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Tout ce qui a été posté par Grandpère
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Madame qui aime tant les crevettes bleues a, sans aucun doute, été ravie.
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Secteur Piriac de 14h35 à 18h06 (Ca c'est de la précision, hein ! Et encore je me suis arrêté aux minutes) Visibilité : N'hésitez pas ! Au bord c'est un lagon mais un peu plus au large (25 mn de palme pour rejoindre le spot) l'horizon subaquatique est bien de 04 mètres. Sur 08 mètres l'eau est à 15/16°. En surface de 0 à 04m c'est beaucoup plus chaud. Pas beaucoup de vie. Du petit bar et quelques mulets. J'ai prélevé une araignée, un beau tourteau et un mulet d'un bon kilo. Au cours demon parcours de nage, masque enlevé alors que je n'étais aucunement en action de chasse, je me suis fait prendre à parti par un pêcheur pro. Il mouillait ses lignes à 30 mètres sur ma gauche. Il paraît que je lui manquais de respect en passant si près et que le bruit de mes palmes effrayait "ses poissons". Il aurait voulu que je fasse un bon détour à contre-courant pour la sérénité de "ses poissons". En revanche, le bruit que lui faisait en mettant ses lignes et bouées, sans compter celui du moteur ne devait pas être audible. Soit, je n'étais pas à 150 mètres (*) de ses engins qui n'étaient pas encore en action de pêche mais quand même, il y a la lettre et l'esprit des lois. Je ne faisait que nager (*) sur ma planche en prenant le chemin le court afin de rallier le site de chasse situé 500 mètres plus loin. (*) Le texte de loi interdit la pêche à moins de 150 m des engins balisés et des bateaux de pêche. Il n'interdit pas la nage à proximité. Ce qui n'est pas expressément interdit par la loi n'est pas prohibé.
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Facile, quand le "chat noir" n'est pas à bord !
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Sujet Visibilité 17
Grandpère a répondu à un(e) sujet de anthony44 dans Chasse de Bretagne Sud au Pays Basque
Marc, te voila proctologue maintenant ! Pauvre bar, il a été surpris par l'opération. Il en reste bouche bée . -
Sujet Visibilité 17
Grandpère a répondu à un(e) sujet de anthony44 dans Chasse de Bretagne Sud au Pays Basque
J'ai un J.Gun roller en 95 avec flèche à ergots. J'ai remplacé le dyneema d'origine qui s'abîmait assez vite (2 ou 3 mm il me semble) par du 1.5 mm blanc enduit (D4, Nootica, Vieux papy Plongeur, etc....) Je n'ai plus eu de souci. Vérifie tout de même si les ergots de flèche ne sont pas une abrasifs, au quel cas, il suffirait de les adoucir comme il se fait pour les encoches. Maintenant, je veux bien changer le dyneema tous les deux ou trois tirs si je ramène 03 bars à chaque sortie. Par ailleurs, je te rejoints sur la qualité du Jos-Gun. J'en suis ravi même si je joue parfois à "Papy l'embrouille" lors du rechargement. Eric, je suis vraiment désolé, le "95" n'a tapé que du mulet et de la vieille sur des tirs de loin mais je ne désespère pas. Le plus drôle c'est qu'il y a 04 jours j'ai fait un bar de 03 kg avec ma vieille........canne à pêche 92 cm simple sandow. (Je l'utilise de temps à autres pour ne pas la vexer) -
Nouveau départ, Indo, Papousie, NZ...
Grandpère a répondu à un(e) sujet de Marguéjah dans Chasse Outre-Mer et ailleurs
Content d'avoir de vos nouvelles. Amusez-vous bien tous les deux ! -
Ce serait une belle erreur de ne pas emmener le matériel. Par ailleurs, précise le créneau de tes vacances insulaires. Avec un peu de malchance tu seras contraint de pousser mon fauteuil roulant.
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"Eau" ! Elle est superbe celle-ci ! ???
