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des beaux poissons bien tirés , bravo !
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Besoin de conseils pour débuter en kayak
marc o a répondu à un(e) sujet de Jo_jo dans Kayaks, Sondeurs GPS, Bateaux
j'ai encore un zod tropic de la meme taille (plancher bois) et 15 cv mercury. c'est marrant ces memes choix 😄. c'est vrai que pour chasser en dérive en "sécurité" rien ne vaut le kayak. et comme toi, j'y ajoute un grand mat et le pavillon: une bouée de 4 metres, celui qui la voie pas , c'est un chien qu'il lui faut, pas des lunettes ! -
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marc o a répondu à un(e) sujet de Jo_jo dans Kayaks, Sondeurs GPS, Bateaux
joli , oui on en mets sur un kayak ... ma remarque était sur le fait que l'on prélève de moins en moins de poissons (car nous nous modérons eu égart de la baisse de la ressource). donc engager de gros moyens (bateau) pour ramener peu de poissons, ça me tente pas . mais c'est une position personnelle. si je broucouille en kayak, j'aurais au moins fait un peu de sport. -
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marc o a répondu à un(e) sujet de Jo_jo dans Kayaks, Sondeurs GPS, Bateaux
comme toi, j'ai eu des petits zods, et meme le premier une coque rigide, que je mettais a l'eau seul ,meme depuis les plages. j'au moins 45kg plus un moteur de 25 kgs t une nourrisse... et la place de stockage a la maison pour tout ça. un kayak prends un peu de place aussi, mais la mise a l'eau est plus simple, c'est pas fragile et "portable". c'est surtout une autre philosophie, se déplacer sans carburant, l'energie humaine. avec les quotas sur le bar, on sait qu'il y aura assez de portance avec un kayak pour ramener la pèche ... j'ai fait de belles pèches comme toi sur oléron debut/milieu années 90, départ a la palme, mon bateau était en med. -
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marc o a répondu à un(e) sujet de Jo_jo dans Kayaks, Sondeurs GPS, Bateaux
😄oui c'est des contraintes comparables ... mais c'est pas du tout les memes philosophies. j'ai les 2 et n'utilise plus le zod depuis que j'ai le kayak. c'est une façon de rendre la sortie plus sportive,pour moi, c'est plus agréable de se déplacer a la rame (ou a la voile ) qu'au moteur. et point positif , on est bien plus silencieux... pour avoir idée, une sortie a la palme, je parcours maxi 5 km, en kayak 12, et en zod tant qu'il y a d'essence . -
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marc o a répondu à un(e) sujet de Jo_jo dans Kayaks, Sondeurs GPS, Bateaux
pour les chariots "sable", il y a des grosses roues larges basse pression. -
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marc o a répondu à un(e) sujet de Jo_jo dans Kayaks, Sondeurs GPS, Bateaux
pour completer les réponses , la navigation en kayak est difficile voire impossible face au vent fort...(aude , herault: mef !!!) au point que si tu te fais surprendre par une tram ou mistral qui monte plus fort que prévu, tu es en danger. au point que tu rentreras plus facilement en nageant et tractant le kayak. donc, pour toi, choisir le plus bas possible et 3,5 metres mais pas beaucoup plus (le disco si tu es a l'aise ) un siège souple ou au moins un dossier, c'est confortable et pas du luxe. et la pagaie toujours attachée (leash) au kayak. -
je croyais que les expériences de modifications génétiques étaient interdites sur les humains... ça doit être coréen!? ou le futur avatar ?
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quantités en passant par les transports pro marée, c'est 30 kg de forfait😵. il y a peut être chronofresh possible, j'ai jamais fait, mais un copain utilise pour expédier des huitres. sortie autoroute de Saintes, je suis a 40 km. MP.
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belles images, et beaux chapons.
