en-mouvement/ Je me suis forcé à le lire, c'est assez indigeste, il y a plein d'autres données qui entrent en jeu: turbulence,la force hydrostatique, la trainée gravitaire,la pression dynamique,le nombre de Reynolds,le nombre de Foudre, le coef de pénétration, viscosité......J'en passe et des meilleures. Les uns diminuent les freins, les autres l'augmentent Un exemple, plus ta flèche est longue, moins la trainée sera forte, ça doit être le nombre de Reynolds si j'ai retenu quelque chose Un simple bulbe à l'avant d'un bateau peut lui faire gagner 15% sur sa vitesse, ça c'est la trainée gravitaire ETC..... Pétard, on voit qu'on est en hiver et pas dans l'eau
  3. En Vendée, pendant au moins quinze ans, on ne voyait que du petits sars, max 600gr et puis d'un seul coup on a eu des gros, et depuis vingt ans, des sars de 2kg sont réguliers. Pourquoi? Mystère!
  4. Si tu as bien regardé le tableau des correspondance de dureté, rockwell, brunell, Vickers, etc toute les données correspondent dans les grandeurs; Je ne me focalise pas sur le MPa, c'est que c'est la seule donnée que j'ai pour les spearmaster et les RA. Pas de problème Marc o, si tu veux mettre des flèches en zicral, vas y La seule chose sur laquelle je me focalise c'est celle là: Et je n'ai jamais eu une pointe émoussée, même lorsque je tire dans la ferraille des épaves, y a pas de granit breton non plus à Mada
  5. dom85

    palmes C4

    Quelle idée saugrenue!
  6. Tiens, avec un peu de recherche j'ai trouvé pour ta flèche sigal, dans leur pub: La nouvelle fleche par la marque Sigal s'appelle HRC et prends son nom du test de dureté de l'acier qui est réalisé par pénétration à l'aide d'une pointe en diamant. Les fleches sont en acier sandvik avec un traitement thermique 48 / 50HRC qui les rend très tenaces même lorsqu'ils frappent les rochers les plus durs. La particularité de cette nouvelle série est représentée par la présence d'ergots à "aileron de requin" soudés au laser dans un boîtier non traversant qui évite la présence de points critiques structurels. et voilà un tableau de comparaison pour les duretés HRC et mpa: http://www.metaux-detail.com/pdf/caracteristique/TABLEAUCOMPARATIFDESDURETES.pdf Du coup la flèche sigal monte un peu, elle arrive entre 1600 et 1700mpa c'est encore loin des 2100mpa de RA et pour un prix plus du double! Seul avantage, elle ne rouille pas
  7. Ben oui, ta flèche dans le U est coincée ,et donc empechée d'onduler avant de sortir. Une flèche comme la RA qui se tortille par ce qu'il n'a pas un bon guide, ne perd pas en précision grace à son module d'élasticité, mais par contre elle perd pas mal en puissance, car c'est de l'énergie perdue dans ce tortillage.
