vavagwada

Salut à tous, Je croise souvent ici en Guadeloupe des poissons lions/rascasses volantes. Je sais que ça se chasse et se mange mais je n'ai encore jamais osé tiré dessus de peur de ne pas savoir comment m'y prendre avec les épines venimeuses. J'ai vu quelques vidéos où des plongeurs bouteilles autorisés à les chasser les mettent dans un tube de pvc ou dans un bidon coupé puis s'en occupe au calme, une fois rentré à la maison en coupant simplement les épines venimeuses puisque si j'ai bien compris, une fois les épines virées il n'y a pas de problème avec des glandes à venin ou je ne sais quoi d'autre et ensuite la préparation se fait comme n'importe quel autre poisson. Je me demandais donc : est ce que vous les chassés? Si oui, est ce que vous avez un récipient où vous les mettez pour vous en occuper au calme à la maison ou est ce que vous virez les épines dans l'eau, vous videz et écaillez et vous les accrochez ensuite avec les copains sur l'attache poisson? Bonne journées et bonnes palmes à tous,

@dom85 sacré bestioles. J'imagine difficilement ce que ça peut donner que d'avoir un truc pareil au bout du fusil

Ici en Guadeloupe, il n'est pas rare d'en croiser près du bord. Je suis tout débutant et je ne chasse jamais dans plus de 10m d'eau et il m'est arrivé d'en croisé (plutôt même dans moins de m d'eau). Pas d'aussi gros que ce que tu décris, mais de beaux bébés quand même. Clairement moi non plus ceux que j'ai croisé n'avaient pas grand chose à faire de ma présence. On ne le mange pas ici à cause de la ciguatera (enfin pas officiellement mais certains le mangent quand même parait-il). La majorité de ceux qui se baladent près des plages restent surement tranquilles envers nous mais de temps en temps certains viennent croquer un humain (ça a été le cas en Juillet ici : Alerte après deux attaques de barracuda sur une plage en Guadeloupe - Le Parisien) et ils semblent que quand ça mord, ça ne fait pas semblant (voir l'article). ça a un peu la réputation de la pie : ça vole en bon opportuniste (les pêcheurs disent que sur certains sites il est difficile de remonter un thon sans qu'un morceau ait été prélevé) et ça aime ce qui brille.

peut être que c'était des queutards : toujours les premiers à raidir 🙂

@viteric : Depuis 1991. ça me semble un peu jeune 🙂 En tout cas si à l'occase tu cherches un boulet pour une sortie (je peux faire gueuse!), je serai ravi de t'accompagner ! @Ouzio : je parlais de la raideur avant la glacière. La glacière est dans la voiture et le poisson est déjà en partie raide quand je sors de l'eau. Le froid de la glacière, c'est de pain en plastique bleu là tu sais, ce que j'appelle par le terme très technique de "pain à la con" (et en général le temps que je plonge il ne sont déjà plus aussi froid que quand ils sont sortis du congélo au moment de prendre la voiture à l'aller mais je me dis que c'est toujours mieux que rien). Content d'avoir appris ce terme "bailler" en tout cas. Je savais que sur les gros navires-usines ils congelaient immédiatement mais je ne savais pas qu'il y avait une étape avant. C'est intéressant, merci.

@ume tarei : conservation dans l'eau @veteric = pas encore mangée, elle est dans le congelo (j'ai rarement envie de manger ce que je prends, j'avoue, je ne suis pas très poisson 🙃). T'y connais peut être rien en rigidité cadavérique mais en tout cas en chasse et en mangeage du fruit de ta chasse t'as l'air d'avoir de l'expérience donc je retiens le conseil 🙂

