Aller au contenu

dom85

Membres
  • Compteur de contenus

    24304
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par dom85

  1. Ici pas de langue de bois, tu peux le dire: le largage c'est pour les couilles molles!
  2. Je pense qu'il parlait de l'aiguille creuse
  3. J'ai effectivement tout mis dans le même lot, vu que c'est pareil à chasser. Elle se déplace toujours près de la surface, c'est à dire entre zero et dix mètres; la mer peut parfois exploser sur un hectare de leur présence et elles descendent pour chasser sardines, anchois, maquereaux et bonites juvéniles,mais pas en profondeur comme les thons, jamais. Je n'ai jamais vu une bonite venir à l'agachon à 20m sauf le long des tombants, mais je l'ai déjà dit. Enfin , ce que j'informe ce sont les généralités, il y a toujours l'exception qui confirme la règle, comme celle venue une fois au baron, elle dépassait les 6kg c'est bien rare de ce gabari, sauf le listao. Les bonites sont elles même les proies des thons rouges, des tdc et des gros thazards, sans parler des marlins et espadons, là on les voit sortir de plusieurs mètres hors de l'eau et parfois le thon derrière En Atlantique, c'est le seul endroit où l'on pouvait en faire plusieurs la même journée car elles venaient par petits bancs de quelques individus. Toujours en été avec l'eau chaude et claire et plutot mer calme. Pour la med, je suis moins au courant des saisonnalités. Si quelqu'un a un bien gros spécimen à présenter en photo qu'il n'hésite pas
  4. Les bonites J’aurais pu les classer dans les poissons accessoires, vu que vous n’en ferez pas tous les jours mais elles deviennent plus nombreuses aussi bien en Atlantique qu’en méditerranée et surtout peut atteindre des poids dignes de respect. En effet la bonite listao de l’océan pacifique peut atteindre 35kg mais il vous faudra vous contenter d’un 10kg grand max pour les espèces métropolitaines. Ayant moins de pressions sur les thons, elle profite de ce semi repos sur l’espèce en Europe. Les bonites représentent les poissons les plus pêchés de la planète en tonnage Les bonites font parties des scombridés, famille de poissons pélagiques qui sont tous d’une forte puissance. Vous les trouverez toujours près de la surface. Elle grandissent très vite et sont cannibales, d’où les bancs de grosses ou de petites qui ne se mélangent pas, les petites vivant plus au large , les grosses s’approchant du bord des tombants, c’est d’ailleurs là où vous les ferez plus facilement à l’agachon, elles passent à portée. En atlantique, elles restent en pleine eau, souvent il faut 20m de fond pour commencer à en voir. Deux possibilités pour les tirer : soit l’agachon de pleine eau lorsque vous les voyez arriver soit essayer de palmer pour s’en approcher lors de leur arrivée par petits groupes. J’ai essayé pas mal de fois au baron et je n’en ai qu’une seule fois une qui est bien venue mais qui était isolée, ce qui est très rare, autrement ça les laisse soit indifférentes soit ça leur fait carrément peur. J’ai vu des bancs de plusieurs centaines de milliers d’individus où il était impossible d’en approcher ne fusse une seule, plus elles sont nombreuses, plus elles sont farouches. Elle passent tellement vite à coté de vous que vous ne voyez qu’un sillage de bulles, mais pas le poisson. Il faut un fusil moyen car elles bougent très vite et un fusil trop long genre 140/150 n’est pas assez maniable la plupart du temps et sera même un handicap, un 120 sera parfaitement adapté, il peut être monté en flèche fine de 6.5 ou 6.75 si vous lui mettez deux sandows biens pêchus. On les tire souvent de loin dans l’eau très claire et elle se déchire volontiers si pas bien ajustée car elle se débat très très vigoureusement. Il arrive régulièrement de tirer près de la tête et de retrouver la flèche près de la queue car elle a démarré au moment du tir. Des jours elles sont bien plus calmes et on peut arriver à en faire 3 ou 4 dans sa journée, remerciez le seigneur, Allah, bouddha ou qui vous voulez ce jour là et quand vous rentrez demandez donc aussi à votre partenaire ce qu’elle faisait ce jour là… Culinairement c’est bien bon en poisson cru(attention aux vers), mais si vous le cuisez, il faut faire très attention à la cuisson, il doit rester rose à l’arête sinon c’est de suite sec et il faut une tonne de mayonnaise pour que ça passe. Titou avait une recette de bonite à l’escabèche et huile d’olive en bocaux stérilisés pour l’hiver, hummmmmm ! Une sacrée pêche de petits thazards et d'une bonite de plus de 5kg ce jour là, avec en prime une babone et un mérou royal. Tout a été fait au 125 double sandows et moulinet:
  5. vaut mieux, sinon je vais le mettre à l'eau comment le bateau? Pour souder les rouleaux de cotés, il faut que le bateau soit dessus , ils ne sont pas réglables, trop de travail
  6. Oui, enfin pour "rien ne se perd,rien ne se crée"(tout se transforme) c'est pour les atomes, pas pour les forces(Lavoisier)
