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joe

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Tout ce qui a été posté par joe

  1. Je parle de qualité de fabrication. On a beaucoup moins de soucis avec la construction made in France. Par contre, c'est vrai que le SR français n'est pas donné. C'est le Avon 580 qui avait la carène du Bombard 600, avec un comportement en retrait par rapport aux Avon 560 et 620 d'origine 100% anglaise. Concernant la production française, il y a quelques autres encore, dont Ribwest qui produit des carènes grandement inspirées des Ribtec, certainement l'une des meilleures qui soient. Le liège, c'est ce que j'ai sur mon SR actuel, a le gros avantage d'être imputrescible. Il se présente sous forme de plaques de 18 ou 20 mm, qui sont stratées comme le CP.
  2. La recherche d'économie de poids n'est pas toujours une bonne chose. Un bateau doit être équilibré, ni trop lourd ni trop léger. Trop léger, il va être volage dans la vague, trop lourd tu auras l'impression d'avoir une enclume entre les mains et tu vas exploser ta conso. La meilleure alternative au CP est actuellement, ce n'est que mon avis, le liège. Mais un CP marine bien straté ne devrait pas poser problème. Les Anglais savent faire de belles carènes, les meilleures surement. Par contre la qualité de construction... Les Français sont nettement au dessus. Beaucoup de SR anglais ont souffert de gros problèmes de délaminage ou autres: Ribtec, Revenger, Humber... Ribcraft semble toutefois proposer de la qualité.
  3. En effet, budget tout à fait correct pour cette carène remarquable. Le choix du moteur est adapté au bateau. En passant sur un 150 Yam ou Suz, tu prendrais 60 kgs de plus sur le TA. Pour le plancher, donc vigilance extrême lors de la pose du CP!
  4. Il me semble reconnaître la carène. Il y a un indice également ?. Ces bateaux sont parfois confondus avec les Tornados. Sauf erreur de ma part, il n'y a pas d'importateur en France. Je pense que la construction est sérieuse. Mais pour avoir donné par le passé, un suivi de la fabrication s'impose. Les Anglais font les meilleures carènes mais leur construction laisse souvent à désirer.
  5. Exact, Yamamoto est un fabricant de néo. C'est devenu une référence mais il peut fabriquer, à la demande, le meilleur comme le pire. Pour revenir à cette histoire d'écrasement, mon fils (revendeur Yazbeck) avait vendu une 7.5 à un chasseur qui l'utilisait également régulièrement en bouteille jusque 45 mètres. L'isothermie était toujours très bonne. Récemment un autre chasseur portant une Yazbeck 6 se plaignait du froid au-delà de 12 mètres alors que son collègue en 5.5 (même marque) avait quasi trop chaud. Tout çà pour dire que la qualité de néoprène peut être variable au sein d'une même marque. D'une manière générale, il est vrai que Yamomoto offre des qualités de souplesse au détriment d'un écrasement plus important en profondeur.
  6. Essence ou diesel? Plus que la puissance, la cylindrée (4L ???) est un bon indicateur pour juger de la capacité de tractage. Ceci étant, tu dois avoir une remorque de 400 ou 500 kgs de PTAC. Même avec un petit véhicule çà devrait le faire.
  7. joe

    Baja, deux mérous

    Beau, et bon, souvenir que les cabrillas de Baja California. J'en avais fait quelques uns sur un îlot appelé "Isla Baleina", si je me rappelle bien.
