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dom85

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  1. Les ligneurs ont bien le même point de vue que le mien, on ne pèse rien contre le lobby de la pêche industrielle
  2. Ceci c'est l'axe d'un moulinet red-tide 80. La vis inox qui relie cet axe à la platine a fini par céder sous la catalyse. je devais avoir ce moulinet depuis 4 ou 5 ans mais je l'avais acheté d'occasion. Il a donc plusieurs centaines d'heures d'utilisation et parfois intense Pour les minutieux, démontez et graisser une fois par an, ça évitera ce soucis
  3. J'ai essayé le moulinet au bras, mais ma conformation des biceps fait qu'il glisse tout le temps sur le coude Petitbras, c'est ma faute, le muzzlewrap, j'ai bien vu que le fil passait mal mais j'ai eu la flemme de tout défaire avec ces sandows bien raides à tendre
  4. Il est certain que nous chasseurs avons aussi un gros impact sur nos lieux de chasse, surtout la chasse à trou avec le bar et le sar. On peut grave ficher en l'air une belle zone de ragues, seulement notre impact est limité à notre zone de pratique. pas au reste des océans. Lorsqu'on voit les conneries monumentales débitées par le ministre de la pêche, les lobbys et les industries de la pêche ne penser qu'à continuer à se gaver, c'est d'une tristesse désespérante.
  5. CR du 15 décembre Départ 7h du matin de Tamatave. La marée descend jusque 10h, donc on n’est pas pressé. La mer est belle à très belle avec une toute petite houle de 70cm et la température de l’eau au dessus de 29° en surface, 27° environ au fond, bref l’idéal. On monte au nord, Nono qui m’accompagne a passé deux jours dans le sud pour pas grand-chose. Premier arrêt, la petite épave La Dominique posée à 32m. Le sondeur indique plein de poissons et effectivement c’est bourré de toutes sortes de poissons, mais pas de gros gabarits. D’abord, bien sur ce sont les carangues GT qui montent sous le baron, nombreuses, nerveuses et hélas toutes autour du kg. Ensuite c’est un banc de barracudas jello qui arrive, pas très gros non plus, j’en prélève un et Nono a des soucis avec son fusil. Ensuite, je descends admirer cette magnifique épave dans de l’eau très claire, c’est la première fois de cette saison que ça arrive ici. De belles carpes rouges tournent autour des mats, les plus grosses doivent bien faire 9kg, Nono arrive à en prélever une plus petite, perso pas encore chaud, j’ai du mal a atteindre ce niveau de 25/27m afin de pouvoir tirer. On a beaucoup de chance, il n’y a quasiment pas de courant donc on peut rester au dessus de l’épave en palmant doucement . A la troisième descente, bien préparé j’atteins le niveau de l’épave, les carangues m’entourent et au milieu un beau mérou marron me regarde arriver, je lui place bien la flèche dans la colonne au milieu du dos, mais encore actif, il essaye bien sur de rejoindre l’épave. Et là , problème, le fil s’est coincé dans les sandows, donc pas de moulinet . Je clippe la manille de mon moulinet de ceinture pour la première fois, mais voilà, j’ai mal monté le moulinet et le fil se prend régulièrement sur la manivelle, au bout de trente secondes pénible, je comprends la méthode afin qu’il fonctionne, faut que j’écarte le fil avec un doigt et ainsi il peut se dérouler. Seulement je suis à bout de souffle, je n’en peux plus, je pense à larguer ma ceinture. Nono arrive à ce moment et me prend sous le bras pour m’aider à remonter. Merci Nono ! C’est un rare mérou taches de rousseur de 14kg que j’ai harponné, rare car s’il est très courant dans le corail à quelques mètres de profondeur, dès qu’il atteint le kg, il descend dans les fosses jusque plusieurs centaine de mètres de profondeurs. Lorsqu’il est petit, on le surnomme mérou couillon…. Je suis mort et me repose sur le bateau pendant que Nono s’acharne sur les carpes rouges vainement. Spot suivant, la cassure du plateau qui passe de 20 à 30m. Un peu de poissons au sondeur et lorsque j’arrive au dessus de la cassure, je constate un banc de chirurgiens de belle taille. Aussi sec, surgit