  7. Et dire que dans quelques heures c'est fini
  8. Tu t'éclates ce jour de l'année Tu les prépares combien de temps à l'avance?
  9. dom85

    chausson de palme confortable

    Il y en a toujours en vente chez spearfishing DE en promotion, c'est là que je les ai prises: http://www.spearfishing.de/product_info.php?info=p1316_Fins-C4-Mustang-HT.html&XTCsid=59e47ed78d17afe11463a1b882d0b73e Surtout leur demander par email si c'est bien dispo avant d'acheter
  10. C'est comme les wing au debut on mettait les wings sur l'avant et le gros bout devant(pour Riffe) puis les autres ont mis à l'arrière du fusils et le gros de la planche derrière, comme les wong. Tu mets au départ comme tu le sens puis en reflechissant un peu plus, tu l'adaptes au comportement du fusil ajouté à la physique: là où ça doit freiner et là aussi où ça doit flotte PS plus le tube est long, plus l'os de seiche part vers l'arrière
  11. les poissons que j'accroche dans le dos à Mada:
  12. pourquoi est ce que personne ne chasse ainsi? Caméra au poignet
  13. Je n'ai jamais eu confiance dans les agrafes, je ne sais pourquoi. Mais pour 99.99% des poissons pechés en France metropolitaine, pas de soucis Je préfère la queue de cochon ou le montage sleevé pour les grosses pièces
  14. la quantité de sandow que tu etires sur un double sandows et un roller de même longueur est quasi identique, sauf à pouvoir mettre de gros coef qui sont impossibles sur un roller(ça n'est plus le cas sur un invert) Donc à petit coef, disons 3.4 c'est idem roller et double sandows mais au dessus avantage au double sandows pour deux raisons: pas de freinage des roulettes, pas de freinage du à l'écrasement des sandows dans la roulette et aussi puissance plus élévée avec des gros coef. puisque plus étirés. Défaut du double sandows à forts coef: recul et bien pire en triple sandows Bref c'est une pétoire d'homme
  15. Le RA 1.8 est excellent et tient bien en mains
  16. Le mien est en 125 avec la même poignée, une tête fermée imersion et deux sandows de 18 coef 3.8 flèche de 170 en 7mm C'est mon fusil préféré, je le prends chaque fois que l'eau est un peu sale (7/8m ici) ou chasse en épave si fort courant
  17. Non, c'est bien le bon sens Il est vendu ainsi et je l'ai monte comme ça, c'est parfait en maniabilité et en équilibre(avec une flèche de 7mm)
  18. Oui j'ai oublié ce détail: la saupe brésilienne emet sans arrêt des coups de queue; elle vient souvent très près mais tourne tellement vite que ça se loupe bien. De mémoire l'anguille fumée était une spécialité de Saint Omer(dinch nord)
  19. Désolé de te faire de la peine, on en fait pas tous les jours ni de quoi nourrir sa famille En atlantique on peut trouver du St Pierre dans la zone des 20m
  20. Je ne suis pas sur du comportement d'un fun yack à 40 noeuds, ni de beaucoup de bateaux d'ailleurs, le poti marara est donné pour 44 noeuds. Déjà à 30 noeuds sur mon 6.2m les emplacements d'un passager joue beaucoup sur son assiette, appui. Il est même limite dangereux à cette vitesse(trop d'appui sur l'arrière, pas assez de V) Le réservoir d'essence fait 120 litres et il est sous le siège, donc bien vers l'avant aussi, emplacement prévu par l'architecte. On a bien regarder, on ne peut le mettre ailleurs sauf à tomber à 80 litres ou à n'être plus démontable, ce dont il n'est pas question Les emplacements de chaque article du bateau sont bien définis pour la répartition des masses sur le plan, et on les respecte sauf justement le post de pilotage qui est déjà 1m plus en arrière que le plan initial Je ne prevois pas de naviguer à 40 KN, sinon il va me falloir une citerne derrière le bateau. 25/28 noeuds de vitesse de croisière serait parfait. Les utilisateurs le donnent pour un passage à 30kn par mer agitée, c'est le point fort de ce bateau, son passage par mer agitée, c'est pour ça que je l'ai choisi.