  8. Ca me rappelle, l'année dernière un copain arrive avec du sandow de 21mm beuchat noir, sportmed lui a fait un prix sur le lot car invendable. Il me demande ce que j'en pense. Je lui réponds que parmi les meilleurs que j'ai eu en mains il y avait du 19mm beuchat noir. Et là , surprise, impossible de dépasser un coef 2, ingérable
  9. Exact, éviter d'avoir la lumière dans les yeux, et laisser passer les mulets dans l'espoir de faire un bar derrière, ou laisser les bars et les daurades pour tirer un maigre. On agachonne bien sur là où l'environnement semble propice: de la faune, de la vie bien abondante, ne pas perdre son temps dans un désert Dans ce que j'appelle les croyances , il y a aussi le camouflage qui n'a jamais été démontré, sauf à ressembler à une touffe de laminaires, dans le style habits de sniper. L'agachon sur le sable ou en pleine eau le démontre, on cherche à attirer le poisson par sa curiosité. Evitez de pointer directement votre arbalète lorsque vous voyez le poisson a bonne distance, attendre qu'il soit presque à portée. Nono par exemple garde son fusil le long du corps presque jusqu'au dernier moment
  10. La technique qui suit l’indienne, c’est l’agachon Technique restée secrète à ses débuts (50/60 ans), utilisée par les champions de l’époque. Cette technique est valable dans le monde entier. On peut l’appliquer de différentes façons, son but c’est d’attirer les poissons curieux et de paraitre inoffensif. Ça n’est pas toujours évident, votre regard concupiscent (non ce n’est pas une triple grossièreté) peut suffire à faire prendre conscience du danger au poisson. On peut l’appliquer dans l’eau sale comme dans 30m de visibilité. Allez on y va. On commence par un canard impeccable(en général les poissons savent déjà que vous descendez et s’écartent, entrent à trou). La descente doit se faire en douceur, pas de forts coups de palmes, évitez aussi le coup de bras pour vous aider à descendre, ça envoi une onde forte. Comme pour l’indienne on arrête de palmer quelques mètres avant le fond, puis il faut trouver le bon post souvent en pratiquant une petite indienne. Ce n’est pas si évident que çà de trouver le bon post. Il ne faut surtout pas être en avant sur un tombant, mais au contraire en retrait, ne pas voir ce qui se passe en bas est frustrant mais crucial pour que le poisson méfiant approche, et il l'est de plus en plus de nos jours. Idem dans les roches, ne pas se mettre sur le haut d’une roche pour tout dominer, sauf si vous visez les pélagiques. On peut le pratiquer de bien des manières mais le principe de base , c’est de s’aplatir le plus possible , épouser la forme du rocher/fond , le fusil pointé vers là où vous supposez qu’un poisson va arriver. Les palmes doivent impérativement être à plat sur le sol, votre main libre doit s’accrocher à une aspérité ou un laminaire pour vous stabiliser car il ne faut plus bouger, ce n'est pas toujours aisé avec une bonne houle. Face au courant ou dos au courant, les deux méthodes se discutent Si rien n’est venu au bout de trente secondes, il y peu de chance pour que ça vienne ensuite, dans 95% des cas, le poisson viendra dans les 15 secondes. Si c’est un bon post , il faut parfois 3 agachons pour faire venir les poissons. Si donc on veut insister, il faut faire demi tour au fond, quelques mètres avant de remonter à la surface. Il m’est arrivé de faire 5 agachons avant de parvenir à faire venir des carpes rouges hyper méfiantes que je voyais 20m devant. Les bars,mulets, daurades, sars, dentis, maigres viennent bien à l’agachon. Vous trouvez une pierre pleine de poissons, pas de précipitation. Un agachon devant les entrées à 2/3mètres selon la turbidité et vous ne tirez que les poissons dehors ou ensuite qui viennent musarder à l’entrée. Vous continuez tant que vous les voyez ou que votre quota, de nos jours le permet. Pour la suite j’en parlerai dans la pêche à trou. Avec des poissons méfiants qui hésitent à venir mais que vous voyez, il est possible aussi de faire celui qui a peur, vous reculez doucement, l’air apeuré, vous aplatir encore plus. Vous