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dom85

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Tout ce qui a été posté par dom85

  1. Wiwi, ton baron sous l'eau , pas terrible, les lanières restent ensembles Le second, me semblait mieux.La preuve même les requins l'apprécient! Par contre je mets un petit fil nylon pour qu'on ne voit rien Le mien fait avec un cubi, tel le baron D'astignac de Jack Pass, donne d'excellents résultats, lorsque tu l'agites un poil, tu jurerais un poulpe brillant, mais dès que les lanières perdent un peu de leur brillant, il faut le remplacer, ce qui m'oblige à boire un nouveau cubi(de 5L, le 3L est trop petit) J'avais fait un baron dans une tôle d'inox ressemblant à un saumon, il fonctionnait super bien, même une loche est venue le gober, mais l'a recracher. Je l'ai laisser à un copain, il a fait des cartons avec. J'ai tenter d'en refaire un identique: jamais un seul poisson n'est venu!!!!!! Je suis revenu au vieux baron....
  2. Pour illustrer les techniques de chasse, je cherche des photos de baron sous l'eau si possible Avec le transfert du forum, tous les sujets anciens ont disparu, ainsi que les photos Merci de bien vouloir m'en mettre quelques unes ici
  3. Tu as parfaitement raison Lorsqu'on boulège, c'est 4 à 5 km/h maxi, après on risque l'arrachage de masque et accroché à une corde derrière un bateau c'est idem
  4. Certains hivers très froids, il y avait des millions de homards morts à la cote, ils servaient d'engrais dans les champs..... Une loi française interdisait de servir plus de 3 fois par semaine du homard à ses employés.... Il y a 50 ans la seiche ne se vendait pas sur les étalages en France, elle partait par wagon en Italie et Espagne Tato, tu vas te faire honnir, certains du forum apprécient la grise, et même qu'ils la serve à leur belle mère
  5. Le tube qui s'en rapproche le plus avec renforts internes plus un guide flèche intégral, c'est le tube carbone imersion. C'est mon arbalète préférée maintenant, tous les défauts sont éffacés et il reçoit les poignées inversées en prime, Picasso ou némésis
  6. Dans beaucoup de pays
  7. Pas dans mon cas, je suis déjà sourd et j'ai du mal à comprendre ce qu'on me dit en français, alors imagine dans une autre langue
  8. Tiens, au fait dans les critères d'expatriation, il y a la langue. Indispensable de pouvoir se faire comprendre si on veut vivre sur place. Exemple, je ne parle que français donc exit les amériques, une bonne partie de l'asie sauf les anciennes colonies française où la langue est encore un peu parler. Une grosse barrière la langue
  9. la mienne était en 75 et tenait un sandow de 20mm en gros coef, sans cintrer ou si peu que ça ne jouait pas sur la précision oui Maigrat, le changement d'une série qui fonctionne m'a toujours étonné mais c'est surement que lorsqu'un modèle est trop solide, ils en vendent peu....Il aura fallu pas mal d'années pour revenir au tube ovale, version os de seiche maintenant, parfois trop volumineux
  10. Un masque trop serré peut filer des douleurs au sinus lorsqu'on est sensible
  11. Alors oui c'est bien la poignée topshot seconde version, mais le tube ovale en alu, je ne le trouve pas. Poignée grise et detente/pince fil vert pale, de mèèèèèèemoire, il y avait un autocollant espadon sur le tube
  12. Non désolé, c'est autre chose, une forme nettement plus moderne, je dirais que c'était entre les années 95 et 2005. C'était le premier tube ovale(en alu) mais la poignée était en plastique gris, il y avait un guide flèche en plastique qui cassait régulièrement d'ailleurs. Je n'ai aucune photo de l'époque, mon ordinateur ayant brulé dans un incendie il y a une bonne dizaine d'années et je n'ai pas trouvé de photo de ce fusil sur le net Je dois encore avoir un guide flèche, je vais le retrouver et te le mettre en photo
  13. dom85

    Premiere rencontre

    Nous , lorsqu'elles sont là, c'est mauvais signe
  14. Tu peux mettre 3.8 mais ils ne vont pas durer longtemps, si tu restes à 3.6, ça doit être impeccable
  15. C'est pas encore ce modèle, elle était grise mais le talon de la poignée était plus gros, et il y avait bien une molette de réglage de la détente Je l'ai gardé plus de 10 ans et réussi plein de compétitions avec et je chassais aussi tous les jours avec
