luc Posté(e) le 21 mars 2020 Partager Posté(e) le 21 mars 2020 Disposant d'un peu de temps ? , je vous propose d'alimenter ce sujet au fil de l'eau afin peut-être d'apporter pêle mêle quelques éléments de réponses à des attentes ou interrogations. Ci joint dans un premier temps deux fichiers regroupant pas mal de fondamentaux et constituant une vision je pense assez exhaustive d'un tronc commun de nos activités. Bien sur, de par votre expérience vous pouvez compléter à loisirs (ce qui est aussi le but car volontairement incomplet). En espérant que le format soit lisible ? Sat ap.pdfMol ap.pdf Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
kees_baloo Posté(e) le 22 mars 2020 Partager Posté(e) le 22 mars 2020 J'arrive pas à lire sur les images, même en ouvrant l'image à part et en zoomant. Et ma tablette ne reconnaît pas le format des fichiers en PJ. Si tu as un autre format ou de grandes images, ce serait volontiers que je les lirais Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
emile Posté(e) le 22 mars 2020 Partager Posté(e) le 22 mars 2020 j'ai essayé d'ouvrir avec openoffice draw mais ca me renvoie une erreur Avec quel filtre on doit l'ouvrir? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
antho35 Posté(e) le 22 mars 2020 Partager Posté(e) le 22 mars 2020 C'est visio de Windows qu'il faut avoir Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
dom85 Posté(e) le 22 mars 2020 Partager Posté(e) le 22 mars 2020 Fectivement c'est pas lisible et moi non plus j'arrive pas à ouvrir les PJ Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
luc Posté(e) le 22 mars 2020 Auteur Partager Posté(e) le 22 mars 2020 ? A la base j'ai créé ces fichiers (avec visio) pour dispenser les formations, soit en taille A0 pour un échange en salle (ils sont lourds) Afin de lire les fichiers joints : Pour tout OS format PDF J'ai corrigé, je les rends un peu plus lisible en format PDF (ajout). Ces deux là sont les plus grand car ils représentent une vue d'ensemble des thèmes concernés du tronc commun de nos activités Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pompom Posté(e) le 22 mars 2020 Partager Posté(e) le 22 mars 2020 en zoomant sur les pdf, c'est lisible. merci. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pompom Posté(e) le 22 mars 2020 Partager Posté(e) le 22 mars 2020 Il y a 2 heures, luc a dit : Ouvrir les Pdf oui, sincerement desolé! , j'ai modifié le commentaire. merci et pardon de l'erreur! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bap33 Posté(e) le 22 mars 2020 Partager Posté(e) le 22 mars 2020 @luc Impressionnant et extraordinaire travail de synthèse !????? Quelques suggestions à proposer pour compléter différentes rubriques : - Thermie : on peut ajouter la radiation. Si on doit en effet attendre dans le bateau en plein soleil, il y a ensuite des risques d'insolation et +... - Console de variable : peut-être que la déshydration pourrait y trouver sa place... Je ne sais pas si c'est bien là, qu'elle aurait le mieux sa place ou ailleurs. Mais elle a sa place qq part. - Respiration : on pourrait compléter avec les muscles intercostaux, qui jouent sur la cage thoracique et les poumons. A moins, que tu aies eu une bonne raison de ne pas les mettre. - Compensation : comme les poumon sur le blocs "respiration", le tympan devrait avoir sa place, mais tu as peut-être une bonne raison également... ? - Outils (peut-être à regrouper avec "moyens matériels" ?) : Pour gagner en lisibilité tu pourrais regrouper sous 2 axes distincts : 1) en fonction du milieu et du type de pratique : Piscine ; planches polystyrène / ventouses... / Milieu naturel : la bouée de surface pour les chasseurs / Bouée de surface pour atelier vertical avec bout, pendeur, et plaquette d'arrêt et longe de sécurité. 2) Selon les moyens individuels et les moyens collectifs. - Moteurs et orientation : peut-être subdiviser en 2 groupes : les muscles d'une part et les membres / articulations d'autre part. Evidemment, ce ne sont que des suggestions : A prendre... ou à laisser. ? Et encore une fois, chapeau ! Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Adwa Posté(e) le 23 mars 2020 Partager Posté(e) le 23 mars 2020 En muscles inspiratoire tu peut en effet ajouter les intercostaux externes, le sterno-cléido-mastoïdien et les muscles scalènes. En expiatoire forcée on fait surtout travailler les abdos et les intercostaux internes. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
luc Posté(e) le 23 mars 2020 Auteur Partager Posté(e) le 23 mars 2020 Il y a 11 heures, pompom a dit : oui, sincerement desolé! , j'ai modifié le commentaire. merci et pardon de l'erreur! Pas de soucis ? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
luc Posté(e) le 23 mars 2020 Auteur Partager Posté(e) le 23 mars 2020 Il y a 12 heures, Bap33 a dit : @luc Impressionnant et extraordinaire travail de synthèse !????? Quelques suggestions à proposer pour compléter différentes rubriques : - Thermie : on peut ajouter la radiation. Si on doit en effet attendre dans le bateau en plein soleil, il y a ensuite des risques d'insolation et +... - Console de variable : peut-être que la déshydration pourrait y trouver sa place... Je ne sais pas si c'est bien là, qu'elle aurait le mieux sa place ou ailleurs. Mais elle a sa place qq part. - Respiration : on pourrait compléter avec les muscles intercostaux, qui jouent sur la cage thoracique et les poumons. A moins, que tu aies eu une bonne raison de ne pas les mettre. - Compensation : comme les poumon sur le blocs "respiration", le tympan devrait avoir sa place, mais tu as peut-être une bonne raison également... ? - Outils (peut-être à regrouper avec "moyens matériels" ?) : Pour gagner en lisibilité tu pourrais regrouper sous 2 axes distincts : 1) en fonction du milieu et du type de pratique : Piscine ; planches polystyrène / ventouses... / Milieu naturel : la bouée de surface pour les chasseurs / Bouée de surface pour atelier vertical avec bout, pendeur, et plaquette d'arrêt et longe de sécurité. 2) Selon les moyens individuels et les moyens collectifs. - Moteurs et orientation : peut-être subdiviser en 2 groupes : les muscles d'une part et les membres / articulations d'autre part. Evidemment, ce ne sont que des suggestions : A prendre... ou à laisser. ? Et encore une fois, chapeau ! Merci Bap33, juste du partage Concernant: Sat. Apnée - la Thermie, celle ci est abordée lors du détail pour le pavé "influences externe" - "Console variable", oui bien vue, la déshydratation est bien dans ce pavé comme nous le verrons dans la phase détaillé des variables Mol.Apnée - "Respiratoire ", oui cool les intercostaux sont bien dans ce pavé comme nous le verrons dans la phase détaillé de la thématique "Muscles" partie "Respiratoire" - "Outil", c'est un pavé distinct. Je comprend que tu exprimes plusieurs notions importantes à juste titre. Pour la compréhension, lorsque j'ai effectué ce travail il y a plusieurs années maintenant, j'ai fait le choix de bien différencier l'individu (Mol. Apnée) de ce qui lui est externe (Sat. Apnée). - "Moteurs et orientation", ces deux aspects font partie de la thématique "Muscles" ils sont naturellement fusionnel comme nous le verrons dans la phase détaillé Merci de ton partage ? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