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😃après un petit tour sur la lune, nous voila revenu sur la mer ! oui, les cystes (oeufs ) d'artémias est une problèmatique pour les élevages larvaires marins. mais cette crevette en consomme sur 10 a 15 jours puis on passe sur des artémias adultes congelés. on pourrait substituer par des rotifères, mais cela demande plus de volumes d'élevages.
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c'est la 2° fois que j'entends cela, je ne sais pas si c'est vrai.
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en pratique, pour moi non, mais pour la majorité des gens , oui. protocole , protocole et protocole... tu bâcles une étape et tout crashe. et il en faut enchainer une vingtaine pour sortir les volumes finaux. on arrive a des concentrations de 5 a 12 millions de cellules par millilitres, ça correspond a autant d'individus petites algues dans une bouteille d'un litre que d'humains sur toute la planète !!!
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😅 thalassa ... allez, je te la raconte: la responsable de l'émission que tu cite me contacte pour la faire avec moi et certains membres de l'associations de producteurs que je présidais. elle veut trois éleveurs, dont un qui vends ses crevettes a un chef étoilé sur noirmoutiers, pour suivre le produit de son origine a l'assiette. Sauf que mon pote éleveur, il a pas envie du tout... ça dure 2 mois, j'arrive a le convaincre... et voila qu'un mois après la greluche laisse tout tomber et choisi un éleveur tout seul "parcequ'on a déja des images avec lui". je connais bien l'éleveur en question et dit la thallasienne: ben , avec lui, vous allez parler plus d'huitres que de crevettes (c'est son moteur économique)! résultat 1/4 crevettes,3/4 huitres: 100% pub pour une seule entreprise...
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un petit avenant au sujet de base: le phytoplancton. mes larves de crevettes en consomment les 5 premiers jours de leur alimentation. je dois donc cultiver ces micro algues (3 a 10 microns). c'est une culture aussi simple que pointue, c'est a dire que la théorie est parfaitement connue, mais pour fiabiliser, il y a le facteur humain qui s'en mêle... comme ce n'est pas ma passion les plantouilles, j'ai essayé de refiler le truc a ceux qui ont bossé avec moi...toujours a regrets ! pour réussir, c'est très simple: un milieu stable (température, salinité, brassage, lumière, stérile) et une ou des souches d'algues monospécifique et "propre" (sans bactéries). c'est du travail de laboratoire , on reste stérile autant que possible. on choisi l'algue selon les besoins de l'espèce qui la consomme, chaque phyto a ses richesses et carences en protéines et acides gras. photo de ma salle d'algue qui tourne comme une formule 1 (quand c'est que moi qui y touche).
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c'est Fred, on fait la meme chose de la meme façon, a 20 km. sympa sa vidéo. pour les introductions d'espèces, volontaire ou non, c'est la loterie, parfois favorable, très souvent néfaste pour le biotope hôte.
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merci pour tous vos commentaires, je vois que le sujet interesse. j'aime l'ouverture d'esprit , et pour juger , il faut savoir, comme Maigrat, pécheur pro, qui suit aussi ce qui se passe en élevage ... et bien d'autres. reprennons: le cannibalisme pose problème dès le stade post larve soit 10 jours après l'éclosion. le seul moyen de l'éviter, c'est qu'il ne manque pas de nourriture, donc repas de 7H a 22h et nourrisseur automatique la nuit. adultes , elles supportent mieux la faim. pour les parasites des anguilles, je ne les connaissais pas "particulièrement" ni leur origine, mais leurs cousins qui peuvent présents sur (ou dans) les poissons d'élevages. les externes sont faciles a traiter (pour peu que les législateurs incopétants ne les interdisent pas...), et les internes, ça dépend, c'est parfois impossible. j'ai eu le cas de mésanofris carcini sur la ferme de turbot que j'ai géré techniquement 3 ans, pas trouveé de solution une fois que le parasite est entré, il bouffe le cerveau du poisson. une seule solution: prophylactie : tuer les parasitesq avant qu'il touche les poissons. je dit un naupli pour le singulier, nauplii au pluriel, et nauplius pour la forme de la bestiole, mais c'est peut étre autrement. les introductions d'espèces sont de vrai problèmes t peuvent entrainer des drames. cela peut apporter des germes ou parasites dangeureux pour l'ecosistème qui est "naif" (n'a jamais été mis en contact avec le problème) et ne sait pas réagir. la bestiole ou plantoiuille part dominer ou envahir ce nouvel environnement qui lui est favorable (pas de prédateur, proies faciles, pas de concurrence, milieu plus propice...) c'est quand meme controlé par les douanes, mais cela 'comme le dit Luc , d'arriver avec la mondialisation des échanges. il semble que le crabe bleue des lagunes en med soit arrivé des usa par les balaste de cargos : un desastre !
