gobie2000

D'après la dernière page à lire sur ce forum: https://scubaboard.com/community/threads/oceanic-geo-o-ring-size-durometer.389588/page-3 The correct O-ring specification for the Oceanic Geo, Geo2, Atom2 and Aeris Epic, Aeris Manta, F10, and F11, etc. is 1.2mmx27.5mm, durometer 70. => diam interne 27.5mm , diam section 1.2mmm, dureté 70 (Nitrile / NBR) PS: je n'ai pas cet ordi

Je les pose sur la bouée en déplacement, sinon c'est trop chiant. En plus il y avait un peu de jus à remonter par endroits... un coup à faire marche arrière si on laisse tremper le filet. J'ai été faire un tour à la haute tout à l'heure voir la baie. ça semblait cristallin malgré un petit clapot. ça devrait être chassable sans trop de souci.

C'est 'en haut' que l'on est le plus frileux. Une recette que marche bien et qui permet d'économiser du plomb: 5mm pour le pantalon et 7mm pour la veste.

Sorti hier aussi, j'ai fait quasiment la même pêche que toi, un seul homard pour moi 😉 J'ai aussi prélevé 4 araignées, il y en avait des grosses d'1,5kg et plus. Le mulet c'est pour faire en gravlax. J'étais sur le secteur Penvénan. Même constat sinon, visi un peu laiteuse et zéro bar vu...

😉 Pour l'étanchéité il faut bien vérifier que tout est propre avant de revisser. Changer le joint en cas de doute. Et mettre un peu de graisse silicone. Et comme les kits d'entretien ne se trouvent plus: Voici les dimensions des joints (anciens modèle, type Pyle): 25x0.7mm Nouveau modèle (je connais pas, Omer MK1 peut-être?): 26.8 x 0.7mm Voir les dessins ci-dessus pour voir quel type de joint choisir. Pour la Pyle, c'est sûr, c'est le plus petit : 25x0.7). C'est sympa 😉 J'ai oublié de préciser plus haut, bien sûr, si cela ne marche pas chez vous, je ne suis pas responsable 😇 ... et pour info, pas de souci de mon côté après 2 sorties de quelques heures et plus de 200 descentes.

Je vous présente une petite amélioration pour la montre Omer Mistral (et probablement valable pour les Sporasub SP1, je ne connais pas toute la gamme et ses dérivés.) Cette montre plutôt bas de gamme est pas mal. C’est une amélioration de la Pyle : Elle a le double de mémoire et un mode de fonctionnement en mer légèrement différent. Son gros défaut, je trouve, c’est une économie ‘à deux balles’ réalisée par Omer sur la face arrière de la montre : Il n’y a pas de couvercle à vis + joint torique. Cela oblige, lorsque l’on veut changer la pile, à démonter toute la face arrière en retirant les 4 vis dans les coins… Je n’aime pas du tout. Et ce n’est pas un truc qu’on peut faire au cul de la voiture quand on veut changer la pile rapidement ou la « rebooter » en retirant/remettant la pile…. Sans compter le risque de perdre une des 4 petites vis…. Heureusement, si vous avez une Omer Mistral et une montre Pyle donneuse (ça marche peut-être avec une donneuse Omer MK1 ), vous pouvez monter la face arrière de la Pyle sur la Omer. En effet, ces 2 cousines, bien qu’ayant un aspect différent, sont très proches, comme issues du même moule… La seule chose que j’ai dû faire est d’agrandir légèrement les 4 trous de la plaque Pyle pour passer les vis légèrement plus grosses de la Omer. Très facile à faire. Des allers retours avec un foret de 1.5 font l’affaire (Idéalement, il faudrait probablement un foret de 1.75 que je n’avais pas. Surtout pas du 2mm, trop gros !). Au passage j’ai mis un joint torique neuf que j’avais en stock (+ graisse silicone of course). Et maintenant, si je veux changer la pile, j’ai juste besoin d’une pièce de monnaie… Etanchéité validée en mer aujourd’hui. RAS. L'ancienne face arrière à gauche et la montre "améliorée". Changer la pile est maintenant un jeu d'enfant...

Oui, pour la fin de l'extraction de sable c'est cool. Et c'est vraiment l'essentiel. Mais les gueguerres, scissions, skuds en meetings ou par articles interposés entre associations c'est triste et ça ne rend pas service à la cause, ça fragilise, ridiculise. Tant mieux que cela se termine.

Merci. J'utilise 2 caméras que je monte l'une après l'autre pour couvrir toute la durée de la sortie : - Une Akaso Brave 7 LE - Une Akaso V50 X Elles permettent toutes les deux de filmer avec un angle réduit, 70°. La V50 X a un rapport qualité/prix imbattable : on la trouve souvent autour des 100€.

Une vidéo pour l'ambiance de ce dimanche. A voir en 4K si vous pouvez.