un thazard, je descends doucement, il tourne à 10m de mon baron et je finis par le rattraper, la flèche bien placée lui casse la colonne vertébrale, il gigote violemment de la queue mais sans avancer. Et voilà un thon blanc dans le bateau en moins d’une minute. Nono descend sur la cassure et fait une babonne, à la remontée il croise un gros thazard. On insiste un peu mais plus rien dans cette eau agréable à chasser, un paradis tropical, chaude et claire. Le spot suivant c’est le banc Rangazava. Je ne sais pourquoi mais je prends le 125 et pas le 150, d’habitude c’est trouble car on est proche de la cote, mais là on voit le fond dès que l’on a franchi le premier mètre de la surface. Un très gros thazard se pointe aussitôt, tout doucement vers les 15m, je descends très doucement aussi pour lui barrer le passage, il s’arrête presque, je pense que je suis à bonne portée, mais la flèche s’arrête avant de le toucher, donc il est à plus de 6m. Nono qui a suivi l’action me dit qu’il atteint les trente kilos. J’ai commis deux erreurs sur ce coup, d’abord je n’ai pas le bon fusil et ensuite je n’ai pas regardé sa pupille, j’aurai su qu’il n’était pas à portée, sa grosseur m’a trompé, mea culpa. Nono fera une autre babonne au bord des ragues. Spot suivant, rien. Direction le banc du large car il est maintenant onze heure et la marée remonte. Les deux spots sur ce secteur sont absolument vides, aucune vie. Nono fait tout de même une plate noire venue gober les tripes des poissons précédents. Direction le large. On est dans le grand bleu, 40m de visibilité facile. Au second point, je jette le baron avant de me mettre à l’eau, saute dans un grand plouf à l’eau et vois un espadon voilier me passer sous les palmes et passer sous le bateau. Je le poursuis illico sans prendre la moindre goulée d’air, je parviens à le rattraper en une dizaine de mètres et lui place bien la flèche. Il démarre mais doucement, j’ai atteint la colonne vertébrale. Par petites saccades, il me prend 100m sur le moulinet puis le sentant fatigué je serre à fond le frein du moulinet et il me tire doucement pendant encore cinq minutes. Nono se met à l’eau et je commence à ramener le fil par brassées, une fois que le voilier est bien fatigué. Nono lui loge une flèche en pleine tête qui l’achève. On continue sur deux autres points de cette ligne du large juste avant le tombant des 100 à 1000m, je ne tire qu’une dorade coryphène, que je laisse tourner car une seconde se frotte à elle et appelle Nono pour qu’il puisse la tirer, mais la mienne finit par se déchirer, le dyneema l’a découpé proprement car elle était sur le fil. Dernier spot le coin au TDC. Nono est fatigué et reste sur le bateau, à la première descente un beau thazard vient me voir, fatal pour lui, la flèche lui touche aussi la colonne vertébrale, comme mes autres tirs aujourd’hui et en deux minutes il est à bord du bateau. Retour au bercail, la banane aux lèvres, il est quinze heures, 8 heures en mer et 6h dans l’eau. Une journée pleine de réussites, enfin !
  6. Ici, dans l'eau claire, on tire les pélagiques à 90% du temps à 5m, lorsqu'ils se laissent approcher à cette distance, c'est à dire moins de une fois sur 3 ou 4 pour les thazards un tir entre 4 et 5m c'est déjà beaucoup plus rare, mais ça arrive plutot avec les carangues, mais pas les thazards et plus près c'est exceptionnel. Pourquoi? par ce qu'il y a énormément de chasseurs et donc le poisson connait la distance d'un fusil et que l'eau peut avoir jusque 50m de visibilité, donc ils ont parfaitement identifier le danger la plupart du temps, la preuve mes deux collègues n'ont pas réussi à en approcher un seul, moins affutés que moi(en toute modestie) Ensuite, ce qui est classique pour le poisson à doubler, c'est qu'il s'écarte au fur et à mesure que l'on descend et s'approche. Il tourne avec le fil et tente de rester à 5m. Je me souviens d'un louper monumental de ma part, sur un marlin d'une soixantaine de kilos tiré par un copain, pourtant il y a de la place sur un marlin, bon ça remonte à presque 40 années....