luc Posté(e) le 23 mars 2020 Auteur Partager Posté(e) le 23 mars 2020 Il y a 11 heures, Adwa a dit : En muscles inspiratoire tu peut en effet ajouter les intercostaux externes, le sterno-cléido-mastoïdien et les muscles scalènes. En expiatoire forcée on fait surtout travailler les abdos et les intercostaux internes. Merci Théo ? un terrain que tu connais bien Comme évoqué ci-avant, les intercostaux sont bien présent (masqués et visibles sur la partie détaillé que nous verrons plus tard ? ) Je vais compléter avec le sterno-cléido-mastoïdien et les muscles scalènes car je ne les ai pas mentionnés sur le doc détaillé quand bien même sont-ils évoqués (muscles du cou) en live formation ? Top, merci de ton inter éclairée Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bap33 Posté(e) le 23 mars 2020 Partager Posté(e) le 23 mars 2020 @luc De rien, j'adore ce type d'échanges sur la pédagogie ! ? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
luc Posté(e) le 24 mars 2020 Auteur Partager Posté(e) le 24 mars 2020 Pensée du jour, « Le savoir est la seule matière qui s'accroît quand on la partage. » Albert Einstein. Nous avons donc deux belles boites à outils la "Molécule de l'apnée" et le "Satellite de l'apnée" constituées d'outils (petites bulles). Chacun de ces outils représente un sujet qui selon les besoins des uns ou des autres pourra être tantôt un sujet de cours ou un objectif d'apprentissage ou de culture ou une curiosité ou ... Bap33 L'idée n'étant pas "le magistral", tout au plus un échange participatif, une aide à la réflexion et permettre l’acquisition du mécanisme de méthode plutôt que du résultat brut. Le cerveau plutôt que le copier coller. Je me prête à penser que pour transmettre, il convient de maîtriser car plus la maîtrise sera grande, plus la pratique sera efficiente. Le fameux copier coller est fort intéressant lorsque le support est bien fait car pourquoi réinventer le monde plutôt que de "citer" (impératif: mentionner source et propriétaire) pour échanger sur un sujet, mais je pense, uniquement si l'on comprends et l'on en a acquit l'essence. Chacun détient sa/ses vérité(s) fruit de son expérience, sa culture et son éducation. Fort de cela, le libre arbitre permet à l'individu de faire des choix. Ces choix s’appuient sur ses savoirs faire et ses savoirs être. Aussi parfois, souvent même, un savoir peu manquer pour parvenir au meilleur choix (éclairé ou avisé). Nous sommes rarement né avec les atomes du savoir universel. Notre richesse est la diversité de ces savoirs au travers de la mixité des individus. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Adwa Posté(e) le 24 mars 2020 Partager Posté(e) le 24 mars 2020 Le 23/03/2020 à 12:07, luc a dit : Merci Théo ? un terrain que tu connais bien Comme évoqué ci-avant, les intercostaux sont bien présent (masqués et visibles sur la partie détaillé que nous verrons plus tard ? ) Je vais compléter avec le sterno-cléido-mastoïdien et les muscles scalènes car je ne les ai pas mentionnés sur le doc détaillé quand bien même sont-ils évoqués (muscles du cou) en live formation ? Top, merci de ton inter éclairée Avec grand plaisir. Question qui tombe régulierement d'année en année dans les concours d'infirmier anesthésistes. D’ailleurs je viens de "réussir" l'écrit a Montpellier. Si le Covid n'as pas notre peau un jour j'irai peut etre passer l'oral ? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
emile Posté(e) le 24 mars 2020 Partager Posté(e) le 24 mars 2020 Dans Sat, section biologie, la premiere mention est "acide lactique". Or nous ne produisons pas d'acide lactique à l'effort mais du lactate. La distinction est importante parce que celui ci contrairement aux croyances communes ne crée pas l'acidose, dont les responsables sont les ions H+ (si j'ai bien interprété la littérature!) et le CO2. Le lactate a semble t il des effets plutôt benefiques sur les cellules, en plus d'être une source d'énergie pour les muscles EDIT : extrait wikipedia de l'article (bizarrement!) nommé Acidose Lactique Mécanisme La plupart des cellules brûlent le glucose pour former de l’eau et du CO2. Ce processus se fait en deux étapes : le glucose est transformé dans un premier temps en pyruvate (glycolyse). Puis les mitochondries oxydent le pyruvate en eau et en CO2 par le cycle de Krebs et phosphorylation oxydative. Cette seconde étape nécessite de l’oxygène et produit de l’ATP, le vecteur d’énergie de la cellule pour produire du travail comme la contraction musculaire. Quand l’énergie de l’ATP est utilisée, des protons sont produits. Normalement, les mitochondries réincorporent ces protons dans l’ATP, empêchant leur accumulation et maintenant ainsi un pH neutre. Si l’apport en oxygène est insuffisant (hypoxie), les mitochondries sont incapables de continuer la synthèse de l’ATP à un débit suffisant aux besoins de la cellule (deuxième étape du processus) tandis que la première étape (glycolyse) se fait bien en quantité suffisante. Il en résulte un excès de pyruvate qui est converti en lactate et relâché par la cellule dans le flux sanguin, où il s’accumule. L’augmentation du nombre glycolyse compense la phosphorylation oxydative et la perte d’ATP, mais elle ne neutralise pas les protons résultants de l’hydrolyse de l’ATP. En conséquence, la concentration protonique (acidité) augmente et cause l’acidose. Il est faussement répandu l’idée que l’excès de protons de l’acidose lactique est dû à la production d’acide lactique[réf. souhaitée]. C’est une erreur, les cellules ne produisant pas d’acide lactique, le pyruvate est converti directement en lactate, la forme anionique de l’acide lactique. Quand l’excès de lactate intracellulaire est relâché dans le sang, le maintien de la neutralité électrique nécessite le relâchement parallèle d’un cation (un proton H+, par exemple). Cela peut diminuer le pH sanguin. La glycolyse couplée à la production de lactate ne produit pas d’excès de proton contrairement à la production de pyruvate. La production de lactate est stable intracellulairement : l’enzyme productrice de lactate, la lactate déshydrogénase, utilise un proton par molécule de pyruvate transformée. Quand le système est saturé, la cellule relâchera le lactate dans le flux sanguin. L’hypoxie cause à la fois l’augmentation de lactate et l’acidose, et le lactate est un bon indice d’hypoxie, mais le lactate n’est pas en lui-même la cause de l’acidose. L’acidose lactique survient parfois sans hypoxie, par exemple lors de rares troubles congénitaux où les mitochondries fonctionnent en sous capacité. Dans de tels cas, quand le corps a besoin de davantage d’énergie que d’habitude comme durant un exercice, les mitochondries ne peuvent fournir suffisamment d’ATP et l’acidose lactique en résulte. Les types de muscles avec peu de mitochondries basés préférentiellement sur la glycolyse pour la production d’ATP (les fibres « rapides » (type IIa ou « blanches »)) sont naturellement plus enclin à l’acidose lactique. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