Salut Pierig, Félicitations pour ces homards! 👍👍 De mon côté, c'est ma troisiéme sortie depuis qu'on s'est vu. ... la deuxième où je vois du bar et la première sortie de l'année où j'en prélève un. La saison commence tard pour moi également. Il ne devait pas y avoir de houle ce dimanche (d'après MARC Ifremer). La mer semblait plate mais il y avait une houle longue sur la pointe qui faisait faire l'ascenseur. ... et au fond ça bougeait bien aussi : Les laminaires à fond d'un côté puis de l'autre... Bref, pas terrible si on a l'oreille interne sensible... J'ai fait presque 3 heures là dedans donc au premier bar pris, je suis rentré...

Sortie à la basse ce jour en Baie de Lannion, sur la pointe d'un plateau rocheux. La houle était bien présente (à vider un paquet de Mercalm 😁). Heureusement qu'une bonne visi aidait à garder les repères. Les bars étaient là, plutôt en petits groupes dans les zones à l'abri de la houle entre les rochers. J'en ai tiré un sur une indienne en prenant le temps de sélectionner un bien maillé. Je ne me suis pas attardé pour tenter un deuxième... La houle commençait à me fatiguer.

Je pense au contraire qu'une flèche RA a tout son intérêt en Bretagne. Un exemple courant : Lorsque l'on cherche le bar qui se balade sous les laminaires et que l'on rate un tir, ou si l'on traverse le poisson dans une partie tendre, la flèche finit dans le rocher. Avec une flèche inox, avec de bons sandows et un bon coef, c'est souvent synonyme de fin de sortie (flèche pliée au niveau du trou de l’ardillon) si on n'a pas de rechange sur la bouée ou le bateau. Personnellement, je chasse souvent à la renverse de descendante. Au début, je chasse à l'indienne le bar qui pionce ou cherche des crabes, au dessus ou au dessous des laminaires. A ce moment, je suis souvent positionné au-dessus du poisson donc la flèche est dirigée vers la roche. J'utilise pour cela un fusil de 85 avec une flèche RA qui ne se pliera pas et aura de bonnes chances de ne pas trop s'émousser en cas de tir non ralenti par la tête du poisson. A la montante, je passe ensuite aux agachons avec un fusil plus long et avec une flèche Hunt. Que je trouve très bien pour la petite alonge supplémentaire qu’elle procure au niveau des sandows. J’évite d’utiliser cette config pour tirer dans les bars sous moi. Au retour de la pêche, je n’ai qu’une flèche sur deux à bichonner avec un peu d’huile.

Rob Allen => + => Basique, solide. Quasiment indestructible. Validée sur du granit breton... Pas trop de bidouilles à faire pour l'utiliser. Sur certaines, je rajoute juste un cone de pénétration pour faciliter la pénétration de l'ardillon RA (épais). - => Pas d'ergot intermédiaire de chargement (peut-être un '+' pour la solidité de l'ensemble). Rinçage et huilage obligatoire après la sortie. Mais j'ai l'impression que les dernières que j'ai ont moins tendance à rouiller. Omer America Inox: + => Flèches bien finies. Pas de soucis depuis qu'ils soudent les ergots au lieu de les coller (!!!). - => Inox, donc plus fragiles (chez moi, elles finissent pliées au niveau du trou de l'ardillon sur un tir dans une roche). Hunt : + => Plutôt solides pour de l'inox. Quelques tirs dans la roche, et pas de flèche tordue au niveau de l'ardillon malgré une flèche plus fine (méplat) à ce niveau pour que l'ardillon s'efface. Un dernier ergot très proche du talon. Permet de gagner un peu d'étirement sur les sandows. - => Evidemment plus fragiles que le spring steel mais je n'en ai pas encore plié une pour le moment... Omer America Spring steel: + => Rien. - => J'en ai eu deux: Mal finies, ergots pas alignés, ardillon monté à l'arache (même si je les change en général, là c'est vraiment à chier d'origine). Pointe tricut foireuse : les facettes sont mal centrées, les trois facettes sont toutes de formes différentes, donc si on ne reprend pas ça, la flèche n'ira pas droit. Rien à voir avec la qualité d'une RA ou d'une ORCA. => A EVITER!

C'est vrai que ça fait télétubbies

👍 Oui, donc en fin de compte, cela équivaudrait à un montage similaire au mien : la sonde serait immergée dans de la graisse, et le Sika serait utilisé pour coller le réceptacle en mousse (à la place du ruban adhésif double face dans mon cas). Il est essentiel de veiller attentivement à ce que la graisse ne s'échappe pas, et à éviter la formation de bulles d'air entre l'ensemble SONDE->FOND DU KAYAK (->EAU).