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il y a des règles d'introduction d'espèces en europe, il est interdit de ramener des animaux vivants sur les teritoires sans autorisation. comme évoqué pour les crevettes d'eau douce (macrobrachium "wassou"), ce nouvel élevage st cantonné a des reservoirs d'eau fermés, idem pour la crevette vanamei de lisaqua /agriloops : pas en mer ni milieu ouvert, juste des bassins fermés, et statu "sans maladies" de la part du fournisseur.
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je suis très contant que kai ai participé a ce sujet, le connaissant hostile a l'élevage. la sensibilité de chacun est différente, pour certains, la meme pratique est intolérable et pour d'autres, c'est "normal". ce qui m'interesse, c'est l'avis de chacun, et d'échanger honettement. on se comprends mieux ainsi, et chacun en a les moyens . Niveau pathologies/parasitisme, les crustacés d'introduction, c'est la boite de pandore. ils peuvent véhiculer beaucoup de virus et bactéries, j'ai pas d'exemples de parasites en mer . comme tu as l'air environnementaliste, tu connais surement le cas de l'écrevisse de louisianne, introduite en france: la bestiole est invasive,territoriale, destructrice de biotope , bouffe les oeufs de poissons ,et porteuses de maladies dont elle est imunisée, mais mortelles pour les écrevisses autochtonnes... donc, coup de bol pour nous, nos crevettes japonaises étaient idemnes a leur arrivée et le sont restées. pour ètre plus précis, elles peuvent contracter le fusarium qui est endémique (un champignon imparfait) qui les fragilise, si le milieu est réduit. pour les anguilles, elles sont en europe pourteuses d'énormément de germes transmissibles a d'autres poissons ( vibrio, yersiniose, saprolégnose...)et comme elles circulent en mer et eau douce , c'est un vecteur majeur. je suis de loin l'évolution de la pisciculture , bien que ce fut mon métier a la base, je n'étais pas au courant de cette nouvelle vérole qui est peut ètre arrivée ici avec les anodontes chinoises ? parceque il me semble que l'on exporte des civelles et anguilles vers l'asie, mais on n'importe pas.
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le risque d'invasion d'espèce introduite... très bonne question! alors dans notre cas, elle a besoin de minimun 25 °c pour pondre et que cela dure au moins un mois avec du phytoplancton en abondance pour que les larves survivent. il se repèche quelques crevettes en mer dans le secteur quelques fois, elles se sont échapées des bassins, et c'est très rare, mais on n'a jamais vu de repro naturelles. elles ne survivent pas au gel, donc elles ne peuvent pas survivre dans les claires l'hiver.
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l'épédonculation (crever/ligaturer un oeuil des crevettes femelles) est courant, cela accelère l'ovulation et la maturation. je ne pratique pas cela car je n'en ai pas besoin. je garde mes geniteurs 6 mois , cela me laisse le temps de les préparer de façon naturelle a étre prèts a pondre quand j'ai choisi. je ne fait que recéer les conditions qu'elles vivent dans la nature. une femelle épédonculée va mourir dans les 15 jours voire une semaine, si on a une grande quantité de géniteurs c'est pas un problème, mais quand c'est des animaux "précieux" pour leurs génétique, on ne le fait pas, elles pondent plusieurs fois sur plusieurs mois. idem pour tes huitres perlières. c'est bien que tu t'interesse a l'élevage, ouverture d'esprit.
