Grandpère

Tes sources sont bonnes. Exact mais compte tenu de la prolifération des ragondins mieux vaut se faire vacciner. Le médecin ne le refusera pas mais quid d'un éventuel remboursement par la S.sociale ? Je crois que seuls les pros cités supra peuvent y avoir droit. Pour autant, au regard du risque, même minime, je n'hésiterai pas.

Celle-là est vraiment............... P.S : Suis de retour, c'est quand vous voulez !

Au fait, un détail qui a une légère importance. La vaccination contre la leptospirose est impérative..........................sauf à vouloir se suicider.

Sous réserve qu'il n'y ait aucune possibilité de communication même en cas de crue avec tout cours d'eau (rivière, ruisseau, fossé) tant en amont et qu'en aval avec le dit étang, . Sinon, gare à la correctionnelle. J'ai pu chasser ainsi dans une ancienne carrière d'extraction de graviers en Vendée sur des fonds de 02 à 23 mètres. Visibilité 7/8 mètres. Eau froide et une fois les 10 mètres passés, évolution dans une ambiance plutôt crépusculaire et même lugubre. Quant aux "gibiers", en l'espèce des brochets, des tanches et des carpes que j'ai regardés évoluer, je les ai délaissés pour de très belles perches du kg et plus. Je suppose qu'en cherchant un peu ce genre de site est accessible. Pour ma part je n'ai trouvé dans cette unique expérience qu'un succédané au milieu marin en raison de l'espace restreint dans lequel j'évoluais, de l'absence de mouvement d'eau, de la facilité de capture et de ma faible inclinaison pour la chaire du poisson d'eau douce.......exceptée la perche surnommée, à juste titre "perdrix d'eau douce". (Baignés de filets de perche arrosés d'un Chablis, comment dire........"Pu...n que c'est bon !!!!")

A Préfailles il y a une heure, des rivières de sable jaune serpentaient dans une eau d'un vert indéfinissable, des paquets de mer franchissaient la digue du port et les goélands volaient à reculons.

Tu confonds les Pyrénées avec les Alpes. Mes rhumatismes sont toujours là. Quant à savoir si je suis requinqué, tu le sauras lors de notre prochaine sortie. Me concernant, l'eau des Alpes a les mêmes propriétés que celle de Lourdes : Aucun miracle, je suis toujours accroc au jus de treille.

Je te fais la même réflexion qu'au naufrageur ! Pas sportif du tout. Ce n'est pas bien de profiter de l'absence du p'tit vieux pour faire le tour des poissonneries du quartier.

Pas très sportif de profiter de mon absence !

Vous en aurez un vague aperçu demain soir. J'espère que Eric a prévu autre chose que du thé et de la camomille.

j'ai bien lu tous les commentaires, décourageants il faut bien le dire, mais à choisir entre un dimanche en tête à tête avec G.Mère et une session de CSM dans la purée de pois, j'ai pensé qu'entre deux maux il faut choisir le moindre. En conséquence, je me suis retrouvé à l'eau à la Pointe St Gildas à 13h0 (PM 15h40). J'en suis sorti à 16h45. Visibilité : Durant la montante elle fut exceptionnelle, de l'ordre de 0.30 m à 1.00 m devant la pointe de la tahitienne du 75 tandis qu'à l'étale et à la descendante elle fut remarquable, de 0.05 m à 0.50 m devant le masque. Limpidité : La dernière fois que j'ai passé un examen d'urine (réussi avec mention T.B) le contenu de l'éprouvette était bien plus clair et limpide que le pot de chambre dans lequel j'ai offic(h)ié aujourd'hui. Entraperçus : -Deux bancs de bogues que j'ai simplement laissés défiler devant moi sans lâcher de tir. En effet, j'ai le palais bien trop frustre pour apprécier la finesse de chair de ce poisson d'exception espéré par tout bon CSM gastronome. - 03 gros mulets dont un seul pouvant être en situation d'être fléché. Il fut épinglé, pris 2.00 mètres de drisse et........rien............. décroché. -Un vieille trop jeune pour un vieux papy. -une demi-douzaine de bars de 20 à 30 cm qui m'on assiégé à 03 reprises, virevoltant devant la tahitienne et mon masque sans aucune appréhension. "Infanticidé ": un bar estimé à 03 livres en limite de tir dans le "pipi" et qui une fois mesuré atteindra la maille avec quelques difficultés. Les conditions de mer des jours derniers ne pouvaient laisser espérer mieux ou moins mauvais mais je vais être privé de CSM durant 02 semaines alors autant forcer sa chance quitte à se retrouver béjaune.