  7. Non, non, ce sont des petits bateaux de l'ordre de 9 à 14m qui posent ces filets dit à soles, en réalités pour les bars, et ils se positionnent parfois très près du bord Je suis monté sur divers bateaux de pêches et parti une journée sur chacun d'entre eux: fileyeur, palangrier, bolincheur, chalutier à soles, dragueur coquilles et petoncles et dernièrement caseyeur à crabes girafe. J'ai aussi travaillé pour le centre de marée des sables d'olonne en tant qu'indépendant artisan et j'ai encore pas mal d'amis pêcheurs pro : sardinier, longliner thons et légines. J'ai aussi participé au dépeuplement de la mer(mea culpa) , même si ma modeste contribution dans ce domaine reste marginale, je le reconnais, le plus destructeur reste pour moi les chalutiers pélagiques et aussi ceux de fond qui même s'ils sont dix fois plus petits, causent d'énormes ravages sur la faune et la flore avec des tonnes de rejets à chaque trait
  8. J'ai bien compris votre raisonnement, et donc je ne sais s'il avait bien mis la longueur de fil sur le largue-fil. mais je l'ai vu descendre pour doubler mon poisson, le toucher à peine à 3.50m de la pointe et remonter avec une grosse perruque sur le moulinet et ....mon thazard se barrer furieusement 🤥
  9. Euh, je ne suis pas sur que tu sois bien au courant de ce que posent les fileyeurs pro, en moyenne 10km, par bateau aux sables d'Olonne. J'ai bien dit: 10 kilomètres. Alors les 50m du plaisancier.....
  10. Ou devant la pointe entre les cocotiers et Antsara, jamais vu autant de variétés de carangues de ma vie sur ces petits secs près du bord
  11. Oui, les dernières pêches avec le nouveau 150 c'est le troisième TDC, bon petit celui là d'accord et aussi un voilier que je tire dans la queue, tous ont bien tenu. C'est Benoit, voyageur sur le forum, chasseur spécialisé dans le BW qui avait dit çà il me semble, et effectivement, c'est un bon endroit pour placer sa flèche. C'est même plus rapide en question combat que dans le corps, l'hémorragie est importante. On a pas trop de vos nouvelles, ces temps ci de vous deux Quebra et Irié
  12. Je ne vérifie pas les fusils et montages des personnes qui viennent chasser avec moi. J'ai déjà beaucoup à faire avec mon matos perso, sans m'occuper de celui des autres, sauf lorsque ça me fait perdre un poisson
  13. N'ait crainte, tant que c'est technique, étymologique, en rapport avec le sujet Je voulais bien sur parler des pélagiques qui nous intéressent, Chti max chasse lui, le hareng ( a Boulogne fin novembre) Tato les éperlans, et moi les thazards et espadons. Nous n'avons pas les mêmes valeurs😁
  14. Non, une perruque bloque le moulinet, cela arrive avec 8 moulinets sur 10 dont le frein est mal réglé, trop desserré et tourne en roue libre Les bons moulinets qui ne perruquent jamais sont rares et même ceux là il faut bien les régler avant usage. Il a eu de la chance, c'eut été sur un joli poisson qu'il tirait, il perdait son fusil
  15. le moulinet a donc perruqué et donc le fil s'est bloqué, et la flèche a juste toucher le thazard mais arrêtée n'a pu pénétrer
  16. CR du 12 décembre Départ à 7h du port , direction le sud. Je suis accompagné de Marc et Bastien sur une mer calme. La visibilité change à chaque post, cela va de zero à 20m et la température de surface est à 29° peut être 2 à 3 degrés de moins plus bas. Premier post, la digue de la dynatec : la houle de 1m rend la visi nulle, donc direction l’épave du London. Là , l’eau est trouble en surface et vers 6m, l’eau plus fraiche avec une visibilité parfaite, on voit parfaitement l’épave 15m plus bas. Au sondeur, beaucoup de poissons, le temps de me ventiler, je devine quelques grosses carangues qui passent et lorsque je descends ce sont 3 thazards qui font un tour du baron, le premier est fléché, mais un peu haut dans le dos, je le laisse se fatiguer et j’appelle Marc pour me le doubler, il