Bonjour, Ce qui m'étonnais n'était pas tellement le fait qu'un cadavre raidisse (je suis médecin), mais le fait que cela arrive si vite. Je me demandais donc si, pour vous aussi, cela arrive aussi vite. Je ne m'y attendais pas avant de me mettre à chasser. Je m'attendais à ce que ce doit notable pour un poisson ayant passé une demie journée avant d'être mis au frais mais pas 2h. Chez l'humain, il est rare que la rigidité arrive avant au moins 2h de temps (ceci dit, y'a + de masse musculaire, on ne s'en rend donc surement pas vraiment compte avant). D'un point de vue physiologique, j'ai du mal à voir le lien direct entre ikejime et rigidité cadavérique. Je ne doute pas du tout du fait qu'un poisson achevé ainsi soit plus tendre et plus goûtu mais j'imagine que ça passe par d'autres phénomènes (le phénomène ci dessous n'est surement pas le seul impliqué dans le fait que notre palais trouve ou pas une chair tendre). Chez l'humain, la rigidité cadavérique est due a une accumulation de calcium dans les cellules musculaires parce que l'éliminer demanderai de l'énergie et qu'Il n'y a plus l'énergie nécessaire puisque plus de respiration et d'oxygène. Grosso modo, et du peu que j'en connais (c'est à dire pas des masses), le métabolisme d'un poisson fonctionne pareil avec des branchies à la place des poumons mais aussi un cycle de krebs, de l'atp, tout ça tout ça. Donc je ne vois pas en quoi couper la transmission de l'influx nerveux entre moëlle épinière et muscles permettrait d'éviter que le calcium s'accumule dans les cellules musculaires. Par contre, le fait qu'il y ait des convulsions avant la mort ou ce genre de choses doit changer un peu la donne (en tout cas ça la change chez l'homme). En tout cas, pour en revenir à ma question de départ : vous aussi ça va aussi vite? (hier j'ai ramené une sole qui a mon avis faisait au grand max 1kg. Il y a du y avoir environ 2h entre sa mort et la sortie de l'eau et il était déjà bien raide même si je n'aurai pas pu faire un ping pong avec!)

Salut à tous, Si je fais une session de 2 ou 3h ici en Guadeloupe, quand je sors de l'eau, les premiers poissons pris de la session ont déjà bien commencé à raidir. J'ai beau avoir une glacière avec des pains qui vont bien dès la sortie de l'eau, je trouve ça moyen. Est ce que ça a un rapport avec la température de l'eau? Est ce que je fais mal les choses et ne saigne pas comme il faudrait? Ou est ce que c'est tout à fait habituel et peu important?

et bien! que de réponses! y'a de la vie ici! @Jäger, anbadlola ne fait plus de sortie chasse et karukera en fait très peu (j'ai fait une sortie apnée avec eux, ils ont un peu éludé cette question et je refait une sortie apnée avec eux cette aprem). Pour le lestage, je n'ai vraiment pas l'impression d'être trop plombé, à 5m poumons pleins c'est certain, je ne peux pas tenir sans palmer sans remonter comme un bouchon. Je préfère même, dans ma situation me dire que je ne suis pas assez lesté plutôt que trop. Je ferai des tests et j'affinerai petit à petit. Pour la bouée, pour le moment elle est montée avec un poids et un enrouleur (de mauvaise qualité puisque je n'en ai pas trouvé d'autre qu'un truc un peu pourri chez décath. Intersport n'en a pas et nitrogen est fermé pour plusieurs semaines). A l'occase je changerai le bout pour un bout de meilleure qualité que celui là. Peut être que je mettrais un vieux sandow au passage mais comme le dit Jäger, ce n'est surement pas indispensable ici. @subsniper Oui, il y en a, et alors? J'ai passé le N4 en 2005, à l'époque j'habitais Brest à l'époque et le club plongeait toute l'année, et non, je n'avais pas eu l'occasion particulièrement de ne pas avoir de tuba du tout. Pour autant ça m'est arrivé de nager sans tuba et ça se fait bien. Mais entre nager PMT et chasser ce n'est pas la même chose. Ensuite, je suis parti de Brest et je n'étais pas proche de la mer. Moins d'expériences, j'ai tout sauf passé mes années dans l'eau. Dans tous les cas, je n'ai jamais de certitudes (et j'ai du mal quand mon interlocuteur en a) et encore moins sans avoir essayé. Je me doutais évidemment bien que ce ne serait pas confortable, là, c'était plus qu'inconfortable. Je le sais désormais et je l'ai éprouvé. La mer n'était pas démontée et clairement la prochaine fois, oui, j'avalerai la frustration de devoir rebrousser chemin, mais je saurai pourquoi.