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En voilà une louable attitude ! Mettre un petit vieux dans l'eau(*) afin qu'il puisse supporter la canicule annoncée. Ce sera avec le plus grand plaisir que je te tiendrai compagnie. (*) Bien plus facile à faire qu'à me mettre à l'eau minérale.
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Sortie 12h30/16h30 sur Préfailles avec "Zoiseau". Eau à 17° . Chassable avec le 75 près du bord. 1.50 m de visi, guère plus durant la descendante Un peu plus au large, j'ai eu l'impression d'être une olive tombée et oubliée dans un pastis bien tassé. Du jaune, du jaune et encore du jaune. Pas vu une écaille, pas entendu une seul bruit de queue. Au début de la montante ce fut pire encore. Sorti avec 03 araignées, 01 tourteau et 01 douzaine d'étrilles. Dire que "Zoiseau" voulait aller à Piriac et que l'en ai dissuadé ! Le pauvre, il a été le pigeon de l'affaire. (Je sais, c'est petit, mais que voulez-vous, je n'ai pu résister à ce mauvais jeu de mot)
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Cela fait rire. Tant mieux. moi aussi, lui aussi(*)...............mais après coup. (*) z'avez vu, je n'ai toujours pas donné son nom ou pseudo ! Le 1 er qui devine a le droit d'emmener Pépère chasser avec lui........a ses risques et périls, en effet, je décline toute responsabilité en pareil cas !
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Dans les eaux hivernales du 44, une seule solution à ce problème : "Crème Apaysil démangeaisons" (*) (*) En vente dans toutes les bonnes pharmacies.
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Beaucoup de chasseurs oeuvrent sur les biotopes, roches et cailloux, qui ne sont pas favorables aux poissons plats. Il faut privilégier les zones sablonneuses, aires de concentration de la majorité des plats. La granulométrie de ces sables peut même permettre de cibler plus particulièrement certaines espèces. Une sole préfèrera un sable plus fin tandis qu'un turbot préfèrera souvent une zone de petits graviers non loin des roches. Quant à chasser sur de tels sites, cela peut être d'un mortel ennui lorsque les résultats ne sont pas là.
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Sympa de te lire. Je constate avec beaucoup de plaisir que la forme est toujours là. A propos du poignard, je ne pense pas que celui de "Kasabian" puisse être rouillé : le rhum arrangé ça conserve !
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Hier, mon binôme a poussé le bouchon un peu loin ! Vous comprendrez plus tard….si vous lisez tout ! En effet, il a voulu noyer Pépère, persuadé que je l’avais couché sur mon testament et lui avait légué le contenu de ma cave. Ce en quoi il se trompe. Et pour cause, le cher enfant ne tient pas plus l’alcool que la mer, alors que ferait-il de mes flacons chéris ? Enfin, passons et revenons à nos moutons. Hier, première sortie en mer de l’année. Le ciel hésite entre le bleu azuréen et le pot au noir orageux. Ce fut le bleu méditerranéen qui l’emporta et nous embarquâmes. Ça y est, nous sommes dans le présent et l‘action ! En conséquence, changeons de mode et de temps. La mer est belle, le vent faible. Nous faisons route en direction d’un plateau rocheux où nous mouillons l’ancre dans 03 mètres d’eau. De notre bord nous distinguons vaguement la frontière entre sable et roche. « Alea jacta est » nous voilà dans l’eau. La visibilité quelque peu chargée en particules fines oscille aux environs des deux mètres. Le commandant du navire part sur tribord et le petit mousse que je suis tire sur bâbord afin de respecter une bonne distance de sécurité. Il y a des araignées partout. Je les délaisse en ayant l’idée de ramasser mon quota lors du retour au bateau. Je baguenaude de pierres en pierres, de rague en rague, d’agachons en indiennes. J’entends de nombreux coups de queues. Las, ce ne sont que des vieilles et l’une d’elles, de