  8. Même constat. J'ai chassé le plat pendant de nombreuses années. Actuellement je ne pratique pratiquement plus car ces zones autrefois très riches sont devenues un simple désert de sable. Le plat permettait d'assurer souvent une chasse. Ca ne me dérangeait pas de "bouffer" du sable car on était quasi certains de dénicher quelques grosses soles, carrelets et autres turbots. Ce que je peux dire. Le printemps (avril et mai) et l'automne (septembre, octobre et novembre) étaient effectivement les meilleures périodes. Après une un peu de mauvais temps, dès que la houle tombait, le vent s'orientait nord-ouest et l'eau s'éclaircissait c'était idéal, comme d'ailleurs beaucoup d'autres espèces. La sole avait une préférence pour les zones de sable fin contrairement au gros carrelet qui se cantonnait souvent sur des fonds de granulats ou de coquillages brisés. Dans les 2 cas, la plupart du temps en bordure de roches, orientées est-ouest, ce qui n'était pas le cas du turbot ou de la raie que l'on pouvait trouver sur de vastes étendues de sable loin des cailloux. Il n'y avait pas trop règles concernant la profondeur, mis à part le turbot dont le poids était proportionnel à la hauteur d'eau. On pouvait trouver de la sole dans 2 mètres (début et fin de journée) comme dans 20 mètres +. Mais ça c'était mon expérience en baie de Douarnenez. En Bretagne nord, la donne est peut-être différente.
  9. Avant-hier, tu avais 3-4 mètres de visi sur les Glénan. Compte tenu de la houle actuelle (merci Lorenzo), on doit être proche de zéro.
  10. T'inquiète, c'était juste histoire de se conseiller entre "anciens".
  11. Sinon, pour éviter de te casser le dos, tout au moins au retour, tu as des choses sympa à la côte: les Soldats, Pointe de Trévignon... Et là, tu ne seras pas enquiquiné par les vents de nord.
  12. Pour info, je serai sur BI du 18 au 25.08. En principe, j'y serai avec mon SR au départ de Palais. Je ne connais pas vraiment, donc si il y a un habitué du secteur... Ou, à défaut, quelques infos. Merci.
  13. Cà c'était avant... Jusque 2013, il me semble, moins d'un mois de séjour ne nécessitait pas de permis. Maintenant obligatoire quelle que soit la durée. Mais ce permis est plus simple à obtenir. Tu vas à la capitainerie ou au club naval local, ils te le donneront ou te diront où aller.
  14. Je suis à 30 kms. Si tu veux une royale contre un lieu...
  15. Pour avoir fait des essais du système Neptonic je trouve çà bien efficace. Maintenant, ce système est peut-être plus adapté à nos zones de chasse bretonnes où l'on pratique de longues dérives dans le courant, dans une mer hachée et sans bouée. Ceci étant, sur les DCP guadeloupéens, nous les gardons à la ceinture car leur utilisation à bout de bras reste plus facile qu'une bouée de 35 L... Le récit de William met en tout cas en évidence la difficulté de trouver un système de repérage idéal dans ce genre de situation. A creuser.
  16. J'ai connu une mésaventure un peu similaire sur Armen il y a quelques années... Une longue dérive de 1h30. Mais sans commune mesure avec ton histoire William. Je porte çà à la ceinture depuis 4 ans: https://neptonics.com/product/freediving-safety-signal/ Bouée, sifflet et miroir. On te repère vraiment de loin.
  17. Eau à 20 par Nordeste fort. 2 jours plu tard, plus un souffle de vent et eau à plus de 29... Ce vent de Nord-est, les alizés finalement, est bien présent de février à avril. Il y avait quelques chasseurs là-bas assez correctement équipés, à voir comment ils se fournissent.
  18. Dommage pour les guns au Nicaragua. Je n'avais pas eu ce souci en 2010. Mais maintenant tout çà a tendance à se durcir. Tu vas où au Nicaragua? J'étais à San Juan Del Sur, petite station balnéaire plutôt sympa. Les conditions de chasse n'étaient pas top en mars, toujours à cause de ce vent de nord est. Eau sale, froide (à peine 20°) mais de la vie, avec surtout de belles sérioles dans peu d'eau.