  16. Ce crane de loche pour expliquer le blindage de celui-ci. Il y a 3 ans, je suis sur l'épave du London(110m de long) posé sur le sable 28m plus bas. Passé quelques mètres l'eau est cristalline, je vois bien la moitié de l'épave. Second agachon en pleine eau vers une dizaine de mètres sous la surface, je sens une présence à coté de moi. Je tourne doucement la tête et une loche d'environ 150kg est là ,à me regarder à 3m, je ne l'ai pas vu arriver. Je commence à tourner doucement le fusil, elle donne un coup de queue et descend de 6m, fait demi tour et me regarde debout sur la queue. Je me laisse couler vers elle , fusil pointé sur sa tête, à 4m elle commence à tourner, je lui lâche la flèche 2cm derrière l’œil(je suis avec mon 140 double sandows de 18) Elle reste une demi seconde sans bouger, donne juste un coup de tête. puis descend doucement sur l'épave. On la voit régulièrement avec son bout de métal dans la tête. La flèche a cassé au niveau de l'ardillon(acier springsteel de 7mm) Un ami chassait avec MBA au Gabon, il y a une vingtaine d'années. Sur les recommandations de MBA il se fait faire un chez Pelletier un fusil de 130, avec adaptateur de mini bouteille de plongée(Fenzy) gonflée à 200bars au lieu des 60 des sparclettes CO2. Au pied d'une structure, vers les 24m une loche est posée sur le sable. Il s'approche à 2m, lui loge la flèche de 11mm en titane dans le point létal du dessus du crane. La Loche par réflexe démarre et se repose sur le fond deux mètres plus loin, morte. La flèche est pliée à 90° le long du corps, mais s'est arrêtée au niveau de l'ardillon....350kg la loche, il faudra une hache pour ressortir la pointe du crâne. MBA a abandonné le Pelletier au profit des roulettes, les flèches coutaient plus cher que la vente d'une loche de 200kg. Maintenant voici une loche de 250kg faite au 110, Guy a logé la flèche dans l'oeil, tuée nette, à Sainte Marie.
  17. J'ai déjà vu plein de poissons remonté de 30m avec de telles vessies natatoires, les mérous d'Olivier par exemple, mais c'est différent entre un animal qui combat, bloque tous ses sphincters et un animal qui remonte de sa propre volonté. Pour faire une analogie, un cerf qui est poursuivi par une meute de chiens meurt régulièrement d'urémie si on ne l'achève pas, car il ne pisse plus dans la course poursuite, alors que tout seul il peut courir sans aucun soucis des heures derrières ses biches, il relache sa vessie
  18. Bien sur que j'en suis sur, je les ai vu venir et même une fois de plus de 40m, et rapide leur montée en plus. Pour comprendre le blindage d'un crane de loche:
  19. Oui là où il est encore abondant, mais de plus ça va rendre les suivants bien plus méfiants lorsqu'ils ont vu leur congénères se faire flinguer là où ils pensaient être en sécurité. De plus ce n'est pas ce que j'ai dit, j'ai dit exactement ceci: un autre merou prendra sa place dans le secteur Tu connais le proverbe: faite ce que je dis , pas ce que j'ai fait
  20. La seule poignée Beuchat que j'ai bien aimé ce fut sur l'espadon, je ne sais de quelle modèle il s'agit. Il avait le tube ovale en alu. Pas le Beuchat espadon actuel, dont je ne dirais rien.... Celle là était impécable
  21. Titou qui a des apnées identiques aux miennes, ne tiraient jamais les mérous à trou non plus et sa profondeur maxi à laquelle il descendait c'était 26m. Faut avoir les capacités d'un Olivier ou Martial pour chasser profond et à trou, en plus ça vide un secteur de nettoyer le quartier en tirant dans les trous Perso, je n'ai fait que quelques petits mérous bruns entre 3 et 7kg en méditerranée, du temps où c'était autorisé, à trou d'ailleurs(donc il y a plus de vingt ans). Chaque fois j'ai passé un certain temps pour les sortir et c'était avec un 90! Je n'imagine même pas mettre mon 140 et sa flèche de 180 dans une entrée de patate maintenant
  22. Si tu as un doute sur l'arnaque du small ID, fait le calcul : Pi X R carré du sandow moins Pi X R carré du trou et ce, pour les deux sandows et fait le calcul de pourcentage de gain de matière. On te vend 50% plus cher 3 ou 4 % de matière en plus
  23. Les mérous Ayant pour noms communs : mérous, cabots, babones, loches pour les espèces géantes. Il en existe plus de 400 variétés mais il y aurait beaucoup de doublons et ne seraient en réalité que 260 , ce qui est déjà pléthore. Ils se ressemblent par bien des points, seules les loches lancealotus et gigas sont morphologiquement différentes ainsi que les « plates » et mérou faraud. Sinon, tous se ressemblent par la forme et par leurs comportements. Carnassiers voraces, ils peuvent chasser en couple ou en association avec une murène, ces dernières observations sont toutefois rarissimes, la plupart du temps il est solitaire, mais sur certains spots, il peut y en avoir jusqu’à une bonne dizaine, c’est bien rare