luc Posté(e) le 24 mars 2020 Auteur Partager Posté(e) le 24 mars 2020 ?? Il y a 5 heures, Adwa a dit : Avec grand plaisir. Question qui tombe régulierement d'année en année dans les concours d'infirmier anesthésistes. D’ailleurs je viens de "réussir" l'écrit a Montpellier. Si le Covid n'as pas notre peau un jour j'irai peut etre passer l'oral ? Feloch pour l'écrit ? ? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
luc Posté(e) le 24 mars 2020 Auteur Partager Posté(e) le 24 mars 2020 Le 24/03/2020 à 15:21, emile a dit : Dans Sat, section biologie, la premiere mention est "acide lactique". Or nous ne produisons pas d'acide lactique à l'effort mais du lactate. La distinction est importante parce que celui ci contrairement aux croyances communes ne crée pas l'acidose, dont les responsables sont les ions H+ (si j'ai bien interprété la littérature!) et le CO2. Le lactate a semble t il des effets plutôt benefiques sur les cellules, en plus d'être une source d'énergie pour les muscles EDIT : extrait wikipedia de l'article (bizarrement!) nommé Acidose Lactique Mécanisme La plupart des cellules brûlent le glucose pour former de l’eau et du CO2. Ce processus se fait en deux étapes : le glucose est transformé dans un premier temps en pyruvate (glycolyse). Puis les mitochondries oxydent le pyruvate en eau et en CO2 par le cycle de Krebs et phosphorylation oxydative. Cette seconde étape nécessite de l’oxygène et produit de l’ATP, le vecteur d’énergie de la cellule pour produire du travail comme la contraction musculaire. Quand l’énergie de l’ATP est utilisée, des protons sont produits. Normalement, les mitochondries réincorporent ces protons dans l’ATP, empêchant leur accumulation et maintenant ainsi un pH neutre. Si l’apport en oxygène est insuffisant (hypoxie), les mitochondries sont incapables de continuer la synthèse de l’ATP à un débit suffisant aux besoins de la cellule (deuxième étape du processus) tandis que la première étape (glycolyse) se fait bien en quantité suffisante. Il en résulte un excès de pyruvate qui est converti en lactate et relâché par la cellule dans le flux sanguin, où il s’accumule. L’augmentation du nombre glycolyse compense la phosphorylation oxydative et la perte d’ATP, mais elle ne neutralise pas les protons résultants de l’hydrolyse de l’ATP. En conséquence, la concentration protonique (acidité) augmente et cause l’acidose. Il est faussement répandu l’idée que l’excès de protons de l’acidose lactique est dû à la production d’acide lactique[réf. souhaitée]. C’est une erreur, les cellules ne produisant pas d’acide lactique, le pyruvate est converti directement en lactate, la forme anionique de l’acide lactique. Quand l’excès de lactate intracellulaire est relâché dans le sang, le maintien de la neutralité électrique nécessite le relâchement parallèle d’un cation (un proton H+, par exemple). Cela peut diminuer le pH sanguin. La glycolyse couplée à la production de lactate ne produit pas d’excès de proton contrairement à la production de pyruvate. La production de lactate est stable intracellulairement : l’enzyme productrice de lactate, la lactate déshydrogénase, utilise un proton par molécule de pyruvate transformée. Quand le système est saturé, la cellule relâchera le lactate dans le flux sanguin. L’hypoxie cause à la fois l’augmentation de lactate et l’acidose, et le lactate est un bon indice d’hypoxie, mais le lactate n’est pas en lui-même la cause de l’acidose. L’acidose lactique survient parfois sans hypoxie, par exemple lors de rares troubles congénitaux où les mitochondries fonctionnent en sous capacité. Dans de tels cas, quand le corps a besoin de davantage d’énergie que d’habitude comme durant un exercice, les mitochondries ne peuvent fournir suffisamment d’ATP et l’acidose lactique en résulte. Les types de muscles avec peu de mitochondries basés préférentiellement sur la glycolyse pour la production d’ATP (les fibres « rapides » (type IIa ou « blanches »)) sont naturellement plus enclin à l’acidose lactique. Super, merci emile de cette intervention fort intéressante à plusieurs titres: tout d'abord, elle montre bien l’intérêt de l'outil d'investigation "lactose" puis, elle amène une réponse attendue ? dans le contenue et dans la formulation "contrairement aux croyances communes" . Il en existe de nombreuses pour lesquelles il est utile de rétablir les biens fondés (entre autres exemples: l'hyperventilation voir : https://www.chasse-sous-marine.com/forums/topic/60598-hyperventilation/page/2/ ...) également, elle rappelle la sémantique ou le langage usuel peut induire des nuances de compréhension dans la destination car parfois la frontière est très mince. Au passage cela laisse apparaître aussi le bien fondé du Pavé "Pédagogie" (dans Sat.) dont les outils permettent la transmission du savoir mais également le contrôle de l'acquisition et compréhension Il sera d'ailleurs intéressant et nécessaire d'y revenir pour en faire le tour. ?? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
luc Posté(e) le 27 mars 2020 Auteur Partager Posté(e) le 27 mars 2020 "Je ne peux rien pour qui ne se pose pas de questions" Confucius Ayant pratiqué plusieurs de nos activités aquatique (également plusieurs fédérations) et au delà d'une volonté identitaire (disciplinaire) farouche souvent rencontrée, de celle qui consiste à penser ne rien avoir en commun avec son voisin, je reste persuadé que nous avons une base commune. Question du jours: Quelle serait cette base commune ? En réponse, l'apnée me vient toujours en tête à l'esprit, non pas en tant que commission, mais comme socle commun. Oui mais alors, c'est quoi fondamentalement l'apnée ? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
kees_baloo Posté(e) le 27 mars 2020 Partager Posté(e) le 27 mars 2020 Bel outil pédagogique, je n'avais jamais synthétisé tout ça. Beaucoup de ces notions sont parlantes pour moi, avec plus ou moins d'importance. Ici, tout est mis à plat. Dans Situations, en plus du nombre de participants, j'ajouterais bien leur expérience. Ainsi que les différences de niveau entre ceux-ci : _ Groupe homogène ou hétérogène, sachant que l'on s'adaptera généralement à ceux qui sont le moins expérimentés ; avec les 'anciens' pour les aider. _ Cela risque aussi de définir la façon de grouper les participants en binômes, groupes de niveau... _ Doit-on prévoir des exercices différents selon les groupes de niveau ? _ Les objectifs de chacun sont-ils les mêmes ? Je sais par exemple que le club d'Ajaccio distingue les entraînements 'statique' des entraînements 'dynamique'. Certains vont à l'un ou l'autre, d'autres aux deux. Bon, c'est plus lié à ma maigre expérience de coaching en Foot US, je ne sais pas si cela s'applique à l'apnée. Vu que je ne peux rien apporter d'autre de vraiment constructif : _ En cette période de confinement, tu pourrais ajouter baignoire et canapé dans la case 'milieu' ? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