Coucou "Dep", Merci pour l'info mais je pensais Nord-Loire/ et Sud Vilaine avec l'espoir de trouver un petit coin abrité de la houle.

Vois pas ce que tu veux dire !!!!! Tato, je sors du "resto". Pas une goutte de reste dans la bouteille. G.M n'a bu que de l'eau.

Non, non, ce n'est pas moi ! P.S 1 : Dominique fait attention à tes écrits, il pourrait y avoir quiproquo. P.S 2 : MAGNIFIQUE !

Mais alors pourquoi y es tu allé quand même ? Je sais que je radote mais quand même, de temps en temps j'ai quelques instants, fugaces il est vrai, durant lesquels j'ai quelques lucidités. A ta décharge, je suis souvent atteint de gâtisme. La preuve, je vais sans doute tenter le Nord Loire Dimanche.

Soit dit en passant, pas facile de ne pas te voir. Sinon, cela fait plaisir d'avoir de tes nouvelles. 2sd quinzaine d'août es tu sur le 44/85 histoire de s'en faire une avec un P.P.V.R à la clef ?

Bravo Marc! (Des fois qu'il y en aurait qui ne comprendrait pas que Pépère a encore picolé et qu'il s'agit d'un d'humour d'alcoolo qui se veut 2sd degré)

La houle montait hier, monte aujourd'hui et montera demain. Je crains fort que ce ne soit "plié" pour quelques temps, que ce soit sur le 44 ou le 85 et j'en suis fort marri (*) (*) Etat d'âme que ne peuvent avoir les célibataires.

Ouais, bof ! Pas de quoi faire un C.R. Encore si tu avais tiré une vieille du kilo, je ne dis pas mais là, est-ce vraiment utile ? PS : Dépêche toi de 'allumer l'ordi, nous nous impatientons. Bon je crois que je n'ai rien oublié. Ah si : Bravo et même bravissimo.

Non mais en M.P je peux te donner mon adresse afin que tu m'en envoies une caisse, histoire que je me fasse une petite idée.

Merci. Oui, beaucoup de chance cette année. Pour autant je suis perplexe. En effet, tous les bars ont été les victimes de mes "vieilles cannes à pêche" tandis que le "JOS GUN" à qui était dévolu cette tâche ne cartonne que des vieilles. Il doit faire peur aux autres poissons qui doivent s'en tenir à distance respectueuse. Je ne vois que cela comme explication.