  21. Les poissons accessoires J’entends par là, les prises que vous pouvez rencontrer de temps à autres mais qui ne feront pas un repas, juste un complément et pas toujours présents. Le saint pierre Rencontre assez rare vu le manque d’abondance de ce poisson. Dommage car il est réputé savoureux. En pleine eau au dessus des laminaires, assez facile d’approche la plupart du temps, son point noir en fait une jolie cible. Ces deux taches viendraient selon la légende de Saint Pierre l’apôtre qui lui a laissé sa marque en le prenant ainsi. Vit en med comme en Atlantique. Le maquereau Rencontre éphémère malgré son abondance, il est plutôt craintif surtout en eau sale. La cible n’est pas grosse, faut être un tireur d’éperlan pour en capturer . C’est un thazard en miniature, aussi combatif car c’est un scombridé. En med comme en Atlantique. Le chinchard C’est un carangidé que vous rencontrerez dans les mêmes zones que le maquereau. Difficiles à définir si ce n’est que c’est la pleine eau en général. Guère d’intérêt car il est plein d’arêtes et c’est un poisson gras, donc bien pour la soupe de poisson dite bouillabaisse dans le sud. Belle défense lorsqu’il dépasse le kilo. C’est aussi l’un des plus petits de la famille. En med comme en Atlantique. Le rouget barbet Poisson de fond de sable et vase à la limite des roches et herbiers. Facile à tirer, mais il ne faut pas être trop loin vu la petitesse de la cible. On peut en tirer plusieurs d’affilée avant que le troupeau ne se dissipe dans la nature. La technique du bouchon est utilisé pour ne pas les abimer, c’est plutôt fragile comme chair, un bouchon de champagne enfilé sur la pointe, technique que je ne connaissais pas, vu que je les laisse bien tranquille car je trouve ça, euh comment dire, abominable en gout. C’est pourtant réputé, avec son surnom de bécasse des mers, car on le cuirait avec son intestin, telle la scolopax, dont il n’a autrement absolument aucun rapport. (je sens que je vais encore me faire des amis). Bref je préfère son collègue le rouget grondin. Comme quoi, les gouts et les couleurs….. Pline (enfin je crois) disait de lui : ne déshonore pas ton écuelle d’or avec un barbet de moins de deux livres(700gr) . Néron se faisait servir vivant le rouget barbet afin de le voir mourir et changer de couleur avant de le déguster. Zavaient du savoir vivre ces romains, ou alors c’est typique de Néron ? Un ami en a fait un de presque le kilo…..il y a plus de trente ans. Tropical, il prend le nom de capucin et il est légèrement plus gros mais exactement le même gout, alors que les couleurs…. Le bogue Arrivé comme le maigre et le baliste il y a une trentaine d’années, ce petit poisson plutôt méditerranéen arrive en été et sert de pitance pour les prédateurs. Il n’est guère intéressant pour nous car petit, plein d’arêtes et de chair mollassonne, il n’offre pas d’intérêt pour la chasse sous marine. La saupe Comme le bogue, pas d’utilité en chasse sous marine et le fait de se nourrir d’algue ne la rend pas appétissante. Comme le bogue, chair fragile. Poisson de fond de roche toujours en train de brouter en bande jusqu’à plusieurs centaines. Tirée par les débutants elle a fini par devenir méfiante et reste la plupart du temps juste hors de portée du 90. La saupe brésilienne Sa rencontre est assez rare en France, on la trouve partout sur la planète. La seule chose amusante c’est de la voir changer de couleur instantanément passant du noir au gris ou au bleu et de forme aussi en déployant ses nageoires elle prend une forme carrée au lieu d’être ovale. Elle est aussi mauvaise gustativement que sa compagne de méditerranée. Son tir toutefois est amusant car elle virevolte sans arrêt et son poids peut atteindre 2kg. Détail amusant ,ses arêtes sont phosphoressantes la nuit. Lorsque vous en voyez évitez de la