de nos jours. plate noire, croissant queue jaune et babone: Ils vivent depuis la barrière de corail dans 1m d’eau jusqu’à plusieurs centaines de mètres de profondeur. La majorité se tenant dans 5 à 40m. Ils adorent les trous, cavernes, ragues, patates creuses, un peu moins les épaves sauf pour les loches, et se tiennent en général devant à quelques mètres mais s’y réfugient en cas de danger ou tirés. Faciles lorsqu’ils sont peu chasser, à très difficile pour les gros adultes dans les zones fréquentées par l’homme. On peut les nourrir à la main dans les réserves, à 50m à coté de la réserve, ils se tiennent à distance. Tout le monde a vu Jojo le mérou dans les films de Cousteau, (un mérou malabar) et qui pourtant passait régulièrement dans les marmites des pécheurs locaux ou …. de la Calypso (lire les livres de Dumas). Lorsque vous en retirez un d’un secteur , un autre d’à peu près la même taille prend sa place. Ils sont territoriaux. Une loche sur une épave peut être agressive et vous charger ou rester méfiante et se planquer à la moindre vu d’un plongeur, ça fait des années que je vois la même sur le London. J’ai vu même des mérous venir me piquer le poisson sur la flèche en pleine eau, quitte à se faire prendre à la main(je n’y suis pas parvenu, mais ce fut « just » pour lui) . C’est l’un des poissons du récif les plus intéressant à chasser, tous les comportements sont possibles. Aperçu depuis la surface, avec un bon canard et une coulée silencieuse, il sera à votre portée de fusil, que ce soit un mérou de méditerranée ou des tropiques, il va rester debout sur sa queue à vous regarder arriver sans bouger, mais dès qu’il commence à devenir nerveux, bouger et commencer à se tourner, il faut le tirer immédiatement car une demi seconde plus tard il aura giclé. Le plus facile reste un agachon à dix mètres devant son repaire, bien curieux il viendra museauter à quelques mètres de vous. Il peut même venir au baron depuis des fonds de 30m, monter jusqu’au leurre, j’ai du en faire 3 ou 4 ainsi, souvent des cabots marrons (mérou malabar) Un jour mon équipier tire un beau mérou malabar qui s’enrague au fond d’une patate. Il descend 5 ou 6 fois, le dérague mais il s’y remet aussitôt ; depuis la surface, en revenant je distingue des babones très intriguées par ce raffut, je parviendrais à tirer trois babones à quelques mètres de lui….avant de l’aider. Comme pour presque tous les poissons, les plus gros en taille maxi sont devenus plus que méfiants, ils ont vu tellement vu de leurs congénères se faire prendre à l’hameçon, filet ou flèches qu’ils sont particulièrement attentifs à leur distance de sécurité(sauf certaines grosses loches qui ne craignent plus aucun prédateur, et encore) Donc faire un mérou proche de sa taille record est réservé aux très bons chasseurs. Titou comme Amengual, avait la passion des mérous bruns, parmi tous les poissons de leur grande carrière, c’est Amengual qui en fit un juste au dessus des 40kg alors que Titou ne du se contenter que d’un de 39kg…..Ce mérou brun a déjà changé trois fois de noms…. Il y en a bien sur dans tous les océans, à bien se renseigner avant de tirer car il peut être sujet à la ciguatéra dans pas mal de secteur, et donc inutile d’ôter la vie d’un poisson non consommable. C’est l’un des meilleurs poissons à manger, sauf les très gros spécimens qui deviennent fibreux. Un bonus particulier pour le pletropomus laévis appelé encore mérou royal ou mérou sellé, donc la chair est blanche nacrée comme la carangue dorée(royale aussi), d’une très grande finesse, en plus, il se mérite, plus farouche que les autres babones même au stade juvénile. Le mérou faraud comme la plate noire sont des mérous aplatis. Bien plus rares à trouver, mais même façon de chasser. La loche géante lancéalotus est malgré tout assez répandue. J’en rencontre 3 ou 4 chaque année, de 50 à 180kg ; elles se tiennent hors de portée ou alors je n’ai pas le fusil adéquat lors de leur rencontre. Leur crâne est aussi blindé que du béton armé. Elle est fort commune en Guyanne et plus facile à capturer à la ligne car elle a nettement moins de défense hors de son trou, je crois qu’elle y est protégée maintenant. Anecdote: je me trouve sur un tombant de récif, ça passe de 15 à 35m, l'eau est très claire en haut et commence à se salir vers les 20m. Alors que je me trouve sur les 15m, je discerne 10m plus bas une tache noire séparée du tombant, je me laisse couler pour voir de quoi il s'agit: c'est une loche monstrueuse, au moins 1.50m de diamètre pour plus de 3m de long, elle est