  19. J'y suis allé à 2 reprises. Un de mes meilleurs souvenirs. A privilégier, la côte Pacifique, beaucoup plus riche. J'étais à Playa Del Coco, province de Guanacaste. C'est dommage que tu ne souhaites pas trop t'intéresser aux poissons pélagiques. Tu as un panel assez conséquent de ces derniers à la côte: sérioles, toutes sortes de carangues, thazard, wahoo (là-bas c'est un poisson que tu peux croiser en côte)... Tu verras également le poisson coq, pélagique fétiche du pays... mais vivement déconseillé de le tirer. Mon barquero m'avait d'ailleurs clairement interdit de le pêcher. Sa capture est uniquement réservée aux no-killers. A ma connaissance, il n'y a pas de textes légaux d'interdiction mais une règle que ce sont imposés les locaux. Si tu veux en pêcher, tu peux aller Nicaragua (un peu chaud ces temps-ci), la frontière n'étant pas très loin. Là-bas ils capturent et consomment le rooster fish. Concernant les poissons de fond, tu y trouveras essentiellement les carpes bien sûr (pargo rojo, rondelo...) et quelques mérous. Tu peux partir du bord, mais fais attention, ne laisse rien dans la voiture, un chasseur de ma connaissance s'y est fait tout piquer. Tu peux négocier une sortie avec les pangas de pêche au gros. N'hésite pas à faire le tour, tu peux avoir des différences de tarif conséquentes. La grosse demie-journée (7h-13h), tu comptes entre 150 et 180 $, tout au moins la dernière que j'y suis allé en 2012. Location de matos, je n'ai pas vu. L'eau n'y est pas forcément très claire, voir même sale à partir de février que le Nordeste s'installe. Idéalement, prends 2 guns: un 110 et un 120, simple 18 et flèche de 7, moulinet bien sûr. La première année, j'y étais début janvier et la visi était de l'ordre de 6-7 mètres, la seconde mi-février avec une une visi entre 2 et 4. Une dernière chose, sois discret, n'étale pas tes pêches. Les locaux, les Ticas plutôt agréables, sont particulièrement susceptibles avec ce type de choses.
  20. Superbe comme d'hab... C'est bien, la thazard est toujours de service.
  21. Tu ne peux pas chasser seul à Zanzibar, obligation de passer par Eric Allard.
  22. Oui, il y a 8 ans pour aller à Zanzibar. Pas de souci à l'époque. A vérifier maintenant.
  23. C'est l'option que j'ai retenue pour les Açores et le Cap Vert: flèches et arbalètes dans un colis et le tout reste sur place jusque la fois suivante. J'en avais un peu marre de me prendre la tête aux comptoirs de la TAP.
  24. La poste peut t'expédier jusque 2 mètres je crois. J'ai envoyé par colis postal, il y a quelques mois, un 130 avec flèches de 170 vers les Açores, aucun souci. Je vais aux Antilles début mars, avec mon hors format, mais en Gwada...
  25. Donc 9 îles réparties en 3 groupes: oriental (2 îles), central (5 îles) et occidental (2 îles). Pour visiter un maximum, et pour ne pas être tributaires des vols intérieurs, relativement chers, la meilleure option est de se poser sur le groupe central. A partir de Faïal, on peut se rendre facilement en bateau sur Pico et Sao Jorge. Pico est très bien dotée en structures pour le whale watching. Concernant les avions, tu as une seule liaison directe de Paris pour Sao Miguel, capitale située dans le groupe oriental. Au départ de Lisbonne, tu peux atterrir sur Faïal, Pico, Terceira (toutes 3 du groupe central) et Sao Miguel. Pour les hébergements, tu as de tout: du roots au haut de gamme. Le budget de 30 à ... On va souvent dans des pensions de famille dont une tenue par un collègue sur Pico, un peu isolée mais les pieds dans l'eau. Les tarifs varient de 60 à 80 en moyenne. Mais ne tarde pas de trop pour les résas. Cà se remplit vite. Toutes les îles t'offriront de superbes ballades
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