tirer car souvent d’autres poissons intéressants eux, sont bien souvent à proximité, c’est presque systématique, un poisson pilote en somme. Se tire au 100 voire 110. Ici la photo montre un peu les deux formes que peut prendre ce poisson, en haut noir et carré et en bas blanc et ovale La murène Exactement aux mêmes emplacements que le congre, elle devient très agressive une fois tirée et même sans avoir été tirée elle est territoriale et peut attaquer si elle est dérangée. La particularité de ce poisson c’est d’avoir une seconde machoire dans la gorge pour assurer les prises comme dans le film Aliens, le scénariste a du s’en inspirer. Elle n’est vraiment pas bonne à manger donc à part pour la soupe de poisson, laissez la tranquille. Rascasses et chapons A l’inverse des poissons précédents, c’est fort bon à déguster. Souvent posés sur les roches ils sont la plupart du temps invisibles tant qu’ils n’ont pas bougé. Une fois repérés ils sont à votre merci, bien faire attention à ne pas abimer votre flèche car on les tire à bout portant et ils ne sont guère épais pour amortir la puissance des sandows. On les trouve aussi à l’entrée des trous, grottes et même collés au plafond. Un petit ragueur fera l’affaire comme pour la mostelle. Les marseillais prétendent qu’ils sont indispensables dans une bouillabaisse. Faire juste attention a ses épines venimeuses qui rendent la piqure douloureuse, sur la dorsale et le coté des ouies. Un proche parent, le poisson pierre est quant à lui potentiellement mortel. L’alose Rencontre très rare et seulement proche d’une source d’eau douce. Particularité elle est anadromique comme le saumon, elle se reproduit en eau douce et vit en eau de mer. C’est une grosse sardine bourrée d’arêtes, immangeable, sauf pour un girondin. Voila , ça y est, je me suis mis une autre partie du forum à dos….. Je n’en ai capturé qu’une seule en pays basque(que j’ai de suite offerte à mes voisins, ils ne m’ont plus jamais parlé) A regarder passer. La baudroie Je n’en ai fait que deux dans ma vie de CSM. Une anecdote à ce sujet. C’était du coté d’Erquy, en plein février à ramasser des coquilles saint Jacques, l’arbalète dans le filet. Aperçue immobile sur le fond de maerl, j’ai eu le temps de retourner à ma bouée, d’y prendre le fusil, de l’armer, de revenir et de descendre la tirer toujours immobile à m’attendre, une belle surement dans les 10kg puisque la queue faisait presque 4 kg. Mon collègue me dit, on va lui couper la tête et récupérer les joues, et on balance le reste, ça fera ça en moins pour remonter la petite falaise. La flèche l’ayant tuée net, il entreprend le dépeçage, il met à un moment donné la main dans la gueule … qu’elle referme d’un bruit sec de piège à loup ! Il criait le pauvre, j’ai eu beau lui donner plusieurs coups de couteaux (au poisson, pas à mon collègue), impossible de lui faire ouvrir la gueule. J’ai du trancher les jointures des mâchoires pour libérer sa main, bien percées par les jolies quenottes. Je pense qu’il s’agissait d’un reflexe, elle était bien morte. Un mareyeur m’expliquait que c’était les malades déficientes qui venaient dans peu d’eau, sinon elle vit profonde. Elle pouvait atteindre 50kg, il y a belle lurette que cette taille a disparue, je voyais hier une émission sur les pêcheurs anglais, il en présentait une de 3/4kg et disait que c’était un beau spécimen……. Il s’est même vendu des lottes crayons, appellation des toutes petites queues à la vente, c’est dire que cette espèce est surexploitée, malgré tout il n’y a pas de taille limite de capture, de toutes façons un poisson remonté de 800m de profondeur a zéro chance de survit si on le remet à l’eau. Son stock est en régression sur tailles mais le quota est toujours atteint. Greenpeace la classe dans les poissons à protéger. Elle est très lente à