luc Posté(e) le 27 mars 2020 Auteur Partager Posté(e) le 27 mars 2020 Il y a 8 heures, luc a dit : ... Oui mais alors, c'est quoi fondamentalement l'apnée ? *pas mal de littérature sur le sujet mais pour faire simple "L’Apnée est une interruption temporaire de la fonction respiratoire" Elle fait partie des fonctions réflexes primaires, peut être: Consciente Influençable Inconsciente Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
luc Posté(e) le 28 mars 2020 Auteur Partager Posté(e) le 28 mars 2020 Le 27/03/2020 à 11:07, kees_baloo a dit : Bel outil pédagogique, je n'avais jamais synthétisé tout ça. Beaucoup de ces notions sont parlantes pour moi, avec plus ou moins d'importance. Ici, tout est mis à plat ... Merci Kees_baloo. rassure toi je ne crois pas l'avoir vu ailleurs ? . Lorsque, fort de très nombreux constats, j'ai voulu construire un plan d'action de formation, mon besoin premier a été de pouvoir visualiser l'intégralité du périmètre en un seul plan, d’où le résultat de mon travail. Il m'a permis dès lors, bon nombre de fois, de ne pas passer à côté des sujets et surtout des apports potentiels attendus. Le 27/03/2020 à 11:07, kees_baloo a dit : ...Dans Situations, en plus du nombre de participants, j'ajouterais bien leur expérience. Ainsi que les différences de niveau entre ceux-ci : _ Groupe homogène ou hétérogène, sachant que l'on s'adaptera généralement à ceux qui sont le moins expérimentés ; avec les 'anciens' pour les aider. _ Cela risque aussi de définir la façon de grouper les participants en binômes, groupes de niveau... _ Doit-on prévoir des exercices différents selon les groupes de niveau ? _ Les objectifs de chacun sont-ils les mêmes ? Je sais par exemple que le club d'Ajaccio distingue les entraînements 'statique' des entraînements 'dynamique'. Certains vont à l'un ou l'autre, d'autres aux deux... ? Ta remarque, fort réaliste, concernant le pavé Situation du "Sat. de l'apnée" montre ton vécu et toute l'Importance de cette piste de travail. Rassure toi, tout cela figure et doit figurer dans le développement. Il m’apparaît essentiel, j'en suis convaincu au travers des réussites engendrées, de permettre à tes interlocuteurs de saisir toute la nécessité d'en appréhender les tenants et aboutissants. Cela ne peut se faire qu'en live. C'est un véritable sentier escarpé. Tel bon nombre parmi nous, pratiquants, apprenants, moniteurs, entraîneurs, dirigeants, j'ai lors de mes pérégrinations été trop souvent confronté ou sollicité pour transformer ces difficultés, parfois même ces appels au secours, en quelque chose de viable voir de praticable. Avec de très belles réussites communes, car cela, une fois appréhendé par tous, aboutit dans une envie partagée à optimiser la situation. Il y est parfois des échecs, cela m'est arrivé une fois dans un club (lié à des conflits de pouvoir entre autre ...) j'ai dû jeter l'éponge à mon grand regret ... mais j'y ai gagné en expérience et une partie du fruit de notre travail perdure à ce jour ? Il est bon je crois de commencer ce chantier par, un état des lieux quantifié. Celui ci sera partagé, entendu et reconnu : nb participants (apprenants) terrain de jeux (artificiel: bassin ou fosse) ; zone naturelle (mer, lac, rivière, plan d'eau privé) matériels (de travail, de sécu, de transport ...) nb d'encadrants de la discipline nb de cours semaines ... un état des lieux qualifié. Celui ci sera contrôlé, partagé, entendu (+ tests aveugles) et reconnu : niveaux participants (apprenants ) terrain de jeux (artificiel: nb de lignes, profondeur, distance, situation (bord de bassin ou milieu)... ; zone naturelle : distance route, facilité d'accès, profondeur mini et max, logements, météo ) matériels ( typologies des agrès et matériels bassin, contenu des sacs de sécu, type de bateaux ...) niveaux des encadrants discipline et pédagogie règles de bonne pratique usuelle du club ou de la structure règlement officiel du club ou de la structure Cr des dernières assemblées ligne budgétaire (club, régional, fédéral ...) place de la discipline dans le club, la structure ... un état des lieux des attendus . Celui ci sera partagé, validé (compréhension) : un état des lieux des buts à atteindre. Celui ci sera partagé, validé (compréhension) : étalonnage des volontés étalonnage des envies étalonnages des résiliences loisir / compétition ... ... Fort de cet audit nous pourrons poursuivre et restituer un état des lieux faisabilité argumenté ... un état des lieux points forts. ... un état des lieux points à optimiser. ... un état des lieux des "non réalisable en l'état" ... Nous pourrons dès lors: verrouiller les buts pédagogiques créer les groupes (si possible 3 niv: experts (comprendre les plus expérimentés et envie de performance), médian (comprendre bon niveau et envie de progression), light (débutants pur et/ou envie de ne pas forcer quel qu’en soit la raison). Cet aspect là nécessite d'aller bien plus en profondeur et d'y revenir (possibilité unique, mixité niveau et perf, disparité des encadrants ...) définir les façons établir les cours en ayant pris en compte (les buts pédagogique, les contraintes, ...) répartir les taches établir les tests individuels initiaux pour permettre de visualiser les gains futurs, jauger de l'efficacité des entraînements et effectuer tous réglages définir un prévisionnel planning et les jalons individuels et collectifs ... ... Avec bienveillance, empathie et accompagnement installer de la convivialité créer et susciter les affinités susciter les envies (locomotive) remercier féliciter permettre les prises de conscience assurer la sécurité répondre aux attentes si possible, sinon trouver des solutions acceptables s'entourer ou faire appel à des compétences ou savoirs non présents ... inciter à la diversité d'apprentissage, d'échanges, de techniques permettre la dynamique ... Comme tu le vois le chemin est à la hauteur de ta motivation et des buts que tu te fixes ? Nous sommes tous différents, nos capacités et nos besoins tout autant, cela nécessite d'établir des plans d’entraînements individuels dans un collectif. Il y a des solutions : nous aurons l'occasion d'y revenir ? Le 27/03/2020 à 11:07, kees_baloo a dit : Bon, c'est plus lié à ma maigre expérience de coaching en Foot US, je ne sais pas si cela s'applique à l'apnée. Vu que je ne peux rien apporter d'autre de vraiment constructif : _ En cette période de confinement, tu pourrais ajouter baignoire et canapé dans la case 'milieu' ? Les parallèles font partis de la richesse, passer à côté revient à s'isoler des savoirs Tout échange est constructif, comme tu le soulignes ont peu profiter de la situation pour pratiquer des exos journaliers : renf. muscu: poids du corps, pompes, tractions, gainage, cage thoracique ... en prenant soin de viser un équilibre HIIT, vélo d'appart., ... pour le cardio (entre autre) assouplissement relaxation respiration yoga ... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bap33 Posté(e) le 29 mars 2020 Partager Posté(e) le 29 mars 2020 Y a du bagage pédagogique, chez notre ami Luc ! ? ? ??? Le mien est plus axé plongée bouteille (15 ans de pratique) qu'apnée (2 ans seulement, mais pas formateur). ? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