sur sa queue à me regarder. Je suis remonté en tenant l'arbalète vers le bas et en regardant bien autour de mes palmes tout le long de la remontée. J'ai mis plusieurs mois avant de retourner chasser sur ce secteur.... Je garde toujours à l'esprit cette loche pêchée en Nouvelle Calédonie de 250kg qui digérait une autre loche dans sa gueule de plus de 100kg. Le tir d’un mérou doit être de suite freiné pour l’empêcher de partir à trou, sinon gare…Une babone de 5 kg vous tord une flèche de 7mm en acier springsteel à l’entrée de son repaire. Personnellement, je ne les tire jamais à trou. Je ne cherche pas des ennuis, de plus étant mauvais apnéiste je me vois mal batailler dans 18m avec du courant. Une fois, je tire une babone sur 15m de dessus et juste au ras d’une grosse patate de corail, la flèche l’a traversé et s’est plantée dans le corail. Il m’a fallu 5 plongées pour faire un trou dans le corail avec le couteau pour en ressortir la flèche, l’ardillon s’était ouvert de l’autre coté. Le nombre de chasseurs ayant laissé la vie sur des mérous est important. Je ne tire jamais de poissons à trou, d’abord pour éviter ce genre de mésaventure et puis ça leur fait une cachette et ainsi on ne vide pas un secteur, on préserve , il y en a suffisamment à tirer à l’agachon ou la coulée pour leur laisser une cachette tranquille. Le mérou camouflage(épinéphélus polyphékodion) ressemble beaucoup à la loche crasseuse(épinéphélus fuscoguttatus) mais celle-ci est extrêmement rare à capturer, une seule en 25 ans pour ma part. Le malabar leur ressemble pas mal aussi, le mérou patate lui est plus prognathe. Bref vous l’avez compris, on peut réellement les différencier une fois dans la main avec un bon livre d’ichtyologie ou alors faut être expert en mérous. mérou malabar: la très rare loche crasseuse(épinéphélus fuscogattus) Un petit mérou fait partie des médailles d’honneur à accrocher à son tableau de chasse : le variola louti, aussi appelé croissant queue jaune. Les plus gros atteignent les 5kg. Particulièrement méfiant dans la plupart des coins du monde hormis quelques iles perdues du bout du monde, il faut souvent une apnée de 2mn à 15/20m de profondeur pour qu’il se décide à venir à l’agachon. variola louti: Le matériel, en dehors des loches, pour les capturer est une bonne arbalète bien solide de 120 à 140 avec un sandow bien puissant pour les spécimens courants. Les plectropomus peuvent avoir des réactions ultra rapides. Un exemple, un jour je tombe sur 5 belles babones genre 4 à 6kg sur un spot, elles viennent toutes me voir à l’agachon mais se tiennent à un bon 4m. Je vais tirer trois fois de suite avec mon 140, mono sandow de 18 mais un peu fatigué et à chaque fois, elles évitent la flèche. Je remonte sur le bateau , prends mon autre 140 mais à deux sandows et là plus de soucis je ferais la plus grosse. 8 fois sur dix vous les tirez de face, donc en théorie elles devraient se prendre la flèche en pleine tête et bien, elles se retrouvent avec la flèche en plein travers du corps, elle à eu le réflexe de se retourner et si vous manquez de puissance(rapidité), elle aura démarré, cela se mesure en centième de seconde. Ne pas tirer avec une pointe détachable les mérous, c'est la bonne idée pour tout perdre, s'il entre à trou, la flèche le long du corps le laisse passer jusqu'au fond de son antre à plusieurs mètres babonne commune(plectropomus punctatus) 11.5kg surement un record de mada Mérou sellé(royal) plectropomus laevis en tenue de mâle: et en tenue de femelle ou juvénile: en tenue intermédiaire,les point noirs vont virer au bleu, le jaune disparaitre pour devenir rouge. Au dessus des babonnes commune et dessous un mérou céleste(céphalopholis argus) Donc je résume, laissez les mérous tranquilles à trou, ils font une réserve pour plus tard, vous pouvez les tirer à la coulée, à l’agachon mais plus difficile à l’indienne, Ils se méfient dans ce cas. Le plus simple pour les repérer c’est de se mettre 10m au dessus du fond et avancer doucement dans le sens du courant pour les repérer. C’est pour moi la meilleure méthode que j’ai apprise de mon équipier malgache.
  24. Depuis que la canal de Suez est ouvert, les poissons de la mer rouge, donc de l'océan indien envahissent la méditerranée doucement mais surement. Ils ont eu le temps depuis 150 ans, mais la progression continue doucement
  25. dom85

    Confinement

    Pas sur, l'instant est fugace. Sur les photos on apprécie les détails, surtout avec de la belle qualité comme celles là
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