Petit compte-rendu de la session d’hier. Le pousseur de fauteuil roulant qui m’est attaché m’ayant fait la promesse solennelle de ne pas tenter de ne me naufrager ainsi qu’il l’avait fait le mois dernier. En conséquence, je n’ai pas eu le cœur à décliner son invitation. C’est sous un soleil déjà bien ardent que nous partons de L’HERBAUDIERE. Nous faisons route vers un site que je ne connais pas et que mes yeux de myope ne pourraient identifier ultérieurement. Nous naviguons tranquillement un certain temps pour ne pas dire un temps certain pour finalement jeter l’ancre au milieu de nulle part. Mickaël m’indique qu’un petit périmètre et plus spécialement une anfractuosité particulière est le repaire de sars énooooooormes. Bien qu’étant invité, je me refuse à descendre le premier. Il n’y que peu de fond et dans l’eau cristalline je vois mon binôme se placer à l’agachon puis remonter en surface sans avoir déclenché de tir. A mon tour je m’immerge. Je m’avance un peu et me poste immobile. Une quarantaine de secondes plus tard, je pense : « Tiens, il y a un lâché de sars dans la piscine municipale ! » En effet, l’eau est d’une transparence telle que la visibilité est de 5 à 6 mètres. Tout un banc d’individus de taille honorable se tient à distance de sécurité. Respectant leur pudeur, je n’ose aucun geste déplacé et ne bouge pas plus qu’une statue. Alors que le troupeau semble vouloir s’éloigner, l’un des poissons change d’avis et de cap. Il se dirige vers moi d’une allure décidée mais pas suicidaire. Essayez donc de flécher un sar de face à 03 m, vous verrez. Malheureusement pour lui, le bestiau change à nouveau d’avis, de cap et se retrouve épinglé par ma tahitienne. Durant cet intermède « saricide », Mickaël fait également une victime de la même famille. Hélas, tiré en pleine eau, le poisson est parti s’enraguer dans la fameuse anfractuosité citée supra, alertant de fait tous ses locataires. Adieu les énoooooormes sars !!!!! Avec pour conséquence un changement de spot. Nous voilà arrivés sur un site bien connu puisqu’il s’agit du « Pilier ». Connaissant mes goûts pour la chasse sous le décamètre, mon jeune camarade m’offre une heure d’agachons et d’indiennes entre 10 et 13 mètres. Le courant est bien établi en dépit du faible coefficient de marée et le sera tout au long de la journée. Au fond, l’eau est bien plus fraiche mais toujours avec une visibilité remarquable. C’est avec un réel plaisir que j’enchaîne les descentes le long des tombants ou les remontées des versants rocheux de cônes pierreux abondement végétalisés. Pour autant, il faut bien que je me rende l’évidence : il n’y a pas de vie. Seule une vieille de 03 livres poquée sur 12 mètres fera les frais de cette confiserie aquatique si gracieusement offerte par mon binôme. Gentille attention de sa part, lui qui n’affectionne pas du tout ce genre de chasse un peu plus profonde qu’à ses habitudes. Nous changeons encore deux fois de lieux de prospection. Le courant est le rail ! Et nous !? Et bien nous jouons aux TGV (Tarés Gravement Valdingués) tant le courant et puissant. Si d’aventure une cible passait à la vitesse du courant, c’est-à-dire supraluminique, il nous serait impossible de tirer. Pour autant, Pépère trouve le moyen de sortir une vieille de 03 kg dans des conditions qui méritent un petit aparté. Imaginez un fond plat couvert de laminaires couchés ou plutôt écrasés sur le socle rocheux par la force du courant, une profondeur d’un mètre, un vieil excentrique armé d’un roller 95, un beau labre dont seule la queue dépasse d’une faille étroite et enfin un courant à décorner des bœufs. Acte 1 : Charge du roller au minimum. Acte 2 : Exécution ce qui ressemble de loin mais alors de très loin à un « canard » pour finalement se retrouver le cul hors de l’eau, les palmes à plat en surface jouant les turbos-propulseurs à pleine puissance afin de maintenir « le sur-place ». Acte 3 : Crosse main droite, fût main gauche. Acte 4 : Appui sur la détente Acte 5 : Remontée en surface d’un vieux phoque non moustachu mais époumoné sous le regard narquois de son petit camarade qui, du bateau, assène : « Tiens encore une vieille, comme c’est bizarre. » Ah ! C’est l’heure ! L’heure de quoi ? D’aller récupérer « Roxy » au port de l’HERBAUDIERE. Sachant que ce dernier est un excellent chasseur, le