luc Posté(e) le 1 avril 2020 Auteur Partager Posté(e) le 1 avril 2020 Aahhh! la bouteille ... de celles qui émettent un doux son au rétracte du liège ... jolie bouteille ... sacrée bouteille ?, Il y a quelques embouteillages communs, les problématiques de mises en place concernent beaucoup de clubs. Souvent un manque de place pour le nombre de pratiquants, aussi je suggère, pour ceux qui n'ont pas encore trouvés le bon schéma, non pas la solution mais, des pistes. Nous savons que: nous avons deux domaines de travail (aquatique, à sec) dans le domaine aquatique nous pouvons avoir différents atelier (dynamique long et court, statique ...) dans le domaine à sec nous pouvons avoir différents axes (théorique, foncier, cardio, muscu, assouplissement, relaxation, respiration ...) pour chacun de ces axes nous aurons différents ateliers possibles Le constat est de mettre en évidence que nous avons à priori beaucoup d'espaces ou peuvent se réaliser les ateliers. Cela tombe fort bien car, si je suis limité par le nb/niveau pratiquant et le nb/niveau encadrant pour un espace aquatique donné, le groupe pourra convenir d'une rotation (inscrite dans la progression) sur l'ensemble des espaces et ateliers (aquatique, à sec, indoor, outdoor). Le juste équilibre se fera je pense sur le bon réglage encadrants / nb et niv groupes (attention à la bonne adéquation responsabilité structure / activité / lieux de pratique / sécu ...) Nous pouvons également favoriser les échanges pour l'apprentissage des techniques avec des ateliers sur d'autres disciplines comme la nage, le triathlon, le yoga ... (convenir et acter au préalable les modalités d'échanges) chacun apportant son expertise domaine pour un gagnant gagnant Nous pouvons également le faire en intra fédéral en partage de discipline (commissions) ... même parfois entre fédé (pas toujours simple ...) ... mais entre club cela se fait assez bien. ... ? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
emile Posté(e) le 2 avril 2020 Partager Posté(e) le 2 avril 2020 Je me posais une question, le grand fessier ne serait pas plutot un muscle moteur que stabilisateur? Surtout en bi et mono palmes Edit: pareil pour les quads en bipalmes? et les pectoraux en FIM? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
luc Posté(e) le 2 avril 2020 Auteur Partager Posté(e) le 2 avril 2020 Le 02/04/2020 à 12:49, emile a dit : Je me posais une question, le grand fessier ne serait pas plutot un muscle moteur que stabilisateur? Surtout en bi et mono palmes ... C'est une question très pertinente de mon point de vue, "pavé Moteur et orientation du Mol. Apnée" Pourquoi: nous pratiquons un sport sans appuis (point fixe extérieur) et par conséquence nos muscles moteurs vont devoir s'appuyer sur des parties du corps (tronc, bassin ...) ces parties deviennent des appuis par l'intermédiaire de chaîne musculaire (faisant bloc). Pour la motricité évoquée, cette chaîne remonte jusqu’à la nuque. le grand glutéal permet de rattacher la jambe au tronc. En le contractant cela permet un appuis des muscles postérieur sur le tronc. Étant sur la liaison fesse/cuisse et indirectement jambe, son action de motricité existe mais plus en tant que stabilisation (verrouillage des points d'appuis) de mon point de vue. Car contrairement à son utilité dans un ex. de squat, pour le palmage, la bonne technique implique un angle proche de 170° à 180° (cuisse/jambe pour bi). Toutefois, pour la technique mono la fonction motrice du glutéal sera un peu plus présente (sur mouvement faible) et l'angle sera un peu plus prononcé. Plusieurs de ces muscles pourront être tantôt moteur, tantôt appuis de la motricité, cela va dépendre du mouvement. C'est une des raisons pour laquelle, la plupart du temps je préconise un travail de mouvement impliquant une chaîne plutôt que des exercices isolants un muscle (sauf si déséquilibre notable). En rappel, je considère le gainage comme un sujet majeur pour notre activité car il constitue un bloc d'appuis fort surtout pour la mono Le 02/04/2020 à 12:49, emile a dit : Edit: pareil pour les quads en bipalmes? ... Yes belle accroche ? Entre autre, les quadri tout comme les ichios seront à dominante motrice par appuis sur l'eau (travail des angles de l’appui voilure = sujet entier) et stabilisateurs par appuis sur les parties corporels (bassin, lombaire, dorseaux, abdo, ...) notamment sur le mouvement d’inversion (vers mouvement fort sens quadri). Le 02/04/2020 à 12:49, emile a dit : ...et les pectoraux en FIM? Peux tu préciser STP, je crains de ne pas bien comprendre ? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
emile Posté(e) le 4 avril 2020 Partager Posté(e) le 4 avril 2020 On 4/2/2020 at 6:13 PM, luc said: C'est une question très pertinente de mon point de vue, "pavé Moteur et orientation du Mol. Apnée" Pourquoi: nous pratiquons un sport sans appuis (point fixe extérieur) et par conséquence nos muscles moteurs vont devoir s'appuyer sur des parties du corps (tronc, bassin ...) ces parties deviennent des appuis par l'intermédiaire de chaîne musculaire (faisant bloc). Pour la motricité évoquée, cette chaîne remonte jusqu’à la nuque. le grand glutéal permet de rattacher la jambe au tronc. En le contractant cela permet un appuis des muscles postérieur sur le tronc. Étant sur la liaison fesse/cuisse et indirectement jambe, son action de motricité existe mais plus en tant que stabilisation (verrouillage des points d'appuis) de mon point de vue. Car contrairement à son utilité dans un ex. de squat, pour le palmage, la bonne technique implique un angle proche de 170° à 180° (cuisse/jambe pour bi). Toutefois, pour la technique mono la fonction motrice sera un peu plus présente (temps faible) et l'angle temps fort sera plus prononcé. Plusieurs de ces muscles pourront être tantôt moteur, tantôt appuis de la motricité, cela va dépendre du mouvement. C'est une des raisons pour laquelle, la plupart du temps je préconise un travail de mouvement impliquant une chaîne plutôt que des exercices isolant un muscle (sauf si déséquilibre notable). En rappel, je considère le gainage comme un sujet majeur pour notre activité car il constitue un bloc d'appuis fort surtout pour la mono Yes belle accroche ? Entre autre, les quadri tout comme les ichios seront à dominante motrice par appuis sur l'eau (travail des angles de l’appui voilure = sujet entier) et stabilisateurs par appuis sur les parties corporels (bassin, lombaire, dorseaux, abdo, ...) notamment sur le mouvement d’inversion (temps fort). Peux tu préciser STP, je crains de ne pas bien comprendre ? L'hypothèse d'absence d appuis me semble discutable, dans toutes les disciplines dynamiques, on s'appuie sur l'eau (ou sur une corde). Le gainage empeche de basculer, mais la resistance de l'eau aussi et lextension de la hanche pour le mouvement retour en palmage comme en monopalmage ne peut etre optimale sans contraction motrice des grands fessiers et isichios. Pour limmersion libre (FIM) le mouvement de tirage du tronc bras au dessus de la tete est une sorte de lat pull down close grip à une main. Et il me semble que les muscles principaux pour ce mouvement sont le deltoide posterieur et le grand pectoral Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