descend, tire, mais son moulinet perruque et le fait rater, le thazard prend peur , rush et se déchire. On reprend une dérive avec des petits thons/chinchards qui sautent partout mais on ne les voit pas dans l’eau trouble de la surface. A la descente, je vois quelques petits thazards, ce coup ci j’en épingle un correctement. Dérive suivante, je vois un peu de carangues sur la poupe du navire, mais elles sont collées contre la coque dans le contre courant et je n’arrive pas à descendre à 22/24m pour les tirer. Dérive suivante, on la fait à 50m à coté de l’épave car les chinchards sautent de partout à cet endroit, donc des prédateurs sont en dessous. Arrivé dans l’eau claire, je devine un banc de barracudas sur le fond, vers 27/28m. Je me laisse couler doucement vers eux et eux montent tranquillement au baron, je me retrouve avec une bonne centaine de barracudas rayés de belles tailles à 2m de moi, presque arrêtés, je lâche la flèche n’importe comment et rate l’immanquable. Ils faisaient tous dans les 10kg. Je recharge et termine la dérive en arrivant sur la poupe du London, j’arrive à refaire un petit thazard, ils font tous le même poids, dans les 5kg. On part pour l’ile à aux sables, juste en face. On verra juste un thazard furtif et des arcs en ciel encore plus trouillards, mais pas assez de « mange » pour retenir du poisson. Le banc Malagasy, 10km plus au sud. Un banc de poissons est annoncé au sondeur. Au bout de quelques minutes de dérive, c’est un troupeau de chirurgiens de fonds de plus de 2kg qui est là. A la troisième feuille morte, un petit thon dents de chien passe furtif lui aussi, j’essaye de le poursuivre mais il prend peur et file, alors que je ne le voyais plus et commence ma remontée, il revient vers moi. Je ne bouge plus, fusil pointé dans sa direction, il arrive plein pot, je tire derrière la tête et il prend la flèche près de la queue. Je sais que là , ça tient très bien, aucun risque de décrochage. Encore un poisson de 5kg, c’est la journée des petits formats. De l’autre coté du banc, dans une partie pleine de ragues, Marc fait une petite babonne et j’en rate une car je tenais mal le fusil qui saute dans ma main. Bastien est malade est vomi son petit déjeuner, du coup on rentre tranquillement au port, il est 13h à notre arrivée, une heure pour faire 35km. Nono me tel , il n’a rien vu ni fait au Nord.
  17. celle là est pas mal, capilotractée, mais pas mal
  18. les petites ailes jaunes que j'ai cerclées de noir, ce sont les pinnules, donc c'est ventral et dorsal, près de la caudale au 1/3 arrière du corps Et donc ici toujours cerclées de noir, les scutelles sur une GT, sont donc sur chaque coté près de la queue et peuvent remontées jusqu'au tiers du corps sur une carangue gros yeux Sur les thons, espadons , thazards....les scutelles ressemblent à des ailettes sur la fourche de la queue. Le cercle jaune sur la queue de l'albacore
  19. Alors un joli paquet de carangues inox à galoche, un thazard franc et encore un beau talang sauteur, plus les barras. Ca va tout de suite mieux dans l'eau claire
  20. Les moyens techniques pour les pélagiques Votre armement, je ne vais donner de conseils sur le modèle, vous choisissez votre fusil selon vos gouts et surtout vos moyens car là c’est clairement onéreux dans le haut de gamme, 1500€ minimum pour les marques citées plus bas. Il est impératif d’avoir 2 fusils à bord, les ennuis ou casses de sandows sont fréquents avec un usage régulier, surtout avec 10 boudins sur le fusil plus le soleil des tropiques. . Il est impératif et d’une, d’avoir une flèche qui traverse une planche de 2cm d’épaisseur jusque 5m, donc gros diamètre et grande longueur avec une très forte puissance et de deux, que cela soit précis à cette distance, pas 10cm dessous ou dessus, non pile à 3/4 cm près. Perso n’étant pas très fortuné et à la retraite, je me suis fait