pouvez pratiquer aussi l’agachon sur le sable bien en évidence à quelques mètres des roches, ça fonctionne pour les daurades et les maigres. Une autre technique de l’agachon , consiste à se mettre sur le sable à genoux, vous posez votre fusil à coté(s’il ne flotte pas) puis vous soulevez du sable par brassées et lorsqu’il y a un joli nuage, on se met en position d’agachon dedans, bien à plat. Marche très bien sur certains poissons méfiants, ombrines, vivaneaux. Le choix du post d’agachon est très important à déceler. Une anecdote pour illustrer mes propos : nous chassons à trois, deux champions de Bretagne et moi sur une ile de Vendée. Pas grand-chose à la cote depuis plusieurs heures, et je me rappelle que je connais un sec à quelques centaines de mètres du bord, on y va, on ancre le bateau derrière le sec. Le haut est bien visible à une dizaine de mètres de la surface. Un immense banc de bars tournent autour et descend dans les profondeurs dès le canard amorcé. 3 mètres environ plus bas sous le sommet, une marche permet un superbe post d’agachon, elle est longue de 5 mètres environ sur 2 de large, le reste de la roche est lisse. On descend agachonner chacun notre tour . Je sortirais 9 bars , mes deux collègues, 3 pour l’un et 4 pour l’autre. Pourquoi ? Ils étaient d’excellents chasseurs mais ils n’ont pas compris la subtilité du bon post et se posaient juste à un mètre à coté, pourtant ils me voyaient faire depuis la surface. Nous avions le même fusil un 90, vu la visibilité excellente. On n’est jamais descendu plus bas, pourtant il y avait les gros en bas, pour préserver ce magnifique sec. Tous les bars tirés faisaient de 1 à 2 kg, formatés. Ensuite, je ne suis pas partisan des bruits divers et variés, je n'y crois pas plus qu'à la poudre de perlinpinpin. Je laisse chacun à ses croyances et certitudes Alors, le fusil d’agachon, vaste débat. Déjà il est bien évident que dans 2m de visi, un 90 sera un handicap, vous verrez à peine la pointe. Plus la visibilité est basse et plus le fusil doit être maniable, donc court. Il faut tirer rapidement et si possible dans la tête. Comme pour l’indienne je recommande de choisir le fusil le plus maniable possible car le poisson qui vient vous voir, une fois qu’il aura jaugé le danger, il va démarrer tel un boulet de canon. Idem avec de la houle réduisez la longueur du fusil, comme pour la chasse : un 76 de canon pour la hutte, un 71 pour la plaine et un 68 pour le sous bois. Sur les iles de Marseille en hiver, je n'utilisais que le 90 la plupart du temps, on chasse les loups dans très peu d'eau, et même parfois le 75 par fort mistral, clapots et donc eau un peu troublée. L’idéal c’est vrai, un pneumatique, faut seulement être capable de faire mouche avec, surtout rapidement. La rapidité est primordiale à mon avis, mais pas la précipitation. Vous pouvez tirer un poisson qui a fait demi tour, il m’est arrivé de lacher la flèche alors que je ne voyais plus le poisson, et faire mouche(pas à tous les coups) mais il vous faudra quelques années d’expérience et surtout être en parfaite harmonie avec votre fusil, au vues de ce que je lis, ce n’est pas évident. L’agachon de pleine eau, je le réserve avec la technique du baron(flasher) Si l'agachon est l'une des méthodes de chasse les plus efficaces, ce n'est pas non plus à utiliser à toutes les sauces. Lorsque je me suis installé à Madagascar il y maintenant dix ans, je ne pratiquais que l'agachon et un peu la chasse au baron. Puis il y cinq ans, j'ai changé de place et suis arrivé à Tamatave et j'ai commencé à chasser avec un local, Nono(un super bon, il est pro) que je connaissais mais peu sorti avec lui auparavant. Dans les eaux claires de l'océan indien je l'ai bien observé car il sortait régulièrement plus de mérous que moi qui ne pratiquais que l'agachon. sa technique donc consiste à survoler la zone à 10/15m au dessus du fond pour repérer les mérous qui ne bougent guère, surtout les cabots à oeil d'or. Une fois repéré soit on coule sur lui, soit on trouve alors un post d'agachon au fond. Tout simplement par ce que les merous bougent peu de leur repère et ne viennent à l'agachon que si vous êtes à moins de 10m. Depuis grace à Nono, j'ai sérieusement augmenter mes prises sur cette espèce. Sur les coins connus, ragues et pierres, on attaque directement l'agachon. Il fait savoir s'adapter, Titou me disait qu'il lui fallait quinze jours pour comprendre le comportement des poissons dans un nouveau coin du monde. Il m'aura fallu 5 ans et encore je ne compte pas les dix années précédentes où je ne venais qu'en vacances, pour m'adapter