taille tout à fait respectable, fera l’objet d’un tir létal. C’est quelques minutes après cet assassinat « gériatrique » que mon chef de bord m’indique que nous changeons de site. Le temps qu’il retourne à l’embarcation et vienne me chercher, je me mets en quête d’araignées. J’en trouve mais trop maigres à mon goût et je dédaigne ces crustacés anémiés. Ma quête est alors interrompue par le vrombissement du moteur. Je lève la tête hors de l’eau et voit mon jeune patron pêcheur, tout échevelé, passant du rouge carmin au blanc livide me hurler de monter vite à bord. Mais pourquoi crie-t-il ainsi ? Je suis sourd comme un vieux pot mais quand même, à deux mètres de distance j’arrive à comprendre ce que l’on me dit. En fait non, je ne comprenais pas. C’est en mettant le pied sur le bateau, enfin dans l’eau du bateau, que je comprends : Nous(*) coulons !!!!!!! L’armateur qui est la fois le pilote et le capitaine ne me donne pas l’ordre d’abandonner le bord mais d’écoper. Il ouvre le compartiment à batterie. Celle-ci baigne très largement. Les cosses sont hors d’eau mais tout juste. J’empoigne l’écope qu’il me donne. Je la regarde, son plastique est marbré de zébrures blanchâtres. Par ailleurs, la contenance dudit ustensile, prétendument salvateur, est de 0,5 litre. Je me dis que ce n’est pas avec cela que l’on va sauver ce qui devient plus en plus le "radeau des médusés," d’autant qu’à la première écopée le vase se fissure puis se brise en deux à la première lampée d’eau. Durant tout ce temps, la mer continue à s’infiltrer par……où ??? Le tableau arrière est quasi à fleur d’eau. Une vaguelette inoffensive heurterait le cul du bateau, un mouvement brusque de l’un de nous ou un simple éternuement que nous coulerions bas à l’instant. C’est alors que « Super Papy » (Ben quoi !!!?) empoigne sa caisse de rangement, la plonge dans le compartiment noyé et écope par bâchée de 10 L. Après plusieurs écopées, l’épopée (C’est nul, hein ! mais j’aime bien !) prend meilleure tournure. En effet, le niveau baisse dans la cale. Le capitaine d’ordinaire prolixe reste muet les yeux fixés, non pas sur la ligne bleue des Vosges, mais sur le port salutaire avec une lueur d’espoir dans le regard. Je pense qu’il doit adresser une prière muette aux Saintes Maries de La Mer. Pour ma part, étant athée ( Dieu Merci) je ne prie pas. Je suis trop occupé à oublier la brûlure de mes pauvres petits biceps qui sont toujours au travail avec cette foutue bassine-écope qui pèse de plus en plus lourd. Enfin, nous accostons. Là, tout benoîtement, mon bon camarade me dit : " j’ai dû oublier de remettre le bouchon de vidange de coque en place." Vérification faite, c’est exact. A ce moment précis, ce n’est pas l’eau de mer, impromptue locataire que j’ai eu envie de balancer par-dessus bord! Enfin, bouchon de secours mis en place, eau écopée, nous reprenons quelques forces avec un peu de pain et de pâté. Afin de se racheter, l’illustre marin et seul maître à bord décide de repartir en chasse dans le dessein de me faire occire un bar ou deux. Louable intention, n’est-il pas ? Ainsi, nous voilà repartis le cœur léger. Rassérénés nous prenons le large l’esprit serein à bord de ce fier esquif dont le moteur, après 600 mètres de navigation sans aucune encombre, cale de manière définitive. Ce qui, vous le pensez bien, nous met en joie. Une liesse inimaginable règne sur le pont. Pour un peu on se serait cru un jour de Toussaint venteux, pluvieux et glacial quelque part dans le Nord derrière le mur de glace** Ce sont donc, passez-moi l’expression, deux « glandus en néoprène » qui hèlent de manière énergique un voilier rentrant au port. Pitoyables et confus nous sommes pris en remorque et regagnons la cale de départ. En remerciement, notre "remorqueur" héritera du produit de notre pêche : un bar d'un bon kg, une vieille de taille respectable et une araignée . Quant au reste de la journée, je