Salut, Merci pour ces conseils et idées. ça me sera utile. Pas con du tout le système du couteau que tu montres ptitbras. Pour le lien entre ceinture et baudrier, j'essaierai. Il ne me reste plus qu'à trouver une boule que je puisse mettre facilement (je n'ai aucun outil ici donc je ne peux pas percer une balle de golf et pour le moment je ne me vois pas acheter une perceuse juste pour ça) Ch'ti max, non, je n'enroulais pas et déroulais à chaque descente. En gros, je règlais le frein du moulinet pour qu'il ne déroule pas tout seul mais que quand besoin il se déroule quand ça tire dessus à la descente mais que quand je suis en surface la bouée me suive sans dérouler si je bouge. En gros, je faisais mes premières descentes entre 3 et 5 m, puis me trimballais pour ensuite chasser entre 5 et 8-10m. Je ne le renroulais qu'une seule fois à la fin de la session du jour. C'est dimanche donc impossible de trouver un enrouleur (d'ailleurs il me faudra pour ça faire une heure de route) mais j'ai voulu essayer un peu le poids. ça change les choses et il faut une vigilance à où se trouve sa bouée mais sinon c'est agréable je trouve un fil de moins. Au final je pense que je tiendrais le plomb à la main si je veux le bouger plutôt qu'a la ceinture.