Probablement que le Sika est suffisant. De ce dont je me souviens, certains faisaient comme toi, avec du Sika seulement, mais sans graisse. Peut-être devrais-tu essayer : uniquement du Sika, sans graisse dans un premier temps, puis tu verras si tu dois "combler" avec de la graisse. À l'époque, j'avais opté pour la solution de la "graisse" seule en raison de sa réversibilité qui me semblait plus facile par rapport au Sika (ou colle pare-brise). Dans mon cas, il s'agit d'une sonde tableau arrière, d'un vieux Eagle Cuda, et je n'ai constaté aucun problème. Les constructeurs indiquent clairement de ne pas faire fonctionner la sonde hors de l'eau. Cependant, à l'époque où je me suis renseigné avant d'aboutir à mon montage, je n'avais pas trouvé de cas de problème de surchauffe. Au pire, les kayakistes constataient un mauvais fonctionnement dû à des bulles d'air. Mon intuition est qu'une sonde qui baigne dans de la graisse ou dans du sika (tu comprendras que je n'ai pas testé ce dernier choix), se comporte un peu comme une sonde dans l'eau. Mais bon, je ne suis pas spécialiste. Tout ce que je peux te garantir, c'est que mon installation est en place et fonctionne depuis plus de douze ans.

Dans mon kayak, un vieux Scupper Pro, j'ai installé ma sonde en la positionnant au fond dans un bloc de mousse, semblable au tien, pour la maintenir en place. Ce bloc de mousse est fixé avec du ruban adhésif double face pour assurer l'étanchéité. Il est sculpté à l'intérieur pour épouser la forme de la sonde, créant ainsi un réceptacle dont le fond est le fond du kayak. Ce réceptacle est ensuite rempli de graisse marine, où la sonde est ensuite placée. Un couvercle en mousse est placé au-dessus pour refermer le tout et presser la sonde contre le fond. Le tout reste solidement en place au fond grâce à un bloc de polystyrène positionné entre le pont et le bloc de mousse au fond du kayak. Sur la photo, tu peux voir le bloc de mousse dure en noir. La sonde est à l'intérieur, immergée dans de la graisse marine. Ce que tu observes au-dessus, enveloppé dans un sac plastique (pour éviter les débris), c'est le bloc de polystyrène qui maintient l'ensemble en place vers le bas. Cette configuration est en place depuis plus de douze ans, et chaque année, lorsque je remets mon kayak à l'eau, je suis heureux de constater que tout fonctionne parfaitement. L'élément crucial, d'après les souvenirs de mes recherches sur le sujet, est d'éviter la formation de bulles d'air. Le sondeur fonctionne remarquablement bien, il suffit simplement d'ignorer la température de l'eau qui reflète plutôt celle du kayak... Si un jour je devais refaire cela en 2024, je concevrais un boîtier plastique sur mesure grâce à l'impression 3D, que je ferais adhérerer au fond avec une colle que je ne connaissais pas à l'époque : la West System G/Flex 655-K. C'est une super colle pour le polyéthylène. ... et je remplierai ce boitier de graisse marine.

Oui... déjà rien qu'à pieds 🥵... Je suis en train de mettre au point une ceinture 'de plombs' révolutionnaire, sans plombs: remplacés par des bouteilles que je remplis d'eau en arrivant à l'eau et que je vide avant de remonter la plage...

Merci pour ces belles images.

Merci à vous 😊

Belles pêches!!! 👍

Merci pour vos commentaires sympas. 🙂 Les montages vidéo en hiver ça aide à patienter en attendant le retour des beaux jours et des balades aquatiques (on est pas mal à attendre ça.... 😉). Merci MAJCAAM, si tu viens dans le coin, il faudra mettre sûrement quelques mm en plus d'épaisseur de combi 😉. Mais tu connais bien le Trégor apparemment. Je suis sûr qu'ici tu ferais de belles chasses avec les techniques que tu nous montres régulièrement dans tes vidéos du Sénégal. Je pense aux gros lieus que l'on trouve - encore - sur 20 mètres et plus et pourquoi pas les gros thons rouges bretons… … et plus modestement, à quelques coups de palmes du bord on est déjà dans un monde passionnant et permettant de faire de belles rencontres.

Merci pour vos retours 😉 Ma femme m'a convaincu que ces animaux sont trop intelligents pour être mangés. Mes 'paëllas bretonnes' s'en passent depuis quelques années. Avec quelques autres bestioles, elles ont décroché leur diplôme de survie dans ma cuisine, et je me contente de les admirer... 😉 C'est clair. Celle-ci nageait dans le courant de marée montante probablement pour rejoindre rapidement une zone de sable un peu plus loin, où elle pourrait se nourrir à la haute. Un coin où il y a des résurgences d'eau douce, endroit propice aux vers et autres bestioles que ces poissons plats apprécient.

Merci à vous 😉 Si, si, il y en a. Je connais quelques endroits bien précis où j'ai de bonnes chances d'en croiser. On a quelques zones 'nurseries' également, avec des petits groupes de juvénils... donc ils sont présents. ... Cependant, à ma connaissance, le Trégor n'est pas un haut lieu de la pêche aux sars, comparé au Finistère sud par exemple. Quand j'en croise c'est en général par hasard, en cherchant plutôt le bar ou la royale. Mais cela demanderait de s'y coller sérieusement et d'aller les chercher. Une idée pour la saison prochaine 😉

Merci pour vos commentaires. Ca fait plaisir 😊