vous en épargne le récit. Il a consisté au nettoyage du moteur et à la purge de tout le système d’alimentation, l’eau de mer s’étant insinuée dans le réservoir à carburant durant ce périple funeste pour l’orgueil et la fierté de qui vous savez. A vous de deviner, je suis pas un délateur. En effet, je n’ai donné aucun nom ou pseudo, vous l‘avez sans doute remarqué. (Pas la peine, il y a assez d’indices supra). En effet, je ne voudrais pas que mon apprenti naufragé soit en but à la vindicative de ceux qui ne commettent jamais d’erreur ou d’étourderie. A celle des irréprochables en tout et dont le jugement sans appel est supérieur à celui de Salomon. Sinon, pour conclure : Suis toujours ton homme quand tu veux, naufrageur de petit vieux ! (*) Enfin, lui surtout. En effet, le bateau n’est pas à moi, la côte est à 800 mètres et je suis tout équipé. Bref, aucun danger ! (**) Dédicacé aux amateurs de série T.V
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St-Jean de Luz
Grandpère a répondu à un(e) sujet de guillemot dans Chasse de Bretagne Sud au Pays Basque
Le CR rafraichissant d'un chasseur chevronné qui n'a pas de problème d'égo. C'est réconfortant. -
Douleur ventre/reins/dos après chasse
Grandpère a répondu à un(e) sujet de Dédé83 dans Chasse en Méditerranée
Sic Guillemot : Pas mieux ! Par ailleurs et pour répondre à ta question, j'ai toujours mal au dos après une session de CSM dès que je suis contraint à marcher pour rejoindre le bord de l'eau et bien entendu lorsque je regagne le parking. La raison enfin, les raisons me sont connues : Le poids du lest (10 kg partagés entre ceinture et baudrier) et celui des ans. Te concernant, il y a de fortes probabilités que ton mal provienne du lestage mal équilibré. Si cela était autre chose, il y aurait fort à parier que les douleurs seraient apparues et persisteraient hors la pratique de la CSM. Pour autant, une consultation médicale s'impose. -
Toi, tu as encore "picolé". Evidemment que tu n'arrives pas à la griller ! Combien de fois faudra-t-il te dire que ce n'est pas un barbecue mais une grille d'égoût !!!!!
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Ta boite est pleine. Impossible d'envoyer de M.P !
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Arrangez vous ensemble. Les bouteilles sont mises à gauche.
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Pas faux ! A ce propos, il me semble que tu m'as promis une "prise de tête". Les bouteilles prennent la poussière.
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"""""Ad impossibilia nemo tenetur""" Et en rose comme dans le "Larousse", tu l'auras noté.
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Rassemblement Quiberon week-end Ascension
Grandpère a répondu à un(e) sujet de sirène14 dans Chasse de Bretagne Sud au Pays Basque
Dommage qu'ils ne se soient pas signalés, nous leur aurions très volontiers offert l'apéro et le dîner. Sinon : Bravo ! -
C'est vrai, il sourit à nouveau à belles dents ! Ce qui est tout à fait normal puisque notre Thierry est un adepte du « denti frice » P.S : Comment ça , il picole toujours autant le vieux !
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Rassemblement Quiberon week-end Ascension
Grandpère a répondu à un(e) sujet de sirène14 dans Chasse de Bretagne Sud au Pays Basque
Ah ! Tu comptais sans doute sur un vieux "Lagavulin". J'y penserai la prochaine fois mais je ne ferai rien que d'y penser. P.S : Lundi matin ce fut "Beg en Aod " les autres sites étant impraticables. Je suis ressorti de ce tambour de machine à laver tout essoré, secoué, étrillé, secoué (comme si je ne l'étais pas assez !), bringuebalé balloté, cahoté, bousculé, renversé, poussé et enfin culbuté (en tout bien tout honneur) ! Avec pour résultat un gros mulet, une petite vieille (Oui, bon, ça va !) et un superbe loupé sur un très beau sar.(Je sais : comme d'hab !) Pas vu l'ombre d'une araignée.