Bonjour, Après une tentative de sortie calamiteuse hier, je me dis qu'il est temps de tirer des enseignements et de revoir sérieusement mon matériel pour plus de sécurité. Je redis que je suis très très débutant en CSM mais que je plonge bouteille depuis plus de 20 ans (dans différentes conditions, Bretagne l'hiver y compris). Il y a surement plein d'erreurs dans ce que je fais donc n'hésitez pas à les relever si c'est constructif, je prends. C'est même le but de ce post. La sortie d'hier = voiture en panne, je me déplace en moto, pour trimballer la planche (une petite planche rouge immersion que je ne dégonfle pas" et tout le reste du bordel, c'est sport. Je râle, mais je fais. Je suis en Guadeloupe. J'arrive sur le site à une 30aine de km de chez moi. oh merde, j'ai oublié de récupérer dans l'autre sac à dos mon masque et mon tuba. Roo non, je me suis pas fait chier avec tout ça pour rien... Bon, j'ai un 2ème masque dans le sac, c'est pas un masque de chasse mais un gros masque de plongée, ça ira me dis-je. Je sens bien que sans tuba ce sera moins confort, mais bon ... je me dis que c'est l'occasion de tester et de voir dans quelle mesure ce truc est indispensable. Evidemment, je n'ai pas regardé la météo avant de partir. Je me suis dit bouarf, il y a une tempête qui est passée il y a 3 jours, maintenant vient le calme... Hum, ça souffle quand même, c'est pas le déluge mais j'ai encore jamais plongé dans ces conditions ici. Un courant qui se fait sentir et des petits creux entre 0.5m et 1m. La visi, elle aussi est moins bonne que d'habitude (mais on est pas non plus en carrière, je dirais qu'on voit clairement à 3m, peut être plus) Bon, aller, prenons la planche. Je vais sur une petite pointe côtière à un truc comme 500 à 800m de la plage. Bon, un peu de palme, tiens, je me dis qu'au retour je serai contre courant, enfin, en travers. Ce sera plus dur en tout cas, je note. Arriver à ma pointe, je constate effectivement que la visi est bien moins bonne que d'habitude. Je constate aussi que ce p... de masque fait de la buée et que je dois le rincer toutes les 2 minutes. Je vois aussi très vite qu'en fait, même en s'appuyant sur la bouée, sans tuba c'est super chiant, surtout quand ça bouge. Je fais 3-4 descente avant de me rendre compte que c'est juste chiant et que je ne prend aucun plaisir. Je me dis que je vais être un peu plus sage que jusqu'ici et vais gentiment retourner me poser sur la plage. Mon montage de bouée n'est pas idéal (voir ci dessous), je me le suis déjà dit mais là, je constate qu'il est juste super chiant : le moulinet se bloque lors d'une descente, ça me l'a déjà fait et toujours lors des descentes donc pas de risque vital mais là, il semble coincé de chez coincé. En fait, le bout flottant est passé derrière un des disques du moulinet, a fait un ou 2 tours et est venu se coincer derrière le gros support métal du moulinet. Bon, je me pose sur la bouée, je regarde un peu cette merde, je galère. Au bout d'un moment je me dis que je n'y arriverai pas avec mes doigts et que je vais utiliser mon couteau. Un petit coup d'oeil à la côte, oui, je dérive mais rien de fou non plus. Je prends mon couteau et là, tient, oh, mais le petit élastique censé tenir cette m... https://www.nootica.fr/media/catalog/product/cache/7a20e542b0f1da51663438cc2b23d02d/m/i/ministil.jpg n'est plus là, bon, je verrais à terre... J'essaie de farfouiller un peu le fil et le moulinet (toujours sans tuba pour plus de confort) et puis j'abandonne, j'ai libéré un bout de fil mais toujours pas le tout. Bref, je me dit qu'il est sacrément temps de rentrer et qu'il y a suffisamment de signes qui me disent que c'est pas le jour et que je fais de la merde. Finalement, j'avais quand même pas mal dérivé (j'avais doublé la distance), le retour avec mon joli couteau en main était effectivement bien plus dur que l'aller, mais vu les distances ça restait très raisonnable et je suis revenu sans difficulté. matériel et questions : La bouée: J'ai parcouru différent sujet ici et d'abord les choses ne sont pas claires pour moi, et ensuite je crois comprendre que c'est comme les caleçons, chacun préfère le sien et l'adapte à son usage! Concernant mon usage : vous l'aurez compris, je ne chasse pas dans le bleu à 30m. Je chasse à trou ou à l'indienne (quoique, si je suis honnête, je me suis plusieurs fois dit que ce que je pratique pourrait peut plutôt s'appeler "à l'ouzbek" ...) dans 3 à 8m d'eau. Concernant ma compréhension des termes dans les discussions, je crois comprendre que floatline c'est un fil flottant et bungee la même chose en version élastique genre fil de tendeur pour amortir les a-coup. Si j'ai bien compris aussi, la plupart disent qu'il n'est pas sécure d'avoir la bouée accrochée à soi pour des raisons de sécurité : si je comprends bien, bout qui à la descente se prendrait dans un truc et empêcherait de remonter. J'avais acheté ma planche gonflable sur le bon coin et le type qui me l'avait vendue me l'avait filée avec un bout enroulée sur un gros moulinet en métal, lui même muni d'un gros moulinet métal avec un mousqueton : https://files.fm/f/hyr49zpahj J'ai dans un premier temps accroché ce mousqueton à ma montre pendant quelques sorties. C'était plutôt pratique mais une fois que l'attache de la montre s'est arraché, j'ai choisi de l'accrocher sur une des boucles du bouclier. Moins pratique parce que je devais décrocheter le mousqueton pour prendre le moulinet en main et le rembobiner lorsque je voulais ramener ma bouée à moi. Quoiqu'il en soit, je suis désormais convaincu que cette idée de moulinet n'est pas bonne et puisque le fil s'est coincé plusieurs fois. Je vais acheter un enrouleur "classique" et ce sera très bien. Si j'ai bien compris, un des montages les plus classique c'est enrouleur, un mousqueton à chaque extrémité et un plomb de 1kg ou une ancre côté fond. On trimballe son affaire quand on va sur site et arrivé sur site on met son plomb ou son ancre une fois pour toute et on chasse dans les environs. Donc dans cette configuration, aucun lien entre la bouée et le chasseur. Sécu car moins de fils donc moins de risque de s'accrocher, mais si je prends mes conditions d'hier, je suis quasiment sûr que je me serai pas mal éloigné de ma bouée en dérivant. Peut être me direz vous qu'il faut prendre l'habitude de regarder systématiquement où est sa bouée avant chaque coulée (après, ça limite mais on peut quand même la paumer j'imagine). Je ne vois pas d'autre montage qui permettrait sécu et d'avoir un lien avec la bouée (si je rajoute ou nylon entre le bonhomme et le bout de la bouée genre "ligne de vie" je rajoute un fil et je me retrouve avec le même problème que la bouée liée au plongeur, en pire...) Au final, ais je bien compris et me conseillez vous ce montage bouée/mousqueton/floatline/mousqueton/plomb sans lien bouée/chasseur? Pour le lestage: Je plonge en maillot de bain + un lycra, je plonge toujours du bord, seul car ne connait personne donc je me fixe comme limite de ne pas aller à plus de 8m. Par contre, forcément, même peu habillé, mon respectable 118kg pour 1,73m m'oblige a trimballer 7kg sur un baudrier sinon ça me défonce trop le dos. En fait, je mets 2 sur la ceinture accrochée par le petit bout de fil élastique genre bungee du baudrier que j'ai doublé avec un mousqueton/sangle + 5kg dans le baudrier : pour être clair, je suis loin d'être sûr que je pourrais larguer ça si besoin mais je ne me vois pas mettre une ceinture + le baudrier avec ceinture (sinon il descend vers mes épaules/nuque quand je descend), donc 2 ceintures. Qu'en pensez vous? Je ne sais pas pourquoi non plus, autant je n'ai aucun mal à rester horizontal en surface habituellement, autant équipé je n'y arrive pas. J'ai plutôt les palmes qui ont tendance à plonger et le buste à remonter. Poumons plein ça va, mais poumons vides je galère et évidemment je n'ai pas envie de respirer superficiellement. Le "réceptacle" à poisson : J'utilise actuellement un filet que j'accroche à la planche. J'avais avant un accroche poisson métal mais je l'ai perdu. Habituellement, quand je ne suis pas en moto, aussitôt arrivé à la voiture je mets le poisson dans une glacière. En général, le matériel reste dans ma voiture. J'ai beau rincé et parfois laver le filet, ça embaume gentiment ma voiture. J'imagine que l'accroche poisson garderait moins cette odeur, mais sinon, vous faites comment pour que ça sente moins le poisson dans votre bagnole ? Le tuba: Par simple curiosité, d'autres ont déjà essayé le no-tuba? Perso je suis convaincu que je ne replongerai plus jamais sans. Je suis con, mais j'ai mes limites. Bonne journée à tous,