luc Posté(e) le 4 avril 2020 Auteur Partager Posté(e) le 4 avril 2020 Le 04/04/2020 à 10:11, emile a dit : L'hypothèse d'absence d appuis me semble discutable, dans toutes les disciplines dynamiques, on s'appuie sur l'eau (ou sur une corde)... Tu as parfaitement raison, j'aurais dû préciser "permettant l'expression de la force" et qui plus est, ton expression appuis sur l'eau à tout son sens mais en résultante. L'idée étant de marquer la différence, si pour la compréhension l'on prend 3 exemples d'appuis, à puissance déployée égale pour un même individu, sur un : solide = sol béton: une poussée sur tes pieds va engendrer un vecteur force dont l'ancrage (l’appuie) sera à la liaison sol/pied et de direction tel que l'inclinaison de ton corps et à l’opposé de cet ancrage. La longueur du déplacement sera conditionné en synthèse par la puissance déployée, la masse déplacée, la gravité ... Il y aura un rapport très proche entre la poussée et la valeur du déplacement, et l'on peut en déduire que cette force pour s'exprimer doit s'appuyer sur le sol béton car si elle pouvait s'appuyer sur le corps le résultat serait un écrasement du sol. solide = % des forces >> important dans la direction voulue solide déformable (élasticité) = sol sable ou corde : une poussée sur tes pieds va engendrer un vecteur force dont l'ancrage (l'appui) sera à la liaison sol ou corde /pied et de direction tel que l'inclinaison de ton corps combiné avec l'angle absorption du déformable. Cette absorption (partie de l'énergie utilisée pour) sera en fait le deuxième vecteur force d'orientation vers le bas. La longueur du déplacement sera conditionnée en synthèse par la puissance déployée, la masse déplacée, la gravité mais impactée proportionnellement par le coefficient d'élasticité du déformable, sa granulométrie, sa viscosité (absorption) ... Il y aura un rapport impacté entre la poussée et la valeur du déplacement souhaitée, et l'on peut en déduire que cette force pour s'exprimer doit malgré tout s'appuyer sur le sol déformable ou la corde car si elle s'appuyait sur le corps le résultat serait un déplacement unique se traduisant par écrasement du sable ou allongement vers destructuration voir casse de la corde. solide déformable = % des forces >> moindres pour la direction voulue. On notera toutefois que la différence entre le sable et la corde est notable car la corde pourra emmagasiner de l'énergie et également la restituer par rebond dans l'exemple. Ce que l'on pourrait mettre à profit liquide = eau de mer (sauf lac/mer de sel) ou eau douce : si tu es posé sur l'eau, une poussée sur tes pieds va engendrer un vecteur force dont l'ancrage (l'appui) sera à la liaison tronc/ membre moteur et de direction tel que l'inclinaison de ton corps, combiné à ... La longueur du déplacement de ton corps sera faible et conditionné en synthèse par les surfaces d'appuis fuyantes corps/eau, la visco de l'eau, ... Mais la majorité de l'énergie déployée, sera dissipée par la poussée de l'eau... (résultante et perte) Il y aura un rapport très proche entre la technique (qualité du geste, surface d'appuis ...) et la petite valeur du déplacement, et l'on peut en déduire que pour pousser l'eau la force s’appuie sur le corps, mais que la petite quantité d'appuis sur l'eau permet le déplacement. liquide = % des forces >> suivant technique et outil (mauvais rendement) pour la direction voulue. La technique de nage est un sujet, que maîtrise beaucoup mieux que nous les entraîneurs pour nageurs. J'ai souvent fait appel à eux pour partager, comme pour la glisse. Nous voyons trop souvent, pour notre propulsion (chasse, apnée, snorkeling ...) un rendement proche du néant tellement il est coûteux. Ce n'est pas un jugement mais un constat, il est fréquent que la simple acquisition de bons gestes (le bien nager, le bon appui, la meilleur traîne ...) permette une progression de plus de 50% d'un premier palier. En illustration quand la voilure déployé est trop grand et dure pour son utilisateur, c'est bien la surface eau / voilure qui est l’appuie = conséquence, c'est le haut du bonhomme qui bougera autour des genoux ou des hanches. A ce moment l'ancrage de la force sera la voilure/eau et non le haut du corps. Ce n'est pas le mouvement, ni le sens du mouvement souhaité Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
luc Posté(e) le 4 avril 2020 Auteur Partager Posté(e) le 4 avril 2020 Il y a 8 heures, emile a dit : ... Le gainage empeche de basculer, mais la resistance de l'eau aussi et lextension de la hanche pour le mouvement retour en palmage comme en monopalmage ne peut etre optimale sans contraction motrice des grands fessiers et isichios... Cela n'empêche pas la bascule mais permet l'ancrage et la mise en œuvre des forces sollicitées, car dans l'eau, gainage ou pas, tu ne basculeras pas sur toi même. Il facilitera s'en nul doute l'orientation, en permettant d'influencer suffisamment la résistance de l'eau. Le retour du mouvement faible en mono sera favorisé par l'ensemble du gainage compris dorsaux (voir même épaules et muscles du bras pour verrouiller si bras en avant) car le levier représenté par le haut du corps (surface d'appuis la plus forte) ancre (sert d'appui) la force pour ce mouvement et en général. Comme nous avons échangé par avant le grand glutéal est bien sur nécessaire au mouvement de retour en mono. Mais sur ce même mouvement, il sera tour à tour co-moteur (pour un angle très court à l'amorce) et gainage pour asseoir le travail des muscles (ischio, mollet ...) du levier moteur (jambes). il vient entre autre verrouiller les hanches (fémurs/bassin). Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