mes montages de fusils moi-même : tube carbone de 150, poignée à mécanisme reculé, donc vous vous retrouvez avec un quasi 160, guide flèche intégral proche d’un enclose-track, flèche de 2m en 7.5mm et enfin deux sandows Sigal de 17.5mm en coef 3.5(mais je recommande 3.2 à 3.3 pour ceux qui auront du mal à gérer un tel coef. c'est à dire la majorité des personnes) Adzoo, grand chasseur d’albacores, chasse avec des fusils Wong de 130 à 4 sandows Gégé, grand chasseur de marlins(dont plusieurs au dessus de 300kg), chasse avec des Allemani vela 125 ou 130 Bref, on ne chasse pas le tout gros avec des cartouches à plombs, mais avec du gros calibre 330 Win. au minimum voir du 460 waetherby Ces fusils sont longs et ardus à armer, mais on ne tire que très peu de fois dans la journée, donc on laisse le fusil armé sur le bateau, avec toutes les précautions d’usage bien sur. Cette flèche que vous allez envoyer, il faut qu’elle soit retenue par un fil, et là 3 solutions : La première : un moulinet de 120m de contenance, uniquement pour les expérimentés, ayant un certain nombre de gros poissons déjà à leur actif, avec gestion d’une bouée à snapper, que le barquero puisse vous passer pour un gros thon ou marlin La seconde solution : la flèche reliée au fusil et le fusil avec « une ligne de vie », qui se compose généralement ainsi : une bouée de 35L , puis 20/30m de corde à ski, puis 10 à 30m de bungee selon la taille des poissons visés et enfin 10m de nylon 3mm avec un snappe(agrafe américaine) . La bouée de 35L peut être remplacée par 3 bouées de 10L plus une de de 20L, chacune des bouées étant reliée par 3m de bungee, ou encore une planche à thons confectionnée par vous-même. Ci dessous la planche à thon confectionnée à partir d'un body-surf. Enfin troisième solution, la flèche en break-away, c'est-à-dire reliée au train de bouée et non pas au fusil ou encore au bateau avec un barquero qui gère le poisson Dans tous les cas, la flèche doit être impérativement attachée avec du dyneema gainé de 2.3mm, du 2mm peut casser net avec un rush d’un poisson de plus de 30kg, cela m’est arrivé au moins 3 fois. Sur le moulinet du dyneema tressé de 2mm c’est très bien. Il faut bien se dire que c’est toujours au point faible que ça va lâcher(le point faible étant toujours le point d’attache sur la flèche) et la pêche du tout gros ne supporte en aucun cas la radinerie, l’à peu près ou la médiocrité, ni le tir foireux. Que ce soit le moulinet ou la ligne de vie, il faut faire très attention à ne pas se retrouver saucissonné, c’est arrivé à tout le monde ! C’est très dangereux, car parfois, arrivé en surface le poisson se met à tourner en rond autour de vous, rapidement. Si vous voulez homologuer vos poissons, vous devez impérativement tout gérer vous-même ! Seul ! Pas de coup de mains, sauf pour monter le poisson à bord. Dernier point: qu'appelle -t-on le tout gros? Je vais vous définir, selon moi, les tailles/appellations des poissons: _moins de 10kg, vous êtes dans le joli poisson européen(bar, denti, petites liches...) _de 10 à 20kg, vous entrez dans la catégorie des premiers gros, moyens gros poissons(maigres, liches, serioles....) jusqu'ici , pas besoin de fusils spéciaux _ de 20kg à 60kg vous êtes dans le gros poisson _Et au delà vous entrez dans le tout gros
  21. Oui, pour éviter que ça glisse et le protéger, une fine couche d'époxy avec du sable fin, le plancher de mon bateau est ainsi fait, ça fait 3 ans bientot et ça tient sans râper
  22. Qu'appelles tu : solidifier? Le rigidifier? Ou le garantir pour sa durée de vie?
  23. En Polynésie, ça coute un bras et un scrotum de faire un bateau Un Poti marara comme le mien coute 80 000€ là-bas,..... , à ce tarif je chasse encore en pirogue😆 Je le sais car j'ai acheté les plans à un architecte polynésien pour faire le mien
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