grossir et n’atteint la maturité sexuelle que vers 7/8 ans. Vit en med et en atlantique Bref un poisson facile à flécher, mais très rare de rencontre et excellent à manger. Particularité des lottes : le mâle vit en symbiose accroché à la femelle toute sa vie et ne devient peu à peu, qu’une paire de gonades, donc vous n’harponnerez et ne mangerez que des femelles, ainsi tirez la en douceur. Les jolies dents d'une baudroie: L’ange de mer Entre la raie et le requin, poisson presque plat très présent au pays basque il y a quarante ans. On les trouvait les uns à coté des autres à la limite sable/roches. Totalement disparu. Il était fort bon à manger. L’anguille Fort abondante il y a encore une vingtaine d’années, elle aussi est en voie de forte régression. Non seulement elle est pêchée en eau douce comme en eau de mer, mais aussi on capture ses alevins(les civelles) soit pour les faire en friture(dans des restaurants très huppés à un prix …gastronomique, soit pour l’élevage chez les nippons. Une aberration ! On attaque son stock par les deux bouts. Dans les bouchots on pouvait en voir deux ou trois sur un seul bouchot à se gaver de puces de mer ou de petits crabes. Il n’y en a plus une seule. C’est un poisson catadromique, il vit en eau douce et sort en mer pour se reproduire comme chacun le sait dans la mer des Sargasses. C’est la remontée des alevins vers les embouchures de rivières qui cause la perte de ces civelles translucides. Mon père me racontait que du coté de Palavas les flots, les gens sortaient avec des seaux pour les ramasser lors de leur passage(En 1939/40), pas besoin d’épuisette, cela faisait un mur qui avançait doucement le long des quais et digues. L’anguille d’eau douce a souvent un gout de vase que n’a plus celle de mer. Un régal frite avec de l’oseille, sinon poisson gras il faut d’abord lui faire rendre son huile dans une poêle à sec. On ne tire que les grosses et c’est plus solide en plein corps que près de la tête, luis trancher de suite la tête sous peine de la voir s’enfuir, car même complètement déchirée, elle reste très vigoureuse. Les lamproies Je n’en ai capturé qu’une seule sur un gros mulet à l’ile d’Yeu. Je l’ai relâchée, ce poisson me semble répugnant comme une sangsue., Ce n’est donc pas un poisson de chasseur sous marin. Le poisson lune Pour faire plaisir à Chti’max. La rencontre peut avoir lieu n’importe où mais en pleine eau ou en surface à battre de l’aile. Son comportement n’est pas encore bien expliqué malgré les balises de suivies collées sur ces poissons. Il passe plusieurs fois dans la journée de 400m de fond à la surface. Une année, plusieurs spécimens avaient envahies la baie des Sables d’Olonne. Sa masse peut dépasser les deux tonnes, il grossit à une vitesse prodigieuse, près de 300kg en une année, pourtant il se nourrit principalement de méduses et de tout ce qui s’en rapproche, y comprit les sacs plastiques. On le rencontre plus fréquemment en été, au large par mer plate où l’on voit de loin sa nageoire au dessus de l’eau ou même couché sur le coté en surface. Il vit partout. Il est protégé en Europe et comme sa chair est peu prisée, il est encore commun sur toute la planète, jusqu’à ce que les chinois lui trouvent une vertu particulière. Une vidéo récente nous le montre avec une palanquée de chasseurs apprentis sous l’égide de Mr Dudon. Il est indolent en surface mais peut disparaitre bien vite si l’envie le prend. Il se laisse même capturer à la main lorsqu’il est encore petit. Comme le congre, son mucus est particulièrement collant épais. Il est connu sous différents noms : mole ou mola-mola. C’est une curiosité de la nature qu’il faut juste admirer.
  22. Dans ce cas laisse l'arbalète à la maison, ça t’évitera des frustrations
  23. 6.25 pour 2 sandows, ne cherche pas plus loin
×
×
  • Créer...