luc Posté(e) le 4 avril 2020 Auteur Partager Posté(e) le 4 avril 2020 Le 04/04/2020 à 10:11, emile a dit : ... Pour limmersion libre (FIM) le mouvement de tirage du tronc bras au dessus de la tete est une sorte de lat pull down close grip à une main. Et il me semble que les muscles principaux pour ce mouvement sont le deltoide posterieur et le grand pectoral Ok Le mouvement pour l'immersion libre (FIM) a ceci de très particulier en général, juste sur l'aspect musculaire : le geste est différent de l'un à l'autre avec une dominante prononcé devant le corps geste de traction d'une amplitude et d'une fréquence variable d'un individu à l'autre mais aussi pour un même individu et même trajet et parfois d'un trajet à l'autre l'intensité sera variable au fil de l'évolution du trajet ... Les muscles (pronateurs, biceps, triceps, grand dorsaux , les pect. ...) sollicités principalement travaillent en geste de pronation traction (puis moindrement utilisé (dommage) en poussé de fin de mouvement) et le pratiquant serra amené à utiliser les intercostaux voir les abdos suivant la maîtrise de son geste Et relâchement, extension, puis retour à vide, extension à vide, puis pronation, traction (début extrême au dessus tête; fin de poussée déroulé main hanche) ... A mon sens le deltoïde postérieur sert plus pour pousser au dessus de la tête ? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
luc Posté(e) le 7 avril 2020 Auteur Partager Posté(e) le 7 avril 2020 Pour ceux que cela intéresse, lien sur un ancien travail https://www.chasse-sous-marine.com/magazine/tecnik/test_palmes/index.htm Une petite idée pour les appuis propulseurs dans l'eau avec bi palme (induit par le mouvement et sa qualité). * Bien que cette photo soit d'une dimension réduite, elle me semble assez parlante. Une petite idée pour les appuis propulseurs dans l'eau sans palme (induit par le mouvement et sa qualité). * Ce dessin me semble bien représentatif en synthèse, il n'est pas mien, je n'en trouve plus la source Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
luc Posté(e) le 13 avril 2020 Auteur Partager Posté(e) le 13 avril 2020 Monopalme le geste partant de l'ancrage des membres antérieurs Dessin modifié par F CASTEL d’après l’étude de l'institut des sports de TSUKUBA - JAPON Geste global Monopalme Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
luc Posté(e) le 14 avril 2020 Auteur Partager Posté(e) le 14 avril 2020 Notre propulsion est un des éléments clef de notre activité au moins sous deux aspects: son efficience, est ce que j’obtiens, le proportionnel propulsion pour l'énergie déployée à cet effet = qualité technique du geste sa performance, étant parvenue à cette haute proportionnalité comment optimiser mes capacités = optimisation de mes aptitudes physique et physiologique avec le bon geste acquit Uniquement sur le point "1." dans un premier temps, que cela soit en mono ou en bi, parvenir au bon geste permettra automatiquement un gain important de rendement de propulsion, d'aisance et de bien être. Pour ce faire, il existe une astuce incontournable: l’alignement des trois axes de projection axe de destination = segment partant du point A représenté par la position du palmeur vers le point B d'arrivée souhaitée : ligne passant par point de départ et point d'arrivée axe de propulsion = segment partant du point C représenté par la position du palmeur vers le point D de direction de la poussée : ligne passant par axe médian (point haut et bas flex palme)de propulsion et bassin axe d'orientation = segment partant du point E représenté par la position du palmeur vers le point F de l'orientation du corps : tel un gouvernail sur un bateau à arbre fixe; ligne passant par bassin, épaule et poignée si bras devant Le geste idéal est la superposition des 3, quelque soit l'angle de destination (horizontal, vertical ...) 4 exemples de rendu Belle évolution, optimisation possible à cette instant sur mouvement quadri, pas assez bas par retard mouvement fort quadri en décalage (possible tempo ou musculaire) sur le mouvement faible ischio Évolution, modérée cul en l'air engendrée par un manque d'optimisation répartition lestage = abaissement du rendement par orientation en opposition (léger) à l’avancement Cette position est très fréquente dans les bassins et souvent beaucoup plus accentuée ou en mer par manque de lestage ceinture ou sur-lestage baudrier En mer nous constatons aussi le contraire (épaule et tête en haut) dû à un sur lestage ceinture Évolution, modérée freinée, engendrée par un décalage d'appuis dû en partie au manque d'optimisation (absence) lestage ou musculaire ou technique = abaissement du rendement par compensation musculaire (bassin trop bas) à cette instant Belle alignement car cette dernière est en trompe l’œil (angle de vue) + modif d'orientation en prépa retournement Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
luc Posté(e) le 19 avril 2020 Auteur Partager Posté(e) le 19 avril 2020 Dans les clubs où structures d’entraînement après avoir constitué les groupes, il est rare que tous les membres d'un même groupe soient au même niveau de performance mais également de besoin pédagogique. Simplement car en plus des envies et du physique disparates, nous ne sommes pas physiologiquement et physiologiquement constitués de la même façon. Un des avantages de cette situation peut en être l'effet locomotive physique mais aussi culturel. A bien y regarder, cela peut engendrer également des vides, des manques voir des frustrations et doit nécessiter, je pense, beaucoup de vigilance et bienveillance. Prenons l'exemple d'un groupe de x apprenants (nous le sommes tous) qui jouissent de créneau réguliers et d'un bel espace de jeux: Collectif 3 créneaux semaine piscines 1 créneaux fosses ou base par mois 2 séances à sec semaine Sorties régulières en milieu naturel 1 séance mensuelle matériel renforcement repos ... Individuel hebdomadaire hygiène de vie (sommeil, nourriture du corps et de l'esprit ...) 3 footing ou vélo elliptique 3 séances assouplissements et respiration 2 séances corps/esprit : méditation à attention focalisée (samatha), méditation à attention ouverte (vipassana), méditation en mouvement (yoga, tai chi ...), méditation de compassion, auto hypnose, sophrologie ... 2 séances musculation poids du corps repos ... En aparté, il est en terme d’entraînement un fil conducteur basique: 1 entraînement/hebdo = ralentissement de la perte du capital initial 2 à 3 entraînements/hebdo = maintient du capital initial 3 à 5 entraînements/hebdo = progression, élévation du capital > à 5 entraînements/hebdo = performance il y aura bien sur des paliers plus ou moins vite atteints et dépassés ... Comme nous pouvons le voir, avec certitude dans un même groupe, tous ne s'investiront pas avec la même intensité et ne progresseront pas à la même vitesse. Aussi pour les entraînements collectif la difficulté réside dans la mise en place d’exercices communs procurant des bénéfices individuels (et collectif bien sur). Il conviendra me semble t-il, après avoir dressé l'ensemble des buts pédagogique individuels, de définir des exercices groupe permettant la juste progression individuelle, sur le cycle période qui pourra être annuel (spécifique, auxiliaire, générale; méso-cycle, macrocycle, ...). Ainsi de construire les séances en début de cycle. Le jour J séance, il est je crois souhaitable que celle-ci soit au préalable