dgm22

Je suis conscient que je ne pourrais être sur que mon problème est définitivement réglé que lors de mes plongées test de mi-novembre. Mais de toutes façons, je n'avais pas le choix. Mais je suis optimiste étant donné l'aspect "mécanique" de mon problème. Un des mes amis était très exactement dans le même cas et n'a plus aucun souci de compensation depuis son opération. Je ne suis pas comme toi sujet aux infections à répétition. J'espère que tu trouveras rapidement le traitement adéquat. :) Quant aux crèches, avec des enfants de 25 et 26 ans, je suis à l'abri... :rolleyes:

C'est parce que mon esprit pratique voyait une solution à ce problème. :papy: Pour moi, les sinus sont un ensemble de cavités reliées par des canaux dans lesquels l'air passe. Mais certaines cloisons sont trop développées (concha bulosa dans mon cas) et des canaux trop étroits. Ces derniers sont tapissés d'une muqueuse qui, au fur et à mesure des apnées, au contact de l'eau salée et du froid, se congestionne et gonfle refermant ainsi le faible couloir permettant la compensation. La solution consistait donc à dégager ces obstacles. Je concède que cette approche de la médecine est très basique et s'apparente plus à de la plomberie... :P Mais c'est avec une mini foreuse que le chirurgien a "déblayé" tous ces obstacles. On comprend mieux sur ce dessin et avec l'explication reprise sur un site médical : [/url]">http:// "Une éthmoïdectomie retire des sinus éthmoïdaux les os et tissus infectés qui empêchent le drainage naturel. Le chirurgien visualise vos sinus éthmoïdaux avec un endoscope, qui est un tube fin et flexible muni d'une très petite caméra et d'un dispositif lumineux à son extrémité. Un autre instrument spécial, appelé microdébrideur, comporte un minuscule embout rotatif courbe qui aide le chirurgien à placer l'instrument là où il le faut. Le microdébrideur et la caméra aident le chirurgien à identifier et à retirer les tissus infectés avec précision, sans léser les tissus sains." Quant à la suite Jean Marc, je verrai cela dans un mois et demi. ;) Une chose est certaine. Si je n'avais rien fait, la chasse sous-marine, c'était terminé pour moi... :'(

:D Plus sérieusement, je tire déjà un enseignement de cette expérience. Je suis pénalisé par ce problème de sinus depuis 2008 (j'ai retrouvé des radios faites à l'époque). J'ai alors consulté un ORL de St Brieuc qui m'a prescrit des corticoïdes nasaux classiques, ce qu'aurait pu faire n'importe quel généraliste. Je l'ai consulté trois fois sur ces sept années et ce n'est que devant mon insistance à vouloir régler mon problème qu'il m'a prescrit un scanner l'année dernière. Lorsque je lui ai présenté le scanner avec les photos et le DVD, il s'est contenté d'y jeter un oeil rapide sur les photos entre deux rendez-vous à l'accueil de son cabinet avant de me déclarer qu'il ne m'opérerait pas dans cette zone sauf en cas de tumeur. Bref, il ne me restait plus qu'à arrêter la plongée... :wacko: Il faut croire que mon cas ne l'intéressait pas. :huh: Le second ORL de St Brieuc a lui exploré la piste des allergies. Mais les tests effectués chez l'allergologue n'ont rien dépister de probant. Et enfin le Dr Ravary qui, contrairement à son premier confrère, a pris le temps d'étudier mon cas à l'aide du DVD du scanner. Pour cela, il lui a suffi de l'insérer dans son ordinateur... Il a pu ainsi examiner mon crane sous tous les angles avant de m'annoncer que mon problème avait une solution. J'en veux donc au premier médecin ORL qui m'a fait perdre du temps et me condamnait, si je l'avais écouté, à rester sur le sable... :inc_037: Dans le corps médical, il y a des bons et des moins bons. Mais quand ces derniers s'avèrent incompétents, qu'ils aient au moins l'honnêteté de reconnaître leurs limites et de diriger leur patient vers un confrère plus expérimenté. Donc, ne vous contentez pas d'un seul avis médical. B)

Ben, pour l'instant, pas de problème Jean Marc. :) Lavage de nez au Stérimar pour évacuer les petits caillots de sang. Un nez toujours un peu gonflé mais j'ai un visage humain alors que j'avais craint des hématomes. Difficile d'imaginer que je me suis fait opérer 48 heures plus tôt. Pour autant, je suis à la lettre les recommandations du Dr Ravary. Je ne peux m'empêcher de penser à d'autres chasseurs sous-marins passionnés qui ont du arrêter de pratiquer notre sport pour le même problème. :unsure:

J'ai trouvé ce lien http://www.orlpoitiers.fr/ethmoidectomie/ qui permet de mieux comprendre ce qu'est une "ethmoidectomie".