  11. Certains sandows sont particulièrement raides, comme je n'ai pas essayé je ne me permettrais pas de juger
  12. En spearmaster, tu ne les plieras pas surtout en 8mm, heureusement car tu ne les déplierais pas non plus Ouzio, j'ai pas bien saisi ta methode
  13. La résine epoxy n'est pas absorbée par le bois, il y a un apprêt epoxy pour la peinture ensuite Pour l'instant il y a seulement 90kg de résine d'utilisée, surement 130kg au final, je dirais environ 400kg de bois. Tout est noté dans un cahier. Il faut 2kg de resine pour 1kg de laine de verre/roving le bateau devrait etre dans les prévisions du départ, moins de 700kg pour la coque Quand à la durée de vie des plastiques, je ne monterais plus sur le bateau dans 20 ans, surement bien avant çà
  14. dom85

    palmes C4

    Piriac/Croisic c'est idem le sud Vendée, jamais clair avant mai
  15. Et du polyglut? pour l'accrochage
  16. Eric, tu compares une 7 à une flèche de 8mm, c'est 30% de matière en plus et il suffit que ton fusil ait un guide flèche plus profond de 1mm pour empecher celle ci d'onduler, et si tu mets encore plus de puissance, un enclose track empeche aussi la flèche d'onduler, cas des wong Tiens, puisque tu es septique, je te remets un autre affichage de dureté pour du HCR, le 17.4PH: Shaft Salvimar Ø 6 mm. 17-4 PH • Tahitian shaft, 17-4PH Stainless Steel. • Traction resistance 1300N/mm2. • Hardness: 45 HRC. • Wing: 7,4cm. 1300MPA au lieu de 2100 pour une RA (N/mm2 = MPA) Y a pas photo J'ai commis une erreur plus haut c'est 2100 et pas 2200mpa pour les RA, ce sont les spearmasters qui sont en 2200mpa, ma mémoire n'est plus si bonne qu'avant...
  17. Seulement tu es sur un 52 d'étirement si j'ai bien lu le mètre Donc 52 moins 4cm d'obus = 48 : 16 = 3 de coef au second cran Il y aurait même plutot 6cm d'obus si je prends jusqu'à la ligature, entre le 16 et 22, du coup on tombe à 2.87 de coef. Chtimax, t'es un mou humour bien sur
  18. Le caisson devant le moteur avant sa fermeture, passage des cables electriques dans un tube PVC Le même caisson refermé, ça ne parait pas on a mis 35 bouteilles de 1.5L dedans On voit aussi la découpe du second panneau pour passer plus facilement lors de la remontée du chasseur sur le bateau(une plage arrière est prévue ), les passages d'eau du pont par le caisson devant moteur et le plat-bord stratifié Le premier caisson empli de bouteilles. D'un seul coup ça a fait tilt en pensant à la remarque de petit bleu sur les bidons, je me suis souvenu que j'avais une vingtaine de bidons de 20L, ça va faire gagner du temps. Au total il devrait y avoir 650 litres de flottabilité dans le pont sans compter le crashbox et le caisson d'étrave
  19. René tire aussi de gros poissons, d'où les flèches tordues
  20. Je vois qu'on meule un peu trop près des vitres? Amusant, j'ai le même merd..... sur mon établi
  21. Je peux te dire que non, je connais quelqu'un qui a été verbalisé par ce qu'il vidait son poisson et que son bateau avait dérivé jusque dans la zone interdite Heureusement, au tribunal il a été établi que l'infraction n'était pas établie et il a été acquitté
  22. Il propose aussi des sorties chasse, si j'ai bonne mémoire, non?
  23. Je te retourne le compliment, Marco parle de son 75...... Et aussi, j'ai dit 3.7 à 3.8 pour mon 3 sandows, je parlais de 4 pour mon 140 BWK à 2 sandows il y a bien, mais alors bien longtemps
  24. Coef = la mesure d'étirement possible entre la tete et l'encoche où tu veux le mettre, moins la longueur de l'obus, divisé par la longueur du sandow
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