lui même! Avec les yeux dans les coins!

oui les noms vernaculaires peuvent prêter à confusion puisqu'un même nom désigne souvent deux choses différentes en fonction du lieu ou on est. J'ai été surpris en arrivant ici qu'on appelle le poisson perroquet "chat". Là où j'ai grandi, un poisson chat c'est un truc d'eau douce très proche du silure et on l'appelle comme ça à cause des "moustaches". Je me demande bien d'ailleurs pourquoi "chat" pour le perroquet? En tout cas, vernaculaire ou pas, si on en croit les enfants, le meilleur c'est le poisson pané ! Bonne journée à tous

oh! d'autres réponses sur la carangue le temps que je poste le message! Sinon le bouquin raconte qu'elles se ressemblent beaucoup mais que "la couleur jaune est plus dominante en particulier sur les nageoires. Qqs reflets bleus brillants possibles le long du dos sur C. bartholomei mais pas une franche bande bleue." Et en cas de doute ils comptent les branchiospines et les rayons dorsaux ("25 à 30 sur la branche inférieur du premier arc chez C.ruber" et pas de point noir sur l'opercule et 25 à 28 rayons dorsaux souples chez C.bartholomei". Autant dire que sur un poisson dont on a martyrisé les branchies et congelé...

Salut. Merci pour vos réponses. L'idée pour moi n'était pas tellement de craindre une mort subite, je me doute bien qu'avec la masse des prises, si toxines il y a, il n'y en aura pas une grande quantité (ceci dit, à ce que je sache, je ne crois pas qu'on ait suffisament de données pour avoir une idée claire de ce que peut donner au long court l'ingestion régulières de petites quantité de cigatoxines donc après ... chacun fait comme il le sent...). L'idée est surtout de savoir ce que je chasse et si possible d'éviter dans le futur de tirer sur des trucs qui ne se mangent pas (ou qui sont dégueus). Par contre, je crois que ça passera inévitablement par une période de "je tire, j'identifie hors de l'eau et après je vois ( sans déconner, ils font pas d'effort pour survivre les mecs, ils auraient un tampon avec le nutriscore au milieu du dos, ce serait quand même vachement plus pratique!). Bref, j'ai envie d'apprendre et comprendre tout simplement. Pour la carangue, je pense que tu as raison Swagloupe : j'ai pas été chercher les détails de la clé d'identification du bouquin dont je me sers et ce n'est pas facile une fois écaillé, mais si j'en crois ce qu'il raconte sur le milieu de vie : carangue franche = C. Ruber = "0-18m, passe vivement en pleine eau près des plongeurs" et carangue jaune = C.bartolomaei = "0.40m, peu commune, vit en profondeur et en dehors des récifs littoraux", je me dis que ça a quand même beaucoup plus de chance d'être une carangue franche vu où je l'ai choppée 😅 Bonne journée à tous