Petit retour de mon opération des sinus frontaux qui s'est bien passé. Admis à la clinique hier à 13H45, et une fois réglé les démarches administratives, on m'a "préparé". Une infirmière est venu me mettre des mèches imbibées de produits anesthésiants vaso-constricteurs dans les narines. Aucune douleur, juste une petite gène. Après une heure d'attente nécessaire à l'action du produit sur les muqueuses de ce secteur de la sphère ORL, le chirurgien, le Dr Ravary est venu me chercher pour l'intervention. Toujours pas stressé, c'est très détendu :) que je me suis installé sur la table d'opération. L'anesthésiste a fait passer dans la perf la dose nécessaire pour m'envoyer aux pays de rêves et... Plus rien... -_- ... Et je me suis retrouvé trois heures plus tard dans la salle de réveil comme si je sortais de ma sieste. :flowers: Là encore, aucune douleur. Pas d'hématome, ni d'oeil au beurre noir. Juste un nez un peu gonflé ce qui est bien normal. Et pourtant, le chirurgien m'a dit avoir "déblayé" ! J'aurais pu sortir le jour même mais, par mesure de précaution, j'ai préféré rester une nuit à la clinique distante de 143 kms de mon domicile. Pour la suite, je suis en arrêt maladie une dizaine de jours jusqu'au rendez-vous post-opératoire. D'ici là, lavages de nez au Stérimar et pulvérisation de fluidifiant pour évacuer les divers déchets, et encore quatre jours sous corticoïdes et antibiotiques. Pas de sport violent durant une semaine et pas de plongée durant un mois et demi. Ensuite... :rolleyes: Voilà. C'est pas la mer à boire pour éliminer un problème qui me gâchait une bonne partie de mes sorties chasse depuis plusieurs années, en particulier cet été. Le plus dur aura été de trouver le bon docteur. :respect: Merci à ceux qui m'ont conseillé sur ce forum et aux copains qui ont pris de mes nouvelles. :thumbs_up:

Merci à toi qui m'a donné les coordonnées de ce chirurgien. :)

Voilà, on y est. :rolleyes: A 13H45, je vais me faire opérer des sinus à Brest, une ethmoidectomie. Je vous tiendrai au courant de l'évolution de cette intervention afin que d'autres chasseurs concernés par le même problème médical puissent profiter d'informations précieuses. B)

On dirait une mourine. La dernière que j'ai vue en Corse était tellement belle dans une couleur verte que je n'ai fait qu'admirer ce superbe poisson.

Mais le noeud Grinner est un noeud coulissant, non ?... :huh: De fait, je ne pense pas qu'il soit adapté pour le talon de la flèche. Comment procèdes-tu ?

J'arrive même à le faire avec du 130 centièmes. Avec du 140, le noeud est trop gros. "Limite en 120" ? Chez toi à Mada, sans aucun doute. Mais en Bretagne, c'est bien suffisant. Je n'ai jamais eu de casse (sauf au talon lorsque ses bords étaient agressifs). Je me souviens d'une conversation avec Loïc Delhommel, au cours d'un stage fédéral à Crozon qui tu connaissais bien. ;) Lui aussi utilisait du 120 centièmes qui freine beaucoup moins la flèche. Et en cas de grosse prise, le moulinet débrayé fait le reste. Après serrage du noeud, je le chauffe un peu au sèche-cheveux pour qu'il garde la forme. B)

Et ça marche aussi avec du fil de pêche 120 centièmes. ;) [/url]">http://http://www.casimages.com/i/150929041039220685.jpg.html'>

Allez ! Une petite dernière, rien que pour les courbes de la danseuse... :wub:

Commence par celles-ci : :rolleyes: Et surtout, la dernière... B)

Dans les banques, ils préfèrent dire OUI !... :rolleyes:

Pas étonnant "qu'il tienne bon le bougre". Le congre une fois tiré, va essayer de de se libérer de la flèche en reculant et en se contorsionnant. Pendant ce court laps de temps, il ne se cale pas dans son trou. Il faut en profiter pour l'en extraire en force dans l'apnée. Sinon, ensuite, le congre va se gonfler au fond de son repaire et il sera généralement beaucoup plus difficile de le sortir. Tout c'est bien passé néanmoins pour toi. Joli premier congre. :thumbs_up:

Signé... Et pour une fois, je suis d'accord avec Martine Aubry... "Macron... RAS LE BOL !!!" :angry:

"En 8,5 mm" en septembre à Etretat ??? :blink: Avec le courant qu'il y a là-bas, tu n'as pas du avoir froid... :D

Oui, mais vous, vous avez les maigres !... Ce n'est pas mal non plus... :rolleyes: Jolie pêche JR ! :thumbs_up:

Cela ne va pas t'aider mais ton sujet me rappelle ma 1ère au lycée et certains cours particulièrement chiants (philosophie, espagnol, etc...). :papy: Je passais le temps en faisant de l'apnée, la montre posée sur le bureau et mes mains jointes devant la bouche pour que les profs ne voient pas mes inspirations profondes... :ph34r: Je faisais facilement 4 minutes à l'époque ce qui m'a beaucoup aidé dans mes débuts de chasse. Moins dans l'obtention de mon bac, je le reconnais, mais je l'ai eu quand même... :P