commandant du bateau me dit, perfide : « Laissons le transpirer dans sa combinaison, ainsi il sera fatigué et ne fera pas de mal à nos poissons » Tu comprends maintenant Anthony pourquoi tu as tant sué sur ce ponton isolé et écrasé de chaleur. Si je n’avais pas insisté je crois bien que tu y serais encore à te liquéfier. C’est donc avec un second maître d’équipage (je ne suis qu’apprenti mousse) que nous reprenons la mer à l’issue d’une libation frugale et sans alcool (Beurk !!!) Nous sommes déposés par le seul maître à bord après Dieu dans un endroit connu dudit capitaine. Seigneur que c’est glauque ! Pas de visibilité enfin si un peu : 02 mètres chargés et jaunes. Changement d’arme. J’empoigne mon vieux 75. Las, la crosse rend l’âme et ne supporte que le chargement au 1 er cran. En conséquence, je m’éloigne de manière significative de mes deux compagnons afin d’annuler tout risque d’accident. En effet, ma confiance est pour le moins ébranlée sur la fiabilité de l’arme (Elle est à cette heure dans la benne à ordure, du moins la crosse dont la gâchette, après démontage, s’est révélée usée par tous les tirs effectués) Durant 90 minutes nous patrouillons chacun de notre côté à la recherche de gibier à se mettre sous la dent. Durant mes pérégrinations, je croise 03 mulets dont la taille approche celle de traverses de chemin de fer. Bon d’accord, j’exagère un peu mais les 2.5/3 kg devaient bien y être. Deux d’entre eux ont giclé d’une belle dalle qui du coup s’est révélée déserte. Pour autant, 20 minutes plus tard, j’y surprends un bar maillé dont le voyage s’arrête là. Continuant mes déambulations, je suis surpris par deux de ses grands frères qui devaient avoisiner les 03 livres. Rageant ! D’autant plus que je soigne mes agachons et mes indiennes. Tout ce que j’aperçois, ce sont des congres, encore des congres, toujours des congres de toute taille. Le dessous de leurs mâchoires prognathes fait des taches blanches quand, à mon approche, ils se soulèvent légèrement afin de reculer dans leurs bauges. Allez, encore un autre qui pointe le museau sur ma gauche tandis que je rase le socle rocheux à la limite du sable ! Bizarre ce congre ! Mais….. mais….mais…. il a des écailles ce congre !!!!! Abruti, c’est un bar ! Celui-ci assez tranquillement fait demi-tour dans sa faille. Je regarde son corps s’arquer et commencer à se fondre dans la pénombre. Dans le même temps, je passe la crosse de la main droite à la main gauche tandis que la dextre saisit la tête du fût pour l’engager dans l’anfractuosité. Je décoche la tahitienne à l’instant où la queue du poisson disparait dans l’obscurité. Un nuage de sable et de petits graviers m’environne, la flèche n’est plus visible. Je saisi le nylon. Ça tire. Précautionneusement je ramène le fil d’Ariane vers moi. Le talon de la tahitienne apparaît, je la happe. Les soubresauts du bar la font tressauter dans ma main. Fermement mais délicatement j’extrais ma prise. Content, le vieux ! C’est un beau poisson qui accusera les 03 kg au peson de Mickaël. Je continuerai dans ma quête sans revoir d’autre gibier mais c’est fier comme Artaban que je rejoins les deux jeunes mariniers qui m’attendent sur le bateau. En effet, il est temps de rentrer en terre. Beaux joueurs, ils me félicitent. L’un et l’autre ont malheureusement décroché chacun un beau poisson. Mickael quant à lui ajoute tout de même un bar de 03 livres à son tableau de chasse ainsi qu’un mulet. Encore une excellente journée passée en fort bonne compagnie pour un bilan chasse somme toute honorable. A réitérer quand vous voulez les enfants. P.S : Je suis surpris que la visibilité se soit ainsi dégradée aujourd’hui ainsi que le rapporte GGG. Nous avons eu de la chance hier.

"Di Diou c'te pêche" (Sic Maigrat à qui je retourne le compliment)

CR qui sera plus que concis par manque de temps. Sortie avec Adrien (Jolie rencontre) de 13h30 à 17h00 sur PIRIAC. Pas d'écaille et visi de 2à 3 mètres bien trouble. Du monde dans l'eau........sans poisson. Sur un agachon d'Adrien, j'ai mis, dans ma glacière un..........Lalande de Pomerol 2014 .......qui fera, ultérieurement l'objet d'un tir à la coulée.

En regardant les photos : - Soit le déménagement est proche soit tu es meublé en "Louis Caisse". -Le poisson est photogénique...............................lui.