définie exécutable et profitable pour tous (l'impro n'est pas il me semble la bonne méthode) Je vous propose une pratique donnant de bon résultat : connaître les phases bénéfiques de chaque exercice connaître les exercices tremplins (compatible et non compatible entre eux) définir les exercices communs permettant la progression individuelle en planifier la logique d’enchaînement individuel commune lors de la mise en place des dits exercices, communiquer au groupe sur cette phase bénéfique à respecter scrupuleusement. partir dans l'idée de ... effet locomotive ainsi chacun ajustera son intensité sur un exercice collectif tout en gardant le bénéfice individuel de la phase active permettant ainsi une forme de delta à l'intérieur d'un même groupe. En exemple : pour un même groupe, en partant de l'hypothèse que cet exercice fasse partie du plan d'actions croisées planifiées suite aux bilans péda individuels du groupe, le 16 x 50 m départs régulés le groupe 4 gars 3 filles Une locomotive, le plus rapide parcours facilement 20x50 départ toutes les 1' 30" en mono Un noyau de 4 médian acquit à un 16x50 départ toutes les 1' 45" en bi et mono Un binôme light approchant le 12 à 16x50 départ toutes les 2' en bi la séance, pour l'ex. nous partons du principe que celle ci s’intègre dans un schéma de progression planifié. l'exercice pourra être comme la séance : constant, progressif, pyramidale, quinconce, alterné fréquence ... est intégré dans la progression de la séance qui est elle même intégrée ... parcourir 16 x 50m apnée en continu avec un départ progressif soit 2 x toutes les 2' puis 4x toutes les 1' 45" puis 4 x toutes 1'35" puis 6 x toutes les 1'25" (travail pour tous) Phase bénéfique et imposée de ce type d'exercice: être dans une démarche sportive départ obligatoire au top = ne pas renoncer respecter le nb de répétition apprenez à vous connaître pour optimiser temps d'apnée /intensité et temps de récup (cardio/conso ...) Ajustement individuel autorisé, toujours partir dans l'idée de l'énoncé (ne pas parvenir de suite à faire la distance en apnée n'est pas important en soit) si vous ne parvenez pas à faire la distance en apnée finir en nage surface si vous n'avez pas assez récupéré, repartez au top même si vous ne couvrirez pas la distance apnée (finir en surface) possibilité pour le leader de partir avant le top Ne vous est-il jamais arrivé de vous poser la question: de l'utilité, la pertinence de tel ou tel exercice ? de la cohérence de l’enchaînement ou de sa logique ? de savoir ce que je dois ou devrais faire ? lui y arrive pourquoi pas moi ? ... Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
luc Posté(e) le 21 avril 2020 Auteur Partager Posté(e) le 21 avril 2020 Il y a des outils indispensables à notre progression, certains peut-être plus que d'autres, toutefois acquérir le réflexe de noter, tracer, prendre note ... me semble incontournables pour faire notre bilan initial, structurer nos entraînements, mesurer notre progression et surtout pouvoir étalonner et corriger pour optimiser notre investissement. Le choix du format utilisé importe peu, il est avant tout essentiel qu'il vous soit utile. Le contenu ne peut être que nominatif et pourra servir (base de travail croisé que je considère comme indispensable) pour constituer des contenus collectif (séances club, structure ...) ex extrait planning cycle annuel: ex extrait mésocycles: ex extrait microcycle: ex extrait exercice: ex extrait suivi mesure: ... Il n'y a pas d'obligation à faire cela, l’avantage considérable est de permettre des mesures cohérentes par référentiels, de comprendre, de régler et d'ajuster Bien sur il y a d'autre moyen, la moins bonne pratique sera de ne rien faire ? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
luc Posté(e) le 27 avril 2020 Auteur Partager Posté(e) le 27 avril 2020 Astuce Penser à emmener votre programme de séance au bord du bassin ou de la fosse ou sur le bateau, ainsi vous pouvez vous concentrer sur les exos. Pour cela il vous faudra soit une ardoise marine effaçable soit plastifier le doc (utile si vous souhaitez le réutiliser). L'ardoise est toujours utile car vous pouvez y prendre des notes (ressenties, temps, distances et annotations divers ...) ? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
luc Posté(e) le 16 mai 2020 Auteur Partager Posté(e) le 16 mai 2020 Trop souvent négliger, l'échauffement est j'en suis convaincu un incontournable (hors "no warm up" ?) Il consiste à monter en T° pour la partie musculaire, à préparer la partie articulaire, à rentrer dans sa sphère et à conditionner le cardio-pulmonaire. Sa nécessité pour palier aux blessures n'est plus à démontrer. Il à également d'autres avantages: préparer et conditionner l’accès aux exercices de la séance (rythme, fc, mise en dette ...) optimiser des techniques (acquisition, bien nager, matériel ...) se concentrer sur un geste, un ressenti ou une attitude (connaissance de soi, ouverture, travaille sensoriel ...) entretenir une base foncière repère (valeurs et sensation) ... En clair, il permet de se mettre en condition de poursuivre avec bénéfice(s) ? J'aime beaucoup à minima la base des 1000 ou 1500 surface (décliné sous diverse formes) avant chaque entraînement cela porte régulièrement ces fruits auprès des pratiquants. En plus de ces atouts, il est un fort indicateur de l'état du jour. Il évoluera en fonction du planning de progression. La bonne dose se situe je pense à 20/25 mn (par séance) pour être efficace et pour un pratiquant à 3 entraînements/hebdo (tout confondu). Il sera variable en fonction du plus ou du moins de séances hebdo ou journalière et/ou du type de séance. On peut également imaginer en fonction de la séance planifiée, que fasse office (si compris entre 20 et 30mn): le trajet aller en vélo ou marche (si allure adaptée) la séance d'assouplissement à sec la séance de yoga, de mentalisation, de lâcher prise ... ... Et vous ? Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
luc Posté(e) le 20 mai 2020 Auteur Partager Posté(e) le 20 mai 2020 ? Il semble que je me sois fourvoyé sur l’intérêt que je pouvais susciter au travers de ce sujet. Je ne cesse d'apprendre, je dois être à côté de la plaque et ne poursuivrais donc pas Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
kees_baloo Posté(e) le 20 mai 2020 Partager Posté(e) le 20 mai 2020 L'intérêt pour le sujet s'efface aussi vite que de nouveaux sujets apparaissent. Bien que très intéressant, l'ensemble reste très orienté "apnée". Et de plus du côté formateur/pédagogue plutôt que de l'élève. Donc public restreint ici. Peu font des entraînements spécifiques à l'apnée. Et ceux qui pourraient être dans le "public cible" et ont le bagage pour apporter leur contribution n'ont étonnement pas répondu. En ce moment, c'est plutôt l'ouverture du pré qui intéresse les vaches de ce forum ? moi compris. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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