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les 5 kgs, c'est le stock de larves de toute la partie écloserie en instantané. 500 kgs de crevettes dans les bassins extérieurs, c'est réparti sur 2 terrains de foot, ça doit valoir pas loin de 100 pipis et quelques popo, qui vont faire de l'engrais naturel pour le gazon...😄 c'est bien fait la nature quand meme: l'herbe pousse, les vaches t lapins broutent (te chient dessus), on bouffe les vaches et on fait sur l'herbe, les bactéries se régalent t minéralisent le tout=engrais pour le gazon... c'est pareil dans l'eau, les cycles de la matière, il faut juste en élevage ne pas dépasser les limites pour que chaque étape des cycles puisse se dérouler sans saturer.
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j'avais vu ton sujet pour le homard, et je me disais que je trouverais bien un moment pour te faire profiter de mes connaisances sur les crevettes...on y est ! alors , oui certains crustacés s'acouplent seulement quand la femelle est molle (crabes, homards.... certaines crevettes). la crevette la plus élevée au monde (peneaus vanamei) s'acouple n'importe quand sans penetrer la femelle. la consanguinité, excellente question ! comme on est parti de quelques individus voila 45 ans dont on ne connaissait pas le pédigré, la question se pose ... et je dois dire que cela m'a permis de comprendre des trucs qu'existent pas dans les bouquins. en pratique , certaines espèces tolèrent mieux que d'autres la reproduction sans dégénérer. les artémias passent de clones a repo sexuée, et inverse et nous prouvent que c'est fonctionnel (pour eux) en génétique, il y a l'inné et l'acquis : le patrimoine génétique légué par les géniteurs , mais qui va évoluer au cours de la vie et se modifier. je pense qu'il y a des espèces dont les chromosones sont plus plastiques, et donc influencés par le milieu extérieur. en pratique, je veille a croiser mes lignées pour ne pas mettre ensemble des freres et soeurs dans mes bacs geniteurs: les males d'une ponte avec les femelles d(une autre, et ça a marché. j'ai quand meme posé la question au sysaf (les spécialiste en france de la sélection génétique pour les animaux d'élevages). leur réponse a été: les premiers signes de consanguinité sur les crevettes, c'est la baisse de la fertilité, puis sur les générations suivantes baisse de la croissances. jusqu'ici , pas de souci.
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oui, cette espèce a été introduite en france métropole il y a une 10aine d'années par un véténinaire de la dsv (Gérault) qui c'est passionné . je l'ai rencontré il y a 4 ans, il cherchait conseils pour améliorer sonl'écloserie , un gars super. il travaille a dévellopper cette culture. cette crevette est pésente a la réunion, peut etre ailleur outre mer.
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pour acheter des crevettes impériales, c'est d'aout a mi novembre , soit en charentes maritimes chez des producteurs (une 50aine) soit quelques grandes villes (paris, nantes, bordeaux...)chez des poissonniers. la production francaise est de l'ordre de 70 tonnes/an. les crevettes sont élevées partout dans le monde sous les tropique et l'équateur. les espèces choisies sont détritivores , premettant l'usage de granulés pour les nourrir directement. elles tolèrent des densités très élevées et ne consomment pas de proies naturelles dans leur cadre d'élevage. les cycles sont de 4 a 6 mois et s'enchainent , parfois sans pouvoirminéraliser les déchets des crevettes, et quand c'est trop, l'eau , le sédiment pourris. ce qui pose le plus problème, c'est les expropriations (rizières) et ou la destruction de mangroves pour créer des bassins a crevettes. je suis très loin de ces problématiques: 6 mois par an ,2 crevettes par m2, très peu